DANS LA PLANETE.........
Dans la planète "petits animaux gentils", les choses ses passaient comme d habitude; les oiseaux volaient, les poissons nageaient, les lions rugissaient, les abeilles chérissaient les fleurs, le vent tourbillonnait où il voulait. Un jour, un grand singe blanc, manga des fruits contaminés. Il est resté trois jours allongé sur sa paillasse en paille, pendant que d'autres animaux, prenaient soin de lui, au bout des trois jours, le grand singe blanc sorta de sa tanière, avec un regard dur, profond; ses yeux traversaient les coeurs des autres animaux. La décision de ne plus jamais s'appuyer sur ses pattes avant, c'est pour ça, que sa taille augmenta sensiblement. Son attitude étrange, attira des guêpes noires, des petits insectes qui ne sortaient que lorsque les autres étaient absents. Les guêpes apprirent au singe une attitude qui allait très bien avec sa nouvelle démarche. Après, le singe, avec son regard perçant, décida des donnés aux choses une nouvelle nature. Érigé sur ses deux pattes, l'horizon était pour lui la limite de son désespoir; la légèreté des vents, la douceur des pétales, la fragilité des gouttes de pluie, le bord aléatoire de montagnes, la respiration incessante des volcans, la quiétude solitaire des étoiles, l'inclinaison instable de la pluie, l'autorité indomptable des rayons du soleil, les stressantes caresses de l oule marine, sur les couches de sable.
Sur ses deux pattes, le grand singe blanc s'est mis à parcourir la savane. Sa nouvelle position lui donnait de l'autorité ( c'est ce qu'il pensait) Son attitude hautaine, lui amena à perturber la quiétude des autres; les guêpes l'aidait á s'informer sur l'endroit ou les abeilles goûtent du miel, l'endroit ou les feuilles sèches protègent les vers de terre du soleil, l'endroit ou les gouttes de pluie, nettoyaient les sentiers des escargots. L'endroit où les rayons du soleil évaporent le coton des nuages. L'endroit où les pas des araignées faisaient des constellations avec les gouttes pluies. L'endroit où les papillons dessinaient des virgules, ou le vent racontait des bêtises aux oreilles dés de montagnes.
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Le singe et les guêpes, se mirent d'accord pour aplanir les dépassements des feuillages, pour verticaliser l'incidence des vents contraires, pour homogénéiser le désordre flagrant des nuages. Pour monochromiser l'audace des arcs-en-ciel. Pour redresser les vagues dans la mer. La nouvelle équipe cadrillá les bords des rivières, verticalisa l'ondulante des branches indécises, monochromisa les champs de marguerites, roses, tulipes, tournesols, jacinthes et violettes. Peignerent le ciel pour que les nuages ordonnent les étoiles du nord vers le sud. Mathématiserent les chants des oiseaux pour les rendre inaudibles. Les fruits furent dépossédés de leurs droits de tomber à maturation. La savane prit un air répétitoire; les vents peigner les forêts dans la même direction. Les pluies mouillaient á des périodes régulières. Les secousses sismiques se mirent a orthogonalité la variété des paysages. Le bruit tellurique des étoiles commença á étourdir les chants des cigales. La lumière froide de la lune, casa le va et vient des galipettes des baleines. Le bruit intense de la terre, devins un soupire pour endormir les titans des forêts. L'aspérité musicale des toners, devint des flocon hérissées de leur décrépitude.
L'ordre donné au "désordre de la création" se repanda au-delà de la savane. Le grand singe inspira d'autres, et sa jalousie et sa haine pour la vie, magnétisa tout rapport entre le doux, entre le beau, entre le simple, entre le câlin, entre l'aimable, entre l'empathique, entre l'humoristique, entre le ridicule, entre le savant, entre l'intelligent, entre le maternel, etc. Ce monde ne confortait pas sa détresse; son ordonnancement qui déguisait de plus en plus sa déception, le fit perdre sa notion de réalité. Tout devint pour lui un tourbillon entre ses parties encore humaines, et le poison destructeur de son âme. La négation de ce qu'il fut, le hantait lorsqu'il se regardait réfracté dans les eaux diaphanes de sa mémoire. La folie fut sa seule sortie pour échapper à sa dualité. L'abîme qui s'était créé entre sa partie encore humaine, et le poison que le fit perdre son âme; le hantais lorsqu il se regardait réfracté dans les eaux diaphanes de sa mémoire. La seule sortie pour apaiser sa dualité, fu se réfugier dans la folie. Lá, seul, se voyant dans la succession d'instants qui ses cannibalisent les uns aux autres, son cauchemar s'arrêta et le soleil qui rentrait par sa fenêtre, le fit penser à la merveilleuse compagnie dès ses copains dans "le monde des petits animaux gentils".
Cette histoire me fu inspirée par l arrivé d un agent de la CIA devant chez moi. Je l'ai vu regarder avec ses yeux qui paraissent posséder le monde. Ici, beaucoups se sont cassé les dents monsieur. Veuille peut être votre protecteur vous rendre l'estime pour les autres. le monde sans eux serait comme votre cauchemar actuel.
Miyoceleste, 2018-01-08