L'oncle Sam
Wikipediá
"Selon la tradition populaire, l'origine du caractère remonte à un groupe de soldats stationnés dans l'État de New York pendant la guerre anglo-américaine de 1812. Après avoir reçu une offre de la viande avec américaine initiale (États-Unis), les soldats ont fait un jeu de mots avec les initiales et le fournisseur de la viande, l'oncle Samuel Wilson, Troy (New York) .1 Par la suite, le Congrès des États-Unis a adopté la résolution suivante, 15 septembre 1961: « le Sénat et la Chambre des représentants du Congrès ont décidé que reconnaître l'oncle Sam Wilson de Troie, New York, comme le père du symbole national des États-Unis, l'oncle Sam. » Deux monuments marquent son lieu de naissance à Arlington, Massachusetts, et son lieu de sépulture, au cimetière Oakwoods, à Troy, New York. Une autre étape importante est "La maison d'enfance de l'oncle Sam" à sa deuxième maison à Mason, NH. La première utilisation du terme dans la littérature est documentée dans un livre allégorique 1816, Les aventures de l'Oncle Sam dans la recherche Après son honneur perdu par Frédéric Auguste Fidfaddy, se référant aussi à ce qui précède Samuel Wilson.
Les premières figures représentatives des États-Unis comprenaient des personnages tels que «Brother Jonathan», utilisé par le magazine Punch. Cependant, ces premières personnifications furent surpassées par celle de l'oncle Sam à l'époque de la guerre civile. La personnification féminine « Columbia » a été utilisé très peu depuis les années 20 l'image connue invitant l'enrôlement de l'Oncle Sam a été créé par James Montgomery Flagg, un artiste illustrateur et portrait le plus connu pour son travail dans la publicité. Selon certaines sources, le premier public est apparu l'image de l'Oncle Sam était une illustration de Flagg pour la couverture du magazine hebdomadaire de Leslie, publié le 6 Juillet 1916, avec la légende « Que faites-vous pour la préparation? » Plus de quatre millions de copies de cette image ont été imprimées entre 1917 et 1918. Il a également été fortement utilisé pendant la Seconde Guerre mondiale."
Pensez vous que cette appelation a ete trouvee par hasard. Quel meilleur moyen de manipulation contre ceux qui doivent le supporter un peu partout le dans le monde. L oncle, vous pensez qu il est un amis, qu il est la pour s occcuper de votre faiblesse et vous sortir de la panade. Je vais joindre le rapport des actiones faites par l oncle depuis que "cette grande nation" a ete creee.
La suite de cet article a ete alteré par les hakers. je vous demande de la comprehention. Vous pouvez trover
Les Etats-Unis ont été en guerre 222 des 239 années de leur existence
la machine s détruire à enter place dans presque tout le territoire mondiale car près de 800 bases militaires apparaissent dans la carte. Ci-dessus le graphique qui montre la menace des Occidentaux (OTAN_USA) contre le peuple Russe. Comme dans le passé, la Russie est la bette à abattre. Ni napoleon, Hitler (Roschild and cia.), ni l'Empire actuel. A continuation des paroles d un agent USA en charge de faire pouser l oncle sam la ou il n est pas encore.
"Nous sommes un peuple de la guerre.
Nous aimons la guerre parce que nous sommes très bons à la faire. En fait, c'est la seule chose que nous savons faire dans ce putain de pays: faire la guerre, on a eu beaucoup de temps de pratique et aussi parce que c'est sûr que nous ne sommes plus capables de construire une machine à laver ou une voiture qui vaille un pet de lapin ; par contre si vous avez plein de bronzés dans votre pays, dites leur de faire gaffe parce qu'on va venir leur foutre des bombes sur la gueule..."~ George Carlin ~Les Etats-Unis ont été en guerre 93% du temps de leur existence depuis leur création en 1776 c'est à dire 222 des 239 années de leur existenceLe pays n'a été en paix que 21 ans depuis sa création en 1776Écrit par Danios en 2011 et repris par le Washington BlogFévrier 2015Ci-dessous j'ai reproduit une chronologie année par année des guerres des Etats-Unis, ce qui révèle quelque chose de vraiment intéressant: Depuis que les Etats-Unis ont été fondés en 1776, ils ont été en guerre 214 ans sur les 235 ans de leur existence (NdT: texte de 2011, une mise à jour a été faire en fin d'article donnant le chiffre avancé). En d'autres termes, il n'y a que 21 années de calendrier durant lesquelles les Etats-Unis n'ont mené aucune guerre.Pour mettre ceci en perspective:* Prenez n'importe quelle année au hasard depuis 1776 et il y a 91% (93% avec les chiffes ajustés à 2015) de chances que les Etats-Unis étaient impliqués dans une guerre au cours de cette année là.* Aucun président des Etats-Unis ne se qualifie vraiment comme étant un président de temps de paix. De fait, tous les présidents des Etats-Unis qui se sont succèdés peuvent être tous considérés comme des "présidents en guerre".* Les Etats-Unis ne sont jamais restés une décennie complète sans être en guerre.* La seule fois où les Etats-Unis sont demeurés 5 ans sans être en guerre (1935-40) fut durant la période isolationniste de la Grande Dépression.* * *Chronologie année par année des guerres majeures dans lesquelles les Etats-Unis ont été impliqués (1776-2011)1776 - American Revolutionary War, Chickamagua Wars, Second Cherokee War, Pennamite-Yankee War1777 - American Revolutionary War, Chickamauga Wars, Second Cherokee War, Pennamite-Yankee War1778 - American Revolutionary War, Chickamauga Wars, Pennamite-Yankee War1779 - American Revolutionary War, Chickamauga Wars, Pennamite-Yankee War1780 - American Revolutionary War, Chickamauga Wars, Pennamite-Yankee War1781 - American Revolutionary War, Chickamauga Wars, Pennamite-Yankee War1782 - American Revolutionary War, Chickamauga Wars, Pennamite-Yankee War1783 - American Revolutionary War, Chickamauga Wars, Pennamite-Yankee War1784 - Chickamauga Wars, Pennamite-Yankee War, Oconee War1785 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War1786 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War1787 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War1788 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War1789 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War1790 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War1791 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War1792 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War1793 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War1794 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War1795 - Northwest Indian War1796 - Pas de guerre majeure1797 - Pas de guerre majeure1798 - Quasi-War1799 - Quasi-War1800 - Quasi-War1801 - First Barbary War1802 - First Barbary War1803 - First Barbary War1804 - First Barbary War1805 - First Barbary War1806 - Sabine Expedition1807 - Pas de guerre majeure1808 - Pas de guerre majeure1809 - Pas de guerre majeure1810 - U.S. occupies Spanish-held West Florida1811 - Tecumseh's War1812 - War of 1812, Tecumseh's War, Seminole Wars, U.S. occupies Spanish-held Amelia Island and other parts of East Florida1813 - War of 1812, Tecumseh's War, Peoria War, Creek War, U.S. expands its territory in West Florida1814 - War of 1812, Creek War, U.S. expands its territory in Florida, Anti-piracy war1815 - War of 1812, Second Barbary War, Anti-piracy war1816 - First Seminole War, Anti-piracy war1817 - First Seminole War, Anti-piracy war1818 - First Seminole War, Anti-piracy war1819 - Yellowstone Expedition, Anti-piracy war1820 - Yellowstone Expedition, Anti-piracy war1821 - Anti-piracy war (see note above)1822 - Anti-piracy war (see note above)1823 - Anti-piracy war, Arikara War1824 - Anti-piracy war1825 - Yellowstone Expedition, Anti-piracy war1826 - Pas de guerre majeure1827 - Winnebago War1828 - Pas de guerre majeure1829 - Pas de guerre majeure1830 - Pas de guerre majeure1831 - Sac and Fox Indian War1832 - Black Hawk War1833 - Cherokee Indian War1834 - Cherokee Indian War, Pawnee Indian Territory Campaign1835 - Cherokee Indian War, Seminole Wars, Second Creek War1836 - Cherokee Indian War, Seminole Wars, Second Creek War, Missouri-Iowa Border War1837 - Cherokee Indian War, Seminole Wars, Second Creek War, Osage Indian War, Buckshot War1838 - Cherokee Indian War, Seminole Wars, Buckshot War, Heatherly Indian War1839 - Cherokee Indian War, Seminole Wars1840 - Seminole Wars, U.S. naval forces invade Fiji Islands1841 - Seminole Wars, U.S. naval forces invade McKean Island, Gilbert Islands, and Samoa1842 - Seminole Wars1843 - U.S. forces clash with Chinese, U.S. troops invade African coast1844 - Texas-Indian Wars1845 - Texas-Indian Wars1846 - Mexican-American War, Texas-Indian Wars1847 - Mexican-American War, Texas-Indian Wars1848 - Mexican-American War, Texas-Indian Wars, Cayuse War1849 - Texas-Indian Wars, Cayuse War, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians1850 - Texas-Indian Wars, Cayuse War, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Yuma War, California Indian Wars, Pitt River Expedition1851 - Texas-Indian Wars, Cayuse War, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, Yuma War, Utah Indian Wars, California Indian Wars1852 - Texas-Indian Wars, Cayuse War, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Yuma War, Utah Indian Wars, California Indian Wars1853 - Texas-Indian Wars, Cayuse War, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Yuma War, Utah Indian Wars, Walker War, California Indian Wars1854 - Texas-Indian Wars, Cayuse War, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians1855 - Seminole Wars, Texas-Indian Wars, Cayuse War, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Yakima War, Winnas Expedition, Klickitat War, Puget Sound War, Rogue River Wars, U.S. forces invade Fiji Islands and Uruguay1856 - Seminole Wars, Texas-Indian Wars, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, California Indian Wars, Puget Sound War, Rogue River Wars, Tintic War1857 - Seminole Wars, Texas-Indian Wars, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, California Indian Wars, Utah War, Conflict in Nicaragua1858 - Seminole Wars, Texas-Indian Wars, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Mohave War, California Indian Wars, Spokane-Coeur d'Alene-Paloos War, Utah War, U.S. forces invade Fiji Islands and Uruguay1859 Texas-Indian Wars, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, California Indian Wars, Pecos Expedition, Antelope Hills Expedition, Bear River Expedition, John Brown's raid, U.S. forces launch attack against Paraguay, U.S. forces invade Mexico1860 - Texas-Indian Wars, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Paiute War, Kiowa-Comanche War1861 - American Civil War, Texas-Indian Wars, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Cheyenne Campaign1862 - American Civil War, Texas-Indian Wars, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Cheyenne Campaign, Dakota War of 1862,1863 - American Civil War, Texas-Indian Wars, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Cheyenne Campaign, Colorado War, Goshute War1864 - American Civil War, Texas-Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Cheyenne Campaign, Colorado War, Snake War1865 - American Civil War, Texas-Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Colorado War, Snake War, Utah's Black Hawk War1866 - Texas-Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians, Snake War, Utah's Black Hawk War, Red Cloud's War, Franklin County War, U.S. invades Mexico, Conflict with China1867 - Texas-Indian Wars, Long Walk of the Navajo, Apache Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians, Snake War, Utah's Black Hawk War, Red Cloud's War, Comanche Wars, Franklin County War, U.S. troops occupy Nicaragua and attack Taiwan1868 - Texas-Indian Wars, Long Walk of the Navajo, Apache Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians, Snake War, Utah's Black Hawk War, Red Cloud's War, Comanche Wars, Battle of Washita River, Franklin County War1869 - Texas-Indian Wars, Apache Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians, Utah's Black Hawk War, Comanche Wars, Franklin County War1870 - Texas-Indian Wars, Apache Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians, Utah's Black Hawk War, Comanche Wars, Franklin County War1871 - Texas-Indian Wars, Apache Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians, Utah's Black Hawk War, Comanche Wars, Franklin County War, Kingsley Cave Massacre, U.S. forces invade Korea1872 - Texas-Indian Wars, Apache Wars, Utah's Black Hawk War, Comanche Wars, Modoc War, Franklin County War1873 - Texas-Indian Wars, Comanche Wars, Modoc War, Apache Wars, Cypress Hills Massacre, U.S. forces invade Mexico1874 - Texas-Indian Wars, Comanche Wars, Red River War, Mason County War, U.S. forces invade Mexico1875 - Conflict in Mexico, Texas-Indian Wars, Comanche Wars, Eastern Nevada, Mason County War, Colfax County War, U.S. forces invade Mexico1876 - Texas-Indian Wars, Black Hills War, Mason County War, U.S. forces invade Mexico1877 - Texas-Indian Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians, Black Hills War, Nez Perce War, Mason County War, Lincoln County War, San Elizario Salt War, U.S. forces invade Mexico1878 - Paiute Indian conflict, Bannock War, Cheyenne War, Lincoln County War, U.S. forces invade Mexico1879 - Cheyenne War, Sheepeater Indian War, White River War, U.S. forces invade Mexico1880 - U.S. forces invade Mexico1881 - U.S. forces invade Mexico1882 - U.S. forces invade Mexico1883 - U.S. forces invade Mexico1884 - U.S. forces invade Mexico1885 - Apache Wars, Eastern Nevada Expedition, U.S. forces invade Mexico1886 - Apache Wars, Pleasant Valley War, U.S. forces invade Mexico1887 - U.S. forces invade Mexico1888 - U.S. show of force against Haiti, U.S. forces invade Mexico
1889 - U.S. forces invade Mexico
1890 - Sioux Indian War, Skirmish between 1st Cavalry and Indians, Ghost Dance War, Wounded Knee, U.S. forces invade Mexico
1891 - Sioux Indian War, Ghost Dance War, U.S. forces invade Mexico
1892 - Johnson County War, U.S. forces invade Mexico
1893 - U.S. forces invade Mexico and Hawaii
1894 - U.S. forces invade Mexico
1895 - U.S. forces invade Mexico, Bannock Indian Disturbances
1896 - U.S. forces invade Mexico
1897 - Pas de guerre majeure
1898 - Spanish-American War, Battle of Leech Lake, Chippewa Indian Disturbances
1899 - Philippine-American War, Banana Wars
1900 - Philippine-American War, Banana Wars
1901 - Philippine-American War, Banana Wars
1902 - Philippine-American War, Banana Wars
1903 - Philippine-American War, Banana Wars
1904 - Philippine-American War, Banana Wars
1905 - Philippine-American War, Banana Wars
1906 - Philippine-American War, Banana Wars
1907 - Philippine-American War, Banana Wars
1908 - Philippine-American War, Banana Wars
1909 - Philippine-American War, Banana Wars
1910 - Philippine-American War, Banana Wars
1911 - Philippine-American War, Banana Wars
1912 - Philippine-American War, Banana Wars
1913 - Philippine-American War, Banana Wars, New Mexico Navajo War
1914 - Banana Wars, U.S. invades Mexico
1915 - Banana Wars, U.S. invades Mexico, Colorado Paiute War
1916 - Banana Wars, U.S. invades Mexico
1917 - Banana Wars, World War I, U.S. invades Mexico
1918 - Banana Wars, World War I, U.S invades Mexico
1919 - Banana Wars, U.S. invades Mexico
1920 - Banana Wars
1921 - Banana Wars
1922 - Banana Wars
1923 - Banana Wars, Posey War
1924 - Banana Wars
1925 - Banana Wars
1926 - Banana Wars
1927 - Banana Wars
1928 - Banana Wars
1930 - Banana Wars
1931 - Banana Wars
1932 - Banana Wars
1933 - Banana Wars
1934 - Banana Wars
1935 - Pas de guerre majeure
1936 - Pas de guerre majeure
1937 - Pas de guerre majeure
1938 - Pas de guerre majeure
1939 - Pas de guerre majeure
1940 - Pas de guerre majeure
1941 - World War II
1942 - World War II
1943 - Wold War II
1944 - World War II
1945 - World War II
1946 - Cold War (U.S. occupies the Philippines and South Korea)
1947 - Cold War (U.S. occupies South Korea, U.S. forces land in Greece to fight Communists)
1948 - Cold War (U.S. forces aid Chinese Nationalist Party against Communists)
1949 - Cold War (U.S. forces aid Chinese Nationalist Party against Communists)
1950 - Korean War, Jayuga Uprising
1951 - Korean War
1952 - Korean War
1953 - Korean War
1954 - Covert War in Guatemala
1955 - Vietnam War
1956 - Vietnam War
1957 - Vietnam War
1958 - Vietnam War
1959 - Vietnam War, Conflict in Haiti
1960 - Vietam War
1961 - Vietnam War
1962 - Vietnam War, Cold War (Cuban Missile Crisis; U.S. marines fight Communists in Thailand)
1963 - Vietnam War
1964 - Vietnam War
1965 - Vietnam War, U.S. occupation of Dominican Republic
1966 - Vietnam War, U.S. occupation of Dominican Republic
1967 - Vietnam War
1968 - Vietnam War
1969 - Vietnam War
1970 - Vietnam War
1971 - Vietnam War
1972 - Vietnam War
1973 - Vietnam War, U.S. aids Israel in Yom Kippur War
1974 - Vietnam War
1975 - Vietnam War
1976 - Pas de guerre majeure
1977 - Pas de guerre majeure
1978 - Pas de guerre majeure
1979 - Cold War (CIA proxy war in Afghanistan)
1980 - Cold War (CIA proxy war in Afghanistan)
1981 - Cold War (CIA proxy war in Afghanistan and Nicaragua), First Gulf of Sidra Incident
1982 - Cold War (CIA proxy war in Afghanistan and Nicaragua), Conflict in Lebanon
1983 - Cold War (Invasion of Grenada, CIA proxy war in Afghanistan and Nicaragua), Conflict in Lebanon
1984 - Cold War (CIA proxy war in Afghanistan and Nicaragua), Conflict in Persian Gulf
1985 - Cold War (CIA proxy war in Afghanistan and Nicaragua)
1986 - Cold War (CIA proxy war in Afghanistan and Nicaragua)
1987 - Conflict in Persian Gulf
1988 - Conflict in Persian Gulf, U.S. occupation of Panama
1989 - Second Gulf of Sidra Incident, U.S. occupation of Panama, Conflict in Philippines
1990 - First Gulf War, U.S. occupation of Panama
1991 - First Gulf War
1992 - Conflict in Iraq
1993 - Conflict in Iraq
1994 - Conflict in Iraq, U.S. invades Haiti
1995 - Conflict in Iraq, U.S. invades Haiti, NATO bombing of Bosnia and Herzegovina
1996 - Conflict in Iraq
1997 - Pas de guerre majeure
1998 - Bombing of Iraq, Missile strikes against Afghanistan and Sudan
1999 - Kosovo War
2000 - Pas de guerre majeure
2001 - War on Terror in Afghanistan
2002 - War on Terror in Afghanistan and Yemen
2003 - War on Terror in Afghanistan, and Iraq
2004 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Pakistan, and Yemen
2005 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Pakistan, and Yemen
2006 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Pakistan, and Yemen
2007 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Pakistan, Somalia, and Yemen
2008 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Pakistan, and Yemen
2009 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Pakistan, and Yemen
2010 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Pakistan, and Yemen
2011 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Pakistan, Somalia, and Yemen; Conflict in Libya (Libyan Civil War)
Dans la vaste majorité de ces guerres, les Etats-Unis furent à l'offensive. Danios admet que quelques unes de ces guerres furent défensives ; mais il laisse aussi de côté toutes les opérations secrètes de la CIA renversant des régimes (la liste est longue) et d'autres actes qui pourraient aussi être considérés comme actes de guerre.
Faisons une mise à jour de ce qu'il s'est passé depuis 2011, date de cette analyse:
2012 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Somalia, Syria and Yemen
2013 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Somalia, Syria and Yemen
2014 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Somalia, Syria and Yemen; Civil War in Ukraine
2015 - War on Terror in Somalia, Somalia, Syria and Yemen; Civil War in Ukraine
Donc, nous pouvons ajouter 4 années supplémentaires de guerre. Ceci veut dire 222 sur 239 ou 93% du temps, les Etats-Unis ont été en guerre. (On peut pinailler sur le chiffre exact, mais le haut pourcentage de temps où les Etats-Unis ont été en guerre est clair et sans erreur possible...)
En fait, quasiment toutes les opérations militaires qui ont été lancées depuis la fin de la seconde guerre mondiale, l'ont été par les Etats-Unis.
De plus, les dépenses militaires des Etats-Unis (NdT: son budget de "l'offensive" pour son ministère de l'offensive...) écrasent celles de toutes les autres nations du monde mises ensemble.
Pas étonnant donc que le monde pense de manière dominante que les Etats-Unis sont la menace mondiale #1 pour la paix globale.
Note de Résistance 71 :
Il y a encore des Etats-Uniens (plus qu'on le croit) qui se posent toujours la question suivante: "Pourquoi tous ces gens dans le monde nous détestent-ils ?" A cette question la propagande yankee leur a bourré le crâne depuis des lustres en leur disant: "C'est parce qu'ils sont jaloux de nous, jaloux de notre liberté, jaloux de notre grandeur, jaloux de notre culture."
Pathétique non ?...
url de l'article: https://www.infowars.com/america-has-been-at-war-93-of-the-time-222-out-of-239-years-since-1776/
~ Traduit de l'anglais par Résistance 71 ~
Partager la publication "Les Etats-Unis ont été en guerre 222 des 239 années de leur existence"8730Total : 8730PocketE-mailPublier un articleImprimerAfghanistanbombesDépressionEtats-UnisKosovomassacreprésident des Etats-UnisUkraine
CONFESSIONS D'UN "ASSASSIN FINANCIER"
Source : Blog Médiapart, le 23 septembre 2010.
"En 2006 est paru un article du Dr Andreas Mylaeus sur la sortie de l'autobiographie d'un homme, John Perkins (Confessions d'un assassin financier_alTERRE, 2005), dont je remercie Mr SALVON, Chef des Travaux, de m'avoir mis sur la piste :
Dans cette autobiographie captivante, l'auteur raconte comment, ancien serviteur empressé de l'«empire global», il est devenu un défenseur des droits de l'homme et des peuples opprimés.
Recruté en tant qu'agent infiltré en 1971, à l'âge de 26 ans, par laNational Security Agency (NSA) américaine et salarié par la société-conseil internationale Chas. T. Main, il a voyagé de par le monde: Indonésie, Panama, Equateur, Colombie, Arabie saoudite, Iran et autres pays d'importance stratégique.
Sa mission était de mettre en œuvre des mesures politiques à l'aide d'études de faisabilité et de projections de croissance économique en apparence scientifiquement fondées mais manipulées, cela afin de promouvoir les intérêts de ce qu'il appelle la «corporatocratie» (coalition de gouvernements, de banques et d'entreprises) américaine et internationale, sous prétexte de lutte contre la pauvreté. Mesures politiques qui ont monté beaucoup de peuples contre les Etats-Unis et ont, entre autres, finalement abouti aux événements du 11 septembre 2001.
Le récit de Perkins nous montre jusqu'où lui et ses collègues - qui se nomment eux-mêmes des «assassins financiers» (economic hit men) - étaient prêts à aller. Il explique par exemple comment il a contribué à réaliser des plans secrets qui ont amené des pays du tiers-monde fortement endettés à se soumettre aux intérêts militaires, politiques et économiques de «l'empire global» ou fait revenir des milliards de pétrodollars d'Arabie Saoudite dans l'économie des Etats-Unis.
Il met au jour les mécanismes du contrôle impérial cachés derrière plusieurs événements dramatiques de l'histoire récente comme la chute du shah d'Iran, la mort du président de l'Equateur Jaime Roldos, le 24 mai 1981, et du président du Panama Omar Torrijos, le 31 juillet 1981, les invasions, par les Etats-Unis, du Panama le 20 décembre 1989 et de l'Irak durant les premiers mois de 1991.
Formation des «assassins financiers»
«Les «assassins financiers» sont des professionnels grassement payés qui escroquent des billions de dollars à divers pays du globe. Ils dirigent l'argent de la Banque mondiale, de l'Agence américaine du développement international et d'autres organisations «humanitaires» vers les coffres de grandes compagnies et vers les poches de quelques familles richissimes qui contrôlent les ressources naturelles de la planète. Leurs armes principales sont les rapports financiers frauduleux, les élections truquées, les pots-de-vin, l'extorsion, le sexe et le meurtre. Ils jouent un jeu vieux comme le monde mais qui a atteint des proportions terrifiantes en cette époque de mondialisation.»
En 1971, alors qu'il avait 26 ans et après son recrutement par la NSA, Perkins est devenu, sous la houlette d'une formatrice, un assassin financier. Ses missions étaient, entre autres, les suivantes:
«Premièrement il devait justifier d'énormes prêts internationaux dont l'argent [provenant des pays en voie de développement qui recevaient des prêts] serait redirigé vers MAIN et d'autres compagnies américaines (comme Bechtel, Halliburton, Stone & Webster et Brown & Root) par le biais de grands projets de construction et d'ingénierie. Deuxièmement, il devait mener à la banqueroute les Etats qui recevaient ces prêts (après qu'ils avaient payé MAIN et les autres entreprises américaines, évidemment) de sorte qu'ils seraient à jamais redevables à leurs créanciers et constitueraient donc des cibles faciles quand on aurait besoin d'obtenir leurs faveurs sous la forme de bases militaires, de votes aux Nations unies ou de l'accès au pétrole et à d'autres ressources naturelles.»
Exemple de l'Equateur
Depuis que les assassins financiers ont introduit en Equateur les «bienfaits» de l'économie moderne, des banques et de l'ingénierie, le pays se porte beaucoup plus mal. Depuis 1970, donc durant la période dite par euphémisme celle du boom pétrolier, le niveau de pauvreté officiel est passé de 50% à 70%, le sous-emploi, c'est-à-dire le chômage, de 15% à 70% et la dette publique de 240 millions à 16 milliards de dollars. En même temps, la part des ressources nationales allouée aux plus pauvres est passée de 20% à 6%. Et l'Equateur n'est pas une exception. Presque tous les pays que les assassins financiers ont placés sous la «protection» de l'empire global ont connu un sort analogue. La dette du tiers-monde est maintenant de deux billions et demi de dollars et sa gestion, en 2004, coûte environ 375 milliards par an, soit plus que les dépenses totales du tiers-monde en matière de santé et d'éducation, et vingt fois plus que ce que les pays en voie de développement reçoivent au titre de l'aide au développement.
La subtilité des moyens utilisés pour créer cet empire moderne aurait fait rougir de honte les centurions romains, les conquistadors espagnols et les puissances coloniales européennes des XVIIIeet XIXe siècles. Les assassins financiers sont rusés, ils ont su tirer les leçons de l'histoire.
Aujourd'hui, on ne porte plus ni armure ni costume distinctif. Dans des pays comme l'Equateur, le Nigeria ou l'Indonésie, ils sont vêtus comme les enseignants ou les boutiquiers. A Washington et à Paris, ils se confondent avec les bureaucrates et les banquiers. Ils ont l'air modeste et normaux. Ils visitent les sites des projets et se promènent dans les villages appauvris.
Ils professent l'altruisme et parlent aux journaux locaux de leurs merveilleuses réalisations humanitaires. Ils arrosent de leurs bilans et de leurs projections financières les commissions gouvernementales et donnent des cours sur les miracles de la macroéconomie à la Harvard Business School.
Ils avancent à découvert et on les accepte tels qu'ils sont. C'est ainsi que le système fonctionne. Ils commettent rarement des actes illégaux, car le système lui-même repose sur le subterfuge et est légal par définition.
Les étapes de l'escalade
Cependant - et c'est là une restriction importante - s'ils échouent, des individus plus sinistres encore entrent en scène, ceux que les assassins financiers appellent les «chacals», qui sont les héritiers directs des empires de jadis. Ils sont toujours présents, tapis dans l'ombre. Quand ils sortent, des chefs d'Etat sont renversés ou meurent dans des «accidents». Et si par hasard les chacals échouent, comme en Afghanistan ou en Irak, les vieux modèles resurgissent: de jeunes Américains sont envoyés au combat, pour tuer et pour mourir.
Depuis la fin des années 60, l'exploitation pétrolière du bassin équatorien a conduit au bradage des ressources nationales. Le petit cercle de familles qui dirigeaient l'Equateur était tombé dans le piège des banques internationales. Ces familles ont fait contracter à leur pays d'énormes dettes suite aux promesses de futurs revenus pétroliers.
Jaime Roldos, avocat et professeur d'université d'environ 30 ans fut élu président de l'Equateur en 1979 parce qu'il croyait au droit des pauvres et à la responsabilité des politiciens quant à l'exploitation des ressources. Il n'était pas communiste mais défendait le droit de son pays à décider de son destin. Il n'était lié ni à la Russie ni à la Chine et il n'était pas - comme Allende - membre de l'internationale socialiste. Il était nationaliste mais pas anti-américain. Il n'était tout simplement pas corrompu.
Au début de 1981, le gouvernement Roldos présenta au Congrès équatorien sa nouvelle loi sur les hydrocarbures. Si celle-ci était appliquée, elle réformerait les relations de l'Equateur avec les compagnies pétrolières. Selon certains critères, elle était considérée comme révolutionnaire. Son influence s'étendrait bien au-delà de l'Equateur, à une grande partie de l'Amérique latine et ailleurs dans le monde.
Quelques semaines après avoir présenté son projet de loi au Congrès, Roldos mourut dans un accident d'hélicoptère le 24 mai 1981. Pour Perkins, il ne fait aucun doute que la mort de Roldos n'était pas un accident. Elle présentait tous les signes d'un assassinat orchestré par la CIA et il était évident que l'on voulait ainsi transmettre au monde le message selon lequel l'empire global ne tolérait pas des exemples que pourraient suivre d'autres pays aimant la liberté.
L'exemple de Panama
Panama est un autre exemple de cette politique. Bien que l'importance du canal, à cause des dimensions des bateaux modernes, eût diminué et que Panama ne possédât pas de richesses minières, l'empire global ne pouvait pas tolérer que ce pays de deux millions d'habitants prenne en main son propre destin. Le président Omar Torrijos fut assassiné parce qu'il voulait diminuer l'influence de la corporatocratie et devenir ainsi un exemple pour d'autres pays comme l'Equateur et le Venezuela.
Le processus démocratique initié par Roldos, Torrijos et d'autres donnait trop de pouvoir aux peuples concernés face à l'empire global. C'est pourquoi deux présidents sont morts et ce qu'ils avaient commencé a été anéanti.
Pendant trois décennies, des milliers d'hommes et de femmes ont contribué à créer la situation précaire dans laquelle se trouve l'Equateur au début du troisième millénaire.
Certains avaient, tout comme Perkins, agi sciemment, mais la plupart avaient simplement mis en œuvre ce qu'on leur avait appris dans les écoles de commerce, d'ingénierie et de droit ou avaient suivi l'exemple de gens comme Perkins, qui faisaient la démonstration du système par leur propre cupidité et par les récompenses ou punitions destinées à le perpétuer.
Les récompenses consistaient en rémunérations, primes, pensions et polices d'assurance; les menaces résidaient dans la pression exercée par les groupes sociaux sur les individus et dans les inquiétudes quant à l'avenir de leurs enfants, notamment à leur éducation.
Fragilité du système monétaire soutenu par le dollar
En dernière analyse, selon Perkins, l'empire global dépend largement du fait que le dollar est la principale monnaie internationale. Ainsi les Etats-Unis prêtent de l'argent à des pays comme l'Equateur tout en sachant très bien que ces derniers ne pourront jamais le rembourser. En fait, ils ne veulent pas qu'ils paient leurs dettes, puisque c'est ce non-paiement qui leur procure une influence sur ces pays.
Dans des conditions normales, les Etats-Unis risqueraient de finir par épuiser leurs propres fonds, car aucun créancier ne peut se permettre d'avoir trop de débiteurs qui ne le remboursent pas. Mais nous ne sommes pas dans des conditions normales. Les Etats-Unis émettent des billets qui ne sont pas couverts par de l'or. En fait, cette monnaie n'est couverte que par la confiance internationale dans l'économie américaine et dans la capacité des Etats-Unis à gérer les forces et les ressources de l'empire global - si nécessaire, par la force - de façon à ce qu'elles servent leurs intérêts.
Tant que le monde acceptera le dollar comme monnaie internationale, l'énorme dette publique des Etats-Unis ne posera aucun problème sérieux à la corporatocratie.
Toutefois si jamais une autre monnaie venait remplacer le dollar et que certains créanciers des Etats-Unis (le Japon ou la Chine, par exemple) décidaient de réclamer leur dû, la situation changerait dramatiquement. Les Etats-Unis se trouveraient soudain dans une situation très précaire.
Perkins pense que la véritable histoire de l'empire global a d'une manière générale quelque chose à voir avec nous-mêmes. Et cela explique évidemment pourquoi nous avons autant de peine à aborder l'histoire véritable. Nous préférons croire au mythe selon lequel la société humaine, après des milliers d'années d'évolution, a finalement créé un système économique idéal plutôt que de reconnaître qu'il s'agit d'une idée fausse érigée en parole d'évangile.
Nous nous sommes mis en tête que toute croissance économique bénéficiait à l'humanité et que plus cette croissance était importante, plus les bénéfices en étaient répandus.
Et pour finir, nous nous sommes persuadés que le corollaire de cette idée était valable et moralement juste, c'est-à-dire que les gens qui excellent à stimuler la croissance économique doivent être félicités et récompensés, alors que ceux qui sont nés en marge de l'opulence sont disponibles pour être exploités.
Non aux théories du complot
Il serait commode de rejeter la faute sur un complot, mais nous ne le pouvons pas. L'empire global dépend de l'efficacité des grandes banques, des grands groupes et des gouvernements - de la corporatocratie - mais il n'y a pas de conspiration.
La corporatocratie, c'est nous-mêmes qui en permettons l'existence et c'est pourquoi la plupart d'entre nous avons du mal à nous y opposer. Nous préférons imaginer des conspirateurs tapis dans l'ombre parce que nous travaillons presque tous pour l'une de ces banques, de ces sociétés ou l'un de ces gouvernements ou en dépendons pour les biens et services qu'ils produisent et commercialisent. Comment mordre la main qui nous nourrit?
Perkins compare la situation actuelle à celle des colons américains qui, contre la théorie du mercantilisme, se sont décidés pour l'indépendance et se sont opposés à l'Empire britannique.
On les avait pourtant convaincus qu'il valait mieux pour tout le monde que l'ensemble des ressources soient acheminées vers le roi d'Angleterre. Ils ont finalement compris que ce système ne faisait qu'enrichir les riches au détriment des pauvres.
Pour une humanité qui va sur la Lune, qui a démantelé le système soviétique, qui vend des produits tels que Nike, McDonald's ouCoca-Cola aux pauvres du monde entier comme autant de symboles du progrès et qui est capable de créer dans le monde entier des infrastructures pour ces entreprises, il ne devrait pas être difficile de résoudre les problèmes qui se présentent.
Ce ne sont pas les réseaux internationaux de communication et de distribution qui manquent. Ce qu'il nous faut, c'est une révolution de l'éducation qui nous amène, nous et nos enfants, à penser de manière indépendante, à mettre en question les explications toutes faites et à oser sortir des chemins battus de la pensée et de l'action pour nous mettre ensemble et créer des alternatives au système actuel.
Est-ce encore possible?
Un assassin financier parle : John Perkins explique comment la Grèce a été victime des «assassins financiers»
Par Michael Nevradakis - Le 11 septembre 2014 - Source Truthout
John Perkins, auteur des Confessions of an Economic Hit Man [Confessions d'un assassin financier], explique comment la Grèce et d'autres pays de l'eurozone sont devenus les nouvelles victimes des assassins financiers.
John PerkinsJohn Perkins est un habitué des confessions. Son célèbre livre, Confessions of an Economic Hit Man, a révélé comment les organisations internationales, telles que le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale, tout en prétendant publiquement sauverles pays et les économies en souffrance, leurrent plutôt leurs gouvernements en les appâtant : en promettant une croissance surprenante, de superbes infrastructures et un avenir de prospérité économique - tout ce qui arriverait si ces pays empruntaient des sommes énormes à ces organisations. Loin d'atteindre une croissance économique galopante et le succès, ces pays au contraire s'effondrent sous le poids de dettes écrasantes et insoutenables.
C'est ici que les assassins financiers entrent en scène : des hommes apparemment ordinaires, dont la situation est ordinaire, se rendent dans ces pays et y imposent les sévères politiques d'austérité prescrites par le FMI et la Banque mondiale commesolutions aux difficultés économiques qu'ils connaissent maintenant. Les hommes comme Perkins ont été formés à presser chaque dernière goutte de richesse et de ressources de ces économies malades, et continuent à le faire à ce jour. Dans cette interview, diffusée sur Dialogos Radio, Perkins explique comment la Grèce et l'eurozone sont devenus les nouvelles victimes de ces assassins économiques.
Michael Nevradakis - Dans votre livre, vous décrivez comment vous avez été pendant de nombreuses années ce qu'on appelle un assassin financier. Qui sont ces tueurs à gage économiques et que font-ils?
John Perkins - Pour l'essentiel, mon boulot consistait à identifier les pays détenant des ressources qui intéressent nos multinationales, et qui pouvaient être des choses comme du pétrole, ou des marchés prometteurs, des systèmes de transport. Il y a tant de choses différentes. Une fois que nous avions identifié ces pays, nous organisions des prêts énormes pour eux, mais l'argent n'arriverait jamais réellement à ces pays; au contraire, il irait à nos propres multinationales pour réaliser des projets d'infrastructures dans ces pays, des choses comme des centrales électriques et des autoroutes qui bénéficiaient à un petit nombre de gens riches ainsi qu'à nos propres entreprises. Mais pas à la majorité des gens qui ne pouvaient se permettre d'acheter ces choses, et pourtant ce sont eux qui ployaient sous le fardeau d'une dette énorme, très semblable à celle de la Grèce actuellement, une dette phénoménale.
Et une fois [qu'ils étaient] liés par cette dette, nous revenions, sous la forme du FMI - et dans le cas de la Grèce aujourd'hui, c'est le FMI et l'Union européenne - et posions des exigences énormes au pays : augmenter les impôts, réduire les dépenses, vendre les services publics aux entreprises privées, des choses comme les compagnies d'électricité et les systèmes de distribution de l'eau, les transports, les privatiser, et devenir au fond un esclave pour nous, pour les sociétés, pour le FMI, dans votre cas pour l'Union européenne. Fondamentalement, des organisations comme la Banque mondiale, le FMI, l'UE sont les outils des grandes sociétés multinationales, ce que j'appelle lacorporatocratie.
- Avant de considérer le cas spécifique de la Grèce, parlons un peu plus de la manière dont opèrent ces tueurs à gage économiques et ces organisations, comme le FMI. Vous avez expliqué, bien sûr, comment elles entrent dans ces pays et travaillent pour les endetter massivement, avec l'argent qui entre puis repart directement. Vous avez aussi mentionné dans votre livre ces pronostics de croissance optimistes, qui sont vendus aux hommes politiques de ces pays, mais qui n'ont en réalité aucun rapport avec la réalité.
- Exactement. Nous avons montré que si ces investissements étaient placés dans des choses comme les systèmes d'énergie électrique, l'économie croîtrait dans des proportions phénoménales. Le nœud du problème est toutefois que lorsque vous investissez dans ces grandes infrastructures, la plus grande partie de cette croissance reflète le fait que le riche devient plus riche et encore plus riche ; elle ne reflète pas la situation de la majorité du peuple, et nous le voyons aux États-Unis aujourd'hui.
Par exemple, là où nous pouvions montrer une croissance économique, la croissance du PIB, le chômage peut en même temps augmenter ou rester au même niveau, et les saisies de maisons peuvent augmenter ou rester stables. Ces chiffres tendent à refléter la position des très riches, puisqu'ils possèdent un énorme pourcentage de l'économie, statistiquement parlant. Néanmoins, nous devions démontrer que lorsque vous investissez dans ces projets d'infrastructures, votre économie se développe, et nous voulions encore prouver que sa croissance serait beaucoup plus rapide que prévue, et c'était seulement utilisé pour justifier ces prêts épouvantables et incroyablement affaiblissants.
- Y a-t-il des points communs entre les pays généralement ciblés ? Sont-ils, par exemple, riches en ressources ou jouissent-ils de quelque autre importance stratégique pour les pouvoirs en place ?
- Oui, tous. Les ressources peuvent prendre différentes formes : certaines sont matérielles, comme les minéraux ou le pétrole ; une autre est l'emplacement stratégique ; une autre encore est un grand marché ou un faible coût du travail. Ainsi, différents pays ont des obligations différentes. Je pense que ce que nous voyons en Europe aujourd'hui n'est pas différent, et cela inclut la Grèce.
- Que se passe-t-il lorsque ces pays ciblés sont endettés ? Comment ces grandes puissances, ces tueurs économiques, ces organisations internationales reviennent-elles et obtiennent-elles leurlivre de chair des pays qui sont lourdement endettés ?
- En insistant pour que les pays adoptent des politiques qui vendront leurs entreprises étatiques de service public aux grandes sociétés. L'eau et les systèmes d'épuration, peut-être les écoles, les transports, même les prisons. Privatiser, privatiser. Permettez-nous de construire des bases militaires sur votre sol. Beaucoup de choses peuvent être faites, mais à la base, ils deviennent les serviteurs de ce que j'appelle la corporatocratie. Vous devez vous rappeler qu'aujourd'hui, nous avons un Empire mondial, et ce n'est pas un empire américain. Ce n'est pas un empire national. Il n'aide pas beaucoup le peuple américain. C'est un empire industriel, et les grandes entreprises gouvernent. Elles contrôlent la politique des États-Unis et, dans une large mesure, elles contrôlent une grande partie des politiques de pays comme la Chine, partout dans le monde.
- John, considérons maintenant le cas spécifique de la Grèce ; bien sûr vous avez dit que vous croyiez que ce pays est devenu la victime de tueurs économiques et de ces organisations internationales... Quelle a été votre réaction quand vous avez entendu parler pour la première fois de la crise en Grèce et des mesures à mettre en œuvre dans le pays ?
- Je suis la situation de la Grèce depuis longtemps. J'ai été à la télévision grecque. Une société de production grecque a réalisé un documentaire intitulé Apology of an Economic Hit Man [Confessions d'un tueur économique] et j'ai aussi passé beaucoup de temps en Islande et en Irlande. J'ai été invité en Islande pour aider à encourager les gens à voter pour un référendum visant à ne pas rembourser leurs dettes, et je l'ai fait et j'ai encouragé les gens à ne pas le faire, et le résultat, c'est que l'Islande se porte plutôt bien maintenant économiquement, comparée au reste de l'Europe. L'Irlande, d'autre part : j'ai essayé de faire la même chose là-bas, mais les Irlandais ont manifestement voté contre le référendum, malgré qu'il y avait de nombreux rapports faisant état d'une importante corruption.
Dans le cas de la Grèce, ma réaction a été : «La Grèce est touchée». Il n'y a aucun doute à ce sujet. Bien sûr, la Grèce a commis des erreurs, vos dirigeants ont fait quelques erreurs, mais le peuple n'en a vraiment pas fait, et maintenant on demande aux gens de payer pour les erreurs commises par leurs dirigeants, souvent de mèche avec les grandes banques. Donc des gens font d'énormes quantités d'argent de ces prétendues erreurs, et maintenant, on demande au peuple qui n'en a pas fait d'en payer le prix. C'est une constante dans le monde entier : nous l'avons vu en Amérique latine. Nous l'avons vu en Asie. Nous l'avons vu dans tellement d'endroits dans le monde.
- Cela m'amène directement à la question suivante : d'après mes observations, en Grèce au moins, la crise a été accompagnée par une montée de l'auto-accusation ou du dégoût de soi ; il y a ce sentiment en Grèce partagé par beaucoup de gens que le pays a échoué, que les gens ont échoué... Il n'y a quasiment plus de protestation en Grèce, et évidemment il y a une énorme fuite des cerveaux - beaucoup de gens quittent le pays. Cela vous semble-t-il familier lorsque l'on compare à d'autres pays dans lesquels vous avez une expérience personnelle ?
- Bien sûr, cela fait partie du jeu : convaincre les gens qu'ils ont tort, qu'ils sont inférieurs. La corporatocratie est incroyablement bonne là-dedans, par exemple la guerre au Vietnam, pour convaincre le monde que les Nord-Vietnamiens étaient mauvais ; aujourd'hui, ce sont les musulmans. C'est une politique antagoniste : nous sommes bons. Nous avons raison. Nous faisons tout juste. Vous avez tort. Et dans ce cas, toute cette énergie a été dirigée contre le peuple grec pour dire : «Vous êtes paresseux, vous n'avez pas fait pas ce qu'il fallait, vous n'avez pas mené les bonnes politiques», alors qu'en réalité, c'est contre la communauté financière, qui a encouragé la Grèce à prendre cette voie, qu'il faut porter une énorme montagne d'accusations. Et je voudrais dire qu'il se passe quelque chose de très semblable aux États-Unis, où les gens sont amenés à croire qu'ils étaient stupides parce que leurs maisons ont été saisies, qu'ils ont acheté les mauvaises maisons, qu'ils ont dépensé au-delà de leurs moyens.
Le fait est que leurs banquiers leur ont dit de le faire, et dans le monde entier, nous en sommes venus à faire confiance à des banquiers - ou nous avions l'habitude de le faire. Aux États-Unis, nous n'avons jamais cru qu'un banquier nous dirait d'acheter une maison à 300 000 dollars. Nous pensions que c'était dans l'intérêt des banques de ne pas la saisir. Mais cela a changé il y a quelques années, et les banquiers ont dit aux gens qui savaient ne pouvoir se permettre qu'une maison à 300 000 dollars d'en acheter une à 500 000 dollars.
«Serrez-vous la ceinture, dans quelques années, cette maison vaudra plus d'un million de dollars ; vous gagnerez beaucoup d'argent»... En fait, la valeur des maisons a baissé, le marché s'est effondré, les banques ont saisi ces maisons, les ont transformées et les ont revendues. Double coup dur. On a dit aux gens : «Vous avez été stupides, vous avez été cupides, pourquoi avez-vous acheté une maison si chère ?» Mais en réalité, ce sont les banquiers qui leur ont dit de le faire, et nous avons été éduqués à croire que nous pouvons faire confiance à nos banquiers. Quelque chose de très semblable à grande échelle est arrivé dans tellement de pays dans le monde, y compris en Grèce.
- En Grèce, les grands partis traditionnels sont, évidemment, majoritairement en faveur des dures mesures d'austérité qui ont été imposées, mais nous voyons aussi que les grands intérêts économiques et des médias les soutiennent massivement. Cela vous surprend-il au moins un peu ?
- Non, cela ne me surprend pas, et pourtant c'est ridicule, parce que l'austérité ne fonctionne pas. Nous l'avons prouvé encore et encore, et peut-être la plus grande preuve est l'inverse, aux États-Unis pendant la Grande dépression, lorsque le président Roosevelt a lancé toutes ces politiques pour remettre les gens au travail, pour injecter de l'argent dans l'économie. C'est cela qui fonctionne. Nous savons que l'austérité ne marche pas dans ces situations.
Nous devons aussi comprendre que, par exemple aux États-Unis, au cours des 40 dernières années, la classe moyenne a décliné en terme de pouvoir d'achat réel, tandis que la croissance économique a augmenté. En fait, c'est précisément ce qui est arrivé dans le monde entier. A l'échelle mondiale, la classe moyenne décline. Les grandes entreprises doivent reconnaître - elles ne l'ont pas encore fait, mais elles doivent le reconnaître - que cela ne sert les intérêts de personne à long terme, que la classe moyenne est le marché. Et si la classe moyenne continue à décliner, que ce soit en Grèce ou aux États-Unis, ou mondialement, ce sont les entreprises qui en paieront le prix pour finir ; elles n'auront plus de consommateurs. Henry Ford a dit un jour: «Je veux payer tous mes ouvriers suffisamment afin qu'ils puissent sortir et acheter des voitures Ford.» C'est une très bonne politique. C'est sage. Ces programmes d'austérité vont dans le sens contraire et c'est une politique stupide.
- Dans votre livre, écrit en 2004, vous avez exprimé l'espoir que l'euro servirait de contrepoids à l'hégémonie américaine mondiale, à l'hégémonie du dollar US. Vous étiez-vous jamais attendu à voir dans l'Union européenne ce que nous voyons aujourd'hui, avec l'austérité qui ne sévit pas seulement en Grèce, mais aussi en Espagne, au Portugal, en Irlande, en Italie et dans plusieurs autres pays ?
- Ce que je n'avais pas réalisé durant toute cette période est à quel point lacorporatocratie ne veut pas d'Europe unie. Nous devons comprendre cela. Ils peuvent être assez satisfaits avec l'euro, avec une monnaie - ils sont satisfaits à un certain point qu'elle soit unique, de façon à ce que les marchés soient ouverts - mais ils ne veulent pas de règles et de régulations standardisées. Avouons-le, les grandes sociétés, lacorporatocratie, tirent un avantage du fait que certains pays en Europe ont des lois fiscales beaucoup plus clémentes, certains ont des lois sociales et environnementales beaucoup plus indulgentes, et elles peuvent les monter les uns contre les autres.
Que se passerait-il pour les grandes sociétés si elles n'avaient pas leurs paradis fiscaux dans des endroits comme Malte ou ailleurs? Je pense que nous devons reconnaître ce que la corporatocratie a vu en premier, l'euro solide, une Union européenne qui semblait une très bonne chose ; mais lorsque celle-ci a évolué, ils ont aussi vu que ce qui allait arriver étaient ces lois sociales et environnementales et que les régulations seraient standardisées. Ils ne le voulaient pas, donc dans une certaine mesure, ce qui s'est passé en Europe est arrivé parce que la corporatocratie veut que l'Europe échoue, au moins à un certain niveau.
- Vous avez écrit sur les exemples de l'Équateur et d'autre pays, qui après l'effondrement des prix du pétrole à la fin des années 1980, se sont retrouvés avec des dettes énormes et ce qui a conduit, bien sûr, à des mesures d'austérité massives... Tout cela sonne de manière très semblable à ce que nous voyons aujourd'hui en Grèce. Comment les peuples de l'Équateur et d'autres pays qui se sont retrouvés dans des situations similaires ont-ils finalement résisté ?
- L'Équateur a élu un président assez remarquable, Rafael Correa, qui a un doctorat en économie d'une université états-unienne. Il comprend le système, et il a compris que l'Équateur acceptait de rembourser ses dettes lorsque j'étais un assassin économique et que le pays était dirigé par une junte militaire qui était sous le contrôle de la CIA et des États-Unis. Il a compris que la junte acceptait ces dettes immenses, et endettait profondément l'Équateur. Lorsque Rafael Correa a été démocratiquement élu, il a dit immédiatement : «Nous ne payerons pas ces dettes, le peuple ne les a pas approuvées ; peut-être le FMI devrait-il les payer, ou peut-être la junte, qui bien sûr avait disparu depuis longtemps - enfuie à Miami ou ailleurs - peut-être John Perkins et les autres tueurs à gage financiers devraient-ils payer les dettes, mais le peuple ne devrait pas les payer.»
Et depuis lors, il a renégocié et fait baisser les dettes, en disant: «Nous pourrions être disposés à en payer certaines.» C'était un geste très intelligent. Il reflétait différentes choses qui avaient été faites à différents moments dans différents endroits, comme le Brésil et l'Argentine et, plus récemment, en suivant le modèle de l'Islande, avec beaucoup de succès. Je dois dire que Correa a connu quelques véritables revers depuis lors... Lui, comme tant d'autres présidents, doit être conscient que si vous vous opposez trop fortement au système, si les assassins économiques ne sont pas contents, s'ils ne parviennent pas à leurs fins, alors les chacals arriveront et vous assassineront ou vous renverseront par un coup d'État. Il y a eu une tentative de coup d'État contre lui ; il y a eu un coup d'État réussi dans un pays pas très éloigné du sien, le Honduras, parce que ces présidents se sont dressés contre le système.
Nous devons prendre conscience que ces présidents sont dans des positions très très vulnérables; et à la fin, nous, les gens, nous devons les soutenir, parce que les dirigeants peuvent faire seulement un certain nombre de choses. Aujourd'hui, en de nombreux endroits, les dirigeants ne sont pas seulement vulnérables ; il n'est plus nécessaire d'utiliser une balle pour faire tomber un dirigeant. Un scandale - un scandale sexuel, un scandale de drogue - peut le faire. Nous avons vu ce qui est arrivé à Bill Clinton, à Strauss-Kahn au FMI ; nous avons vu cela se passer un grand nombre de fois. Ces dirigeants sont tout à faits conscients qu'ils sont dans des positions très vulnérables : s'ils s'opposent ou vont trop fermement à l'encontre du statu quo, ils seront éliminés, d'une manière ou d'une autre. Ils en sont conscients et il incombe aux peuples de se dresser vraiment pour nos propres droits.
Vous avez mentionné l'exemple récent de l'Islande... A part le référendum qui a eu lieu, quelles autres mesures le pays a-t-il adopté pour sortir de cette spirale de l'austérité et pour retourner à la croissance et à une perspective beaucoup plus positive pour le pays ?
- L'Islande a investi dans des programmes pour remettre les gens au travail et a aussi traîné en justice quelques-uns des banquiers qui ont causé les problèmes, ce qui a beaucoup amélioré la situation pour les gens, moralement parlant. Donc l'Islande a lancé certains programmes qui disent : «Non, nous n'irons pas dans l'austérité, nous ne rembourserons pas ces prêts ; nous mettrons de l'argent dans des mesures permettant aux gens de retourner travailler», et en fin de compte, c'est ce qui stimule l'économie, des gens qui travaillent. Si vous avez un taux de chômage élevé, comme la Grèce aujourd'hui, un chômage extrêmement élevé, le pays sera toujours en difficulté. Vous devez donc faire baisser le chômage, vous devez embaucher des gens. C'est si important que les gens puissent de nouveau travailler. Votre chômage atteint environ 28% ; il est stupéfiant et le revenu disponible a chuté de 40% et il va continuer à baisser si vous avez un taux de chômage élevé. Donc la chose importante pour une économie est de faire augmenter le taux d'emploi et, en retour, d'obtenir un revenu disponible tel que les gens investiront dans votre pays et dans des biens et des services.
- Pour conclure, quel message voudriez-vous partager avec le peuple grec, puisqu'ils continuent à expérimenter et à vivre les conséquences terribles des politiques d'austérité appliquées dans le pays ces trois dernières années ?
- Je m'appuierai sur l'histoire de la Grèce. Vous êtes un pays fier, fort, un pays de guerriers. Le mythe du guerrier vient en quelque sorte de la Grèce, tout comme la démocratie ! Et réaliser que le marché est une démocratie aujourd'hui, et comment nous dépensons notre argent et que nous exerçons ce droit en votant. La plupart des démocraties politiques sont corrompues, y compris celle des États-Unis. La démocratie ne travaille pas vraiment sur une base gouvernementale parce que les grandes sociétés s'en occupent. Mais elle travaille sur la base du marché. J'encouragerais le peuple grec à faire front : ne payez pas ces dettes, organisez vos propres référendums, refusez de les payer, descendez dans la rue et mettez-vous en grève.
Et donc je voudrais encourager le peuple grec à continuer à le faire. N'acceptez pas les critiques soutenant que c'est de votre faute, que vous êtes à blâmer, que vous avez mérité de subir l'austérité, l'austérité, l'austérité. Cela ne marche que pour les gens riches ; cela ne marche pas pour la personne moyenne de la classe moyenne. Reconstruisez cette classe moyenne ; ramenez l'emploi ; ramenez un revenu disponible pour les citoyens moyens en Grèce. Luttez pour cela, faites-le advenir ; défendez vos droits ; respectez votre Histoire de combattants et de leaders dans la démocratie, et montrez-le au monde !"
Un autre rapport des interventions de l oncle gentil.
Les Etats-Unis ont été en guerre 93% du temps de leur existence en 1776 c'est à dire 222 des 239 années de leur existence
Le pays n'a été en paix que 21 ans depuis sa création en 1776
Écrit par Danios en 2011 et repris par le Washington Blog
Février 2015
Ci-dessous j'ai reproduit une chronologie année par année des guerres des Etats-Unis, ce qui révèle quelque chose de vraiment intéressant: Depuis que les Etats-Unis ont été fondés en 1776, ils ont été en guerre 214 ans sur les 235 ans de leur existence (NdT: texte de 2011, une mise à jour a été faire en fin d'article donnant le chiffre avancé). En d'autres termes, il n'y a que 21 années de calendrier durant lesquelles les Etats-Unis n'ont mené aucune guerre.
Pour mettre ceci en perspective:
* Prenez n'importe quelle année au hasard depuis 1776 et il y a 91% (93% avec les chiffes ajustés à 2015) de chances que les Etats-Unis étaient impliqués dans une guerre au cours de cette année là.
* Aucun président des Etats-Unis ne se qualifie vraiment comme étant un président de temps de paix. De fait, tous les présidents des Etats-Unis qui se sont succèdés peuvent être tous considérés comme des "présidents en guerre".
* Les Etats-Unis ne sont jamais restés une décennie complète sans être en guerre.
* La seule fois où les Etats-Unis sont demeurés 5 ans sans être en guerre (1935-40) fut durant la période isolationniste de la Grande Dépression.
* * *
Chronologie année par année des guerres majeures dans lesquelles les Etats-Unis ont été impliqués (1776-2011)
1776 - American Revolutionary War, Chickamagua Wars, Second Cherokee War, Pennamite-Yankee War
1777 - American Revolutionary War, Chickamauga Wars, Second Cherokee War, Pennamite-Yankee War
1778 - American Revolutionary War, Chickamauga Wars, Pennamite-Yankee War
1779 - American Revolutionary War, Chickamauga Wars, Pennamite-Yankee War
1780 - American Revolutionary War, Chickamauga Wars, Pennamite-Yankee War
1781 - American Revolutionary War, Chickamauga Wars, Pennamite-Yankee War
1782 - American Revolutionary War, Chickamauga Wars, Pennamite-Yankee War
1783 - American Revolutionary War, Chickamauga Wars, Pennamite-Yankee War
1784 - Chickamauga Wars, Pennamite-Yankee War, Oconee War
1785 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War
1786 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War
1787 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War
1788 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War
1789 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War
1790 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War
1791 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War
1792 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War
1793 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War
1794 - Chickamauga Wars, Northwest Indian War
1795 - Northwest Indian War
1796 - Pas de guerre majeure
1797 - Pas de guerre majeure
1798 - Quasi-War
1799 - Quasi-War
1800 - Quasi-War
1801 - First Barbary War
1802 - First Barbary War
1803 - First Barbary War
1804 - First Barbary War
1805 - First Barbary War
1806 - Sabine Expedition
1807 - Pas de guerre majeure
1808 - Pas de guerre majeure
1809 - Pas de guerre majeure
1810 - U.S. occupies Spanish-held West Florida
1811 - Tecumseh's War
1812 - War of 1812, Tecumseh's War, Seminole Wars, U.S. occupies Spanish-held Amelia Island and other parts of East Florida
1813 - War of 1812, Tecumseh's War, Peoria War, Creek War, U.S. expands its territory in West Florida
1814 - War of 1812, Creek War, U.S. expands its territory in Florida, Anti-piracy war
1815 - War of 1812, Second Barbary War, Anti-piracy war
1816 - First Seminole War, Anti-piracy war
1817 - First Seminole War, Anti-piracy war
1818 - First Seminole War, Anti-piracy war
1819 - Yellowstone Expedition, Anti-piracy war
1820 - Yellowstone Expedition, Anti-piracy war
1821 - Anti-piracy war (see note above)
1822 - Anti-piracy war (see note above)
1823 - Anti-piracy war, Arikara War
1824 - Anti-piracy war
1825 - Yellowstone Expedition, Anti-piracy war
1826 - Pas de guerre majeure
1827 - Winnebago War
1828 - Pas de guerre majeure
1829 - Pas de guerre majeure
1830 - Pas de guerre majeure
1831 - Sac and Fox Indian War
1832 - Black Hawk War
1833 - Cherokee Indian War
1834 - Cherokee Indian War, Pawnee Indian Territory Campaign
1835 - Cherokee Indian War, Seminole Wars, Second Creek War
1836 - Cherokee Indian War, Seminole Wars, Second Creek War, Missouri-Iowa Border War
1837 - Cherokee Indian War, Seminole Wars, Second Creek War, Osage Indian War, Buckshot War
1838 - Cherokee Indian War, Seminole Wars, Buckshot War, Heatherly Indian War
1839 - Cherokee Indian War, Seminole Wars
1840 - Seminole Wars, U.S. naval forces invade Fiji Islands
1841 - Seminole Wars, U.S. naval forces invade McKean Island, Gilbert Islands, and Samoa
1842 - Seminole Wars
1843 - U.S. forces clash with Chinese, U.S. troops invade African coast
1844 - Texas-Indian Wars
1845 - Texas-Indian Wars
1846 - Mexican-American War, Texas-Indian Wars
1847 - Mexican-American War, Texas-Indian Wars
1848 - Mexican-American War, Texas-Indian Wars, Cayuse War
1849 - Texas-Indian Wars, Cayuse War, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians
1850 - Texas-Indian Wars, Cayuse War, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Yuma War, California Indian Wars, Pitt River Expedition
1851 - Texas-Indian Wars, Cayuse War, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, Yuma War, Utah Indian Wars, California Indian Wars
1852 - Texas-Indian Wars, Cayuse War, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Yuma War, Utah Indian Wars, California Indian Wars
1853 - Texas-Indian Wars, Cayuse War, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Yuma War, Utah Indian Wars, Walker War, California Indian Wars
1854 - Texas-Indian Wars, Cayuse War, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians
1855 - Seminole Wars, Texas-Indian Wars, Cayuse War, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Yakima War, Winnas Expedition, Klickitat War, Puget Sound War, Rogue River Wars, U.S. forces invade Fiji Islands and Uruguay
1856 - Seminole Wars, Texas-Indian Wars, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, California Indian Wars, Puget Sound War, Rogue River Wars, Tintic War
1857 - Seminole Wars, Texas-Indian Wars, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, California Indian Wars, Utah War, Conflict in Nicaragua
1858 - Seminole Wars, Texas-Indian Wars, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Mohave War, California Indian Wars, Spokane-Coeur d'Alene-Paloos War, Utah War, U.S. forces invade Fiji Islands and Uruguay
1859 Texas-Indian Wars, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, California Indian Wars, Pecos Expedition, Antelope Hills Expedition, Bear River Expedition, John Brown's raid, U.S. forces launch attack against Paraguay, U.S. forces invade Mexico
1860 - Texas-Indian Wars, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Paiute War, Kiowa-Comanche War
1861 - American Civil War, Texas-Indian Wars, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Cheyenne Campaign
1862 - American Civil War, Texas-Indian Wars, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Cheyenne Campaign, Dakota War of 1862,
1863 - American Civil War, Texas-Indian Wars, Southwest Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Cheyenne Campaign, Colorado War, Goshute War
1864 - American Civil War, Texas-Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Cheyenne Campaign, Colorado War, Snake War
1865 - American Civil War, Texas-Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Colorado War, Snake War, Utah's Black Hawk War
1866 - Texas-Indian Wars, Navajo Wars, Apache Wars, California Indian Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians, Snake War, Utah's Black Hawk War, Red Cloud's War, Franklin County War, U.S. invades Mexico, Conflict with China
1867 - Texas-Indian Wars, Long Walk of the Navajo, Apache Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians, Snake War, Utah's Black Hawk War, Red Cloud's War, Comanche Wars, Franklin County War, U.S. troops occupy Nicaragua and attack Taiwan
1868 - Texas-Indian Wars, Long Walk of the Navajo, Apache Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians, Snake War, Utah's Black Hawk War, Red Cloud's War, Comanche Wars, Battle of Washita River, Franklin County War
1869 - Texas-Indian Wars, Apache Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians, Utah's Black Hawk War, Comanche Wars, Franklin County War
1870 - Texas-Indian Wars, Apache Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians, Utah's Black Hawk War, Comanche Wars, Franklin County War
1871 - Texas-Indian Wars, Apache Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians, Utah's Black Hawk War, Comanche Wars, Franklin County War, Kingsley Cave Massacre, U.S. forces invade Korea
1872 - Texas-Indian Wars, Apache Wars, Utah's Black Hawk War, Comanche Wars, Modoc War, Franklin County War
1873 - Texas-Indian Wars, Comanche Wars, Modoc War, Apache Wars, Cypress Hills Massacre, U.S. forces invade Mexico
1874 - Texas-Indian Wars, Comanche Wars, Red River War, Mason County War, U.S. forces invade Mexico
1875 - Conflict in Mexico, Texas-Indian Wars, Comanche Wars, Eastern Nevada, Mason County War, Colfax County War, U.S. forces invade Mexico
1876 - Texas-Indian Wars, Black Hills War, Mason County War, U.S. forces invade Mexico
1877 - Texas-Indian Wars, Skirmish between 1st Cavalry and Indians, Black Hills War, Nez Perce War, Mason County War, Lincoln County War, San Elizario Salt War, U.S. forces invade Mexico
1878 - Paiute Indian conflict, Bannock War, Cheyenne War, Lincoln County War, U.S. forces invade Mexico
1879 - Cheyenne War, Sheepeater Indian War, White River War, U.S. forces invade Mexico
1880 - U.S. forces invade Mexico
1881 - U.S. forces invade Mexico
1882 - U.S. forces invade Mexico
1883 - U.S. forces invade Mexico
1884 - U.S. forces invade Mexico
1885 - Apache Wars, Eastern Nevada Expedition, U.S. forces invade Mexico
1886 - Apache Wars, Pleasant Valley War, U.S. forces invade Mexico
1887 - U.S. forces invade Mexico
1888 - U.S. show of force against Haiti, U.S. forces invade Mexico
1889 - U.S. forces invade Mexico
1890 - Sioux Indian War, Skirmish between 1st Cavalry and Indians, Ghost Dance War, Wounded Knee, U.S. forces invade Mexico
1891 - Sioux Indian War, Ghost Dance War, U.S. forces invade Mexico
1892 - Johnson County War, U.S. forces invade Mexico
1893 - U.S. forces invade Mexico and Hawaii
1894 - U.S. forces invade Mexico
1895 - U.S. forces invade Mexico, Bannock Indian Disturbances
1896 - U.S. forces invade Mexico
1897 - Pas de guerre majeure
1898 - Spanish-American War, Battle of Leech Lake, Chippewa Indian Disturbances
1899 - Philippine-American War, Banana Wars
1900 - Philippine-American War, Banana Wars
1901 - Philippine-American War, Banana Wars
1902 - Philippine-American War, Banana Wars
1903 - Philippine-American War, Banana Wars
1904 - Philippine-American War, Banana Wars
1905 - Philippine-American War, Banana Wars
1906 - Philippine-American War, Banana Wars
1907 - Philippine-American War, Banana Wars
1908 - Philippine-American War, Banana Wars
1909 - Philippine-American War, Banana Wars
1910 - Philippine-American War, Banana Wars
1911 - Philippine-American War, Banana Wars
1912 - Philippine-American War, Banana Wars
1913 - Philippine-American War, Banana Wars, New Mexico Navajo War
1914 - Banana Wars, U.S. invades Mexico
1915 - Banana Wars, U.S. invades Mexico, Colorado Paiute War
1916 - Banana Wars, U.S. invades Mexico
1917 - Banana Wars, World War I, U.S. invades Mexico
1918 - Banana Wars, World War I, U.S invades Mexico
1919 - Banana Wars, U.S. invades Mexico
1920 - Banana Wars
1921 - Banana Wars
1922 - Banana Wars
1923 - Banana Wars, Posey War
1924 - Banana Wars
1925 - Banana Wars
1926 - Banana Wars
1927 - Banana Wars
1928 - Banana Wars
1930 - Banana Wars
1931 - Banana Wars
1932 - Banana Wars
1933 - Banana Wars
1934 - Banana Wars
1935 - Pas de guerre majeure
1936 - Pas de guerre majeure
1937 - Pas de guerre majeure
1938 - Pas de guerre majeure
1939 - Pas de guerre majeure
1940 - Pas de guerre majeure
1941 - World War II
1942 - World War II
1943 - Wold War II
1944 - World War II
1945 - World War II
1946 - Cold War (U.S. occupies the Philippines and South Korea)
1947 - Cold War (U.S. occupies South Korea, U.S. forces land in Greece to fight Communists)
1948 - Cold War (U.S. forces aid Chinese Nationalist Party against Communists)
1949 - Cold War (U.S. forces aid Chinese Nationalist Party against Communists)
1950 - Korean War, Jayuga Uprising
1951 - Korean War
1952 - Korean War
1953 - Korean War
1954 - Covert War in Guatemala
1955 - Vietnam War
1956 - Vietnam War
1957 - Vietnam War
1958 - Vietnam War
1959 - Vietnam War, Conflict in Haiti
1960 - Vietam War
1961 - Vietnam War
1962 - Vietnam War, Cold War (Cuban Missile Crisis; U.S. marines fight Communists in Thailand)
1963 - Vietnam War
1964 - Vietnam War
1965 - Vietnam War, U.S. occupation of Dominican Republic
1966 - Vietnam War, U.S. occupation of Dominican Republic
1967 - Vietnam War
1968 - Vietnam War
1969 - Vietnam War
1970 - Vietnam War
1971 - Vietnam War
1972 - Vietnam War
1973 - Vietnam War, U.S. aids Israel in Yom Kippur War
1974 - Vietnam War
1975 - Vietnam War
1976 - Pas de guerre majeure
1977 - Pas de guerre majeure
1978 - Pas de guerre majeure
1979 - Cold War (CIA proxy war in Afghanistan)
1980 - Cold War (CIA proxy war in Afghanistan)
1981 - Cold War (CIA proxy war in Afghanistan and Nicaragua), First Gulf of Sidra Incident
1982 - Cold War (CIA proxy war in Afghanistan and Nicaragua), Conflict in Lebanon
1983 - Cold War (Invasion of Grenada, CIA proxy war in Afghanistan and Nicaragua), Conflict in Lebanon
1984 - Cold War (CIA proxy war in Afghanistan and Nicaragua), Conflict in Persian Gulf
1985 - Cold War (CIA proxy war in Afghanistan and Nicaragua)
1986 - Cold War (CIA proxy war in Afghanistan and Nicaragua)
1987 - Conflict in Persian Gulf
1988 - Conflict in Persian Gulf, U.S. occupation of Panama
1989 - Second Gulf of Sidra Incident, U.S. occupation of Panama, Conflict in Philippines
1990 - First Gulf War, U.S. occupation of Panama
1991 - First Gulf War
1992 - Conflict in Iraq
1993 - Conflict in Iraq
1994 - Conflict in Iraq, U.S. invades Haiti
1995 - Conflict in Iraq, U.S. invades Haiti, NATO bombing of Bosnia and Herzegovina
1996 - Conflict in Iraq
1997 - Pas de guerre majeure
1998 - Bombing of Iraq, Missile strikes against Afghanistan and Sudan
1999 - Kosovo War
2000 - Pas de guerre majeure
2001 - War on Terror in Afghanistan
2002 - War on Terror in Afghanistan and Yemen
2003 - War on Terror in Afghanistan, and Iraq
2004 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Pakistan, and Yemen
2005 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Pakistan, and Yemen
2006 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Pakistan, and Yemen
2007 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Pakistan, Somalia, and Yemen
2008 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Pakistan, and Yemen
2009 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Pakistan, and Yemen
2010 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Pakistan, and Yemen
2011 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Pakistan, Somalia, and Yemen; Conflict in Libya (Libyan Civil War)
Dans la vaste majorité de ces guerres, les Etats-Unis furent à l'offensive. Danios admet que quelques unes de ces guerres furent défensives ; mais il laisse aussi de côté toutes les opérations secrètes de la CIA renversant des régimes (la liste est longue) et d'autres actes qui pourraient aussi être considérés comme actes de guerre.
Faisons une mise à jour de ce qu'il s'est passé depuis 2011, date de cette analyse:
2012 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Somalia, Syria and Yemen
2013 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Somalia, Syria and Yemen
2014 - War on Terror in Afghanistan, Iraq, Somalia, Syria and Yemen; Civil War in Ukraine
2015 - War on Terror in Somalia, Somalia, Syria and Yemen; Civil War in Ukraine
Donc, nous pouvons ajouter 4 années supplémentaires de guerre. Ceci veut dire 222 sur 239 ou 93% du temps, les Etats-Unis ont été en guerre. (On peut pinailler sur le chiffre exact, mais le haut pourcentage de temps où les Etats-Unis ont été en guerre est clair et sans erreur possible...)
En fait, quasiment toutes les opérations militaires qui ont été lancées depuis la fin de la seconde guerre mondiale, l'ont été par les Etats-Unis.
De plus, les dépenses militaires des Etats-Unis (NdT: son budget de "l'offensive" pour son ministère de l'offensive...) écrasent celles de toutes les autres nations du monde mises ensemble.
Pas étonnant donc que le monde pense de manière dominante que les Etats-Unis sont la menace mondiale #1 pour la paix globale.
D autres informations de comment l oncle sam s y prend pour faire son travail de democratisation du monde.
https://www.voltairenet.org
AfriCom: Contrôle de l'Afrique
A l'horizon 2013, un quart du pétrole et des premières consommées aux États-Unis doivent provenir d'Afrique. Sur la base de constat, un think tank israélo-états-unien l'Institut pour les études stratégiques et politiques avancées (IASPS) a préconisé la création d'un commandement militaire américain pour l'Afrique, l'Africom. William E. Ward, ancien coordinateur de la sécurité entre Israël et l'Autorité palestinienne.
L'annonce de ce dispositif a suscité une forte résistance en Afrique et en l'espace de l'État.
La montée en puissance de l'Africom devrait s'articuler autour de la base US de Djibouti où stationnent déjà des troupes israéliennes. Une emphase particulière devrait être portée au contrôle du Golfe de Guinée. Dans un premier temps, pour des raisons diplomatiques, elle devrait prendre la forme d'un réseau de petites bases, plutôt que de la construction de grandes installations. Washington a également pris des initiatives pour se donner une image plus conciliante, notamment en acceptant l'exploitation chinoise des champs pétroliers soudanais, donc en cessant de déstabiliser ce pays.
Simultanément, the France with the United States of the European Union, the Sharing with other States of the European Union, and the United States of European Union. Paris dispose encore de 9 000 hommes sur place, stationnés en Côte d'Ivoire, au Sénégal, au Gabon, en Centrafrique, au Tchad et à Djibouti.
En 2011, l'OTAN a envahit la Libye «Bab el Africa» (porte de l'Afrique), notamment avec l'intention d'installer à la base principale de l'Africom.
Pa Com: Contrôle de l'Asie et de l'Océanie
North Com, contrôle de l'Amérique du Nord et de l'Arctique
Cent Com: Contrôle du «Moyen-Orient élargi»
South Com: Contrôle de l'Amérique latine
Depuis le XIXe siècle, les États-Unis font de l'Amérique latine leur zone d'influence, ce n'est qu'en 1903 qu'ils créèrent le South Com. Il s'agit alors de s'approprier la zone du chemin de fer sur l'Atlantique au Pacifique pour y creuser un canal. Washington suscita en Colombie une improbable sécession du Panamá et l'envoi de troupes pour «garantir la sécurité de l'État nouveau». Au cours de la guerre froide, le SouthCom appuie sur l'ouverture des dictatures militaires de droite, puis encadre plus discrètement la répression des guérillas marxistes sous couvert de lutte contre le narcotrafic. Cette évolution conduit à une réforme structurelle progressive. Désormais le SouthCom travaille en étroite collaboration avec de nombreuses agences US et non plus simplement sous les ordres du département de la Défense. Dans le cadre des années à venir, le SouthCom devrait se développer au fur et à mesure du retrait des États-Unis du Grand Moyen-Orient et concentrer ses efforts sur le contrôle des champs pétroliers de la zone Caraïbes. Dans une perspective d'une épreuve de force contre le Venezuela et Cuba, Washington a réactivé la IVe flotte (2008), renversé le gouvernement du Honduras qui s'est arrêté à la base des écoutes de Soto Cano (2009) et a fait sept bases militaires à la Colombie (2009).
Eu Com : Contrôle de l'Europe
https://www.voltairenet.org
par Manlio Dinucci
C'est bien connu, c'est par pur altruiste que les États-Unis financent le déploiement de leurs forces en Europe de l'Ouest et centrale afin de protéger celle-ci d'une invasion russe. Pourtant ce danger imminent est infirmé par l'Histoire : les troupes russes n'ont jamais envahi l'Europe, alors que l'inverse fut malheureusement successivement entrepris par l'empereur Napoléon Ier, puis par le führer Adolf Hitler. En réalité cette sollicitude vise uniquement à protéger le sol états-unien en déplaçant le théâtre potentiel d'affrontement vers l'Europe, donc au détriment des populations qu'elle prétend soutenir.
Sud Com: Contrôle Grandes manœuvres autour du Vénézuela -
https://www.voltairenet.org
par Manlio Dinucci
Le président Donald Trump a évoqué, le 11 août 2017, une possible option militaire contre le Venezuela. Comme détaille ici Manlio Dinucci, il ne s'agit pas de paroles en l'air. L'exercice Mobility Guardian, qui vient de se tenir aux États-Unis avec la participation des armées de 25 États et sous l'observation de 12 autres États, était une répétition du transport rapide sur zone des forces de l'Otan élargi.
Les projecteurs politico-médiatiques, focalisés sur ce qui se passe à l'intérieur du Venezuela, laissent dans l'ombre ce qui se passe autour du Venezuela. Dans la géographie du Pentagone, celui-ci entre dans l'aire du U.S. Southern Command (Southcom), un des six « commandements combattants unifiés » entre lesquels les USA divisent le monde.
Le Southcom, qui couvre 31 pays et 16 territoires de l'Amérique latine et des Caraïbes, dispose de forces terrestres, navales et aériennes et du corps des Marines (infanterie de marine), à quoi s'ajoutent des forces spéciales et trois unités spécifiques : la Joint Task Force Bravo, basée dans la base aérienne de Soto Cano au Honduras, qui organise des exercices multilatéraux et autres opérations ; la Joint Task Force Guantanamo, basée dans la base navale homonyme à Cuba, qui effectue des « opérations de détention et des interrogatoires dans le cadre de la guerre au terrorisme » ; la Joint Interagency Task Force South, basée à Key West en Floride, dont la mission officielle est de coordonner les « opérations anti-drogue » dans toute la région. L'activité croissante du Southcorn indique que ce qu'a déclaré le président Trump le 11 août -« Nous avons de nombreuses options pour le Venezuela, y compris une possible action militaire »- n'est pas une simple menace verbale.
Une force spéciale des Marines, dotée d'hélicoptères de guerre, a été déployée en juin dernier au Honduras pour des opérations régionales avec une durée prévue de six mois. Dans le cadre toujours du Southcom s'est déroulé en juin à Trinidad et Tobago l'exercice Tradewinds, avec la participation de forces de 20 pays des Amériques et des Caraïbes. En juillet s'est déroulé au Pérou l'exercice naval Unitas, avec la participation de 18 pays, et, au Paraguay, la compétition-exercice de forces spéciales de 20 pays. Du 25 juillet au 4 août, des centaines d'officiers de 20 pays ont pris part à la Panamax, exercice officiellement destiné à la « défense du canal de Panama ». Du 31 juillet au 12 août s'est déroulé à la Joint Base Lewis-McChord (Washington) le Mobility Guardian, « le plus grand et réaliste exercice de mobilité aérienne » avec la participation de 3 000 hommes et de 25 partenaires internationaux, en particulier des forces aériennes colombiennes et brésiliennes qui se sont exercées dans des missions diurnes et nocturnes avec des forces états-uniennes, françaises et britanniques. Le « scénario réaliste » est celui d'une grande opération aérienne, pour transporter rapidement des forces et de l'armement dans la zone d'intervention. En d'autres termes, la répétition de l'intervention militaire au Venezuela menacée par Trump.
La base principale serait la Colombie voisine, reliée à l'Otan en 2013 par un accord de partenariat. « Du personnel militaire colombien -documente l'Otan- a pris part à de nombreux cours à l'Académie de Oberammergau (Allemagne) et au Nato Defense College à Rome, en participant aussi à de nombreuses conférences militaires de haut niveau ».
Qu'un plan d'intervention militaire au Venezuela existe déjà est confirmé par l'amiral Kurt Tidd, commandant du Southcom : dans une audition au sénat, le 6 avril 2017, il déclarait que « la crise humanitaire croissante au Venezuela pourrait rendre nécessaire une riposte régionale ». Pour réaliser la menace de l'« option militaire » de Trump, pourrait être adoptée, même dans un contexte différent, la même stratégie que celle mise en acte en Libye et Syrie : infiltration de forces spéciales et de mercenaires qui jettent de l'huile sur les foyers intérieurs de tension, en provoquant des affrontements armés ; accusation contre le gouvernement de massacrer son propre peuple et l' « intervention humanitaire » qui en résulte par une coalition armée conduite par les USA.
Manlio Dinucci
Action secrète
https://www.voltairenet.org
"Alors que le droit international a consacré le principe de la souveraineté des États, les grandes puissances s'empêchent de corrompre les gouvernements, de déstabiliser les sociétés, d'éliminer les dirigeants, de renverser les régimes par l'action secrète. Cette forme d'ingérence relativement peu coûteuse par rapport aux gains que l'on peut attendre, mais elle mine la confiance entre les États.
À ce jeu, les Anglo-Saxons sont passés maîtres. Unis au sein d'un secret militaire conclu en 1948 (Royaume-Uni + Canada, Australie, Nouvelle-Zélande), ils ont développé des outils d'espionnage et d'action clandestine au service d'un projet commun, celui de la Guerre froide. Ils rivalisaient alors avec l'Union soviétique face à quoi ils avaient atteint une supériorité indéniable dans la matière. La Chine maoïste et la France post-coloniale ambitionne également de tenir compte de ce biais dans les zones d'influence, principalement en Afrique.
Après la dissolution de l'URSS, ce paysage fut entièrement renouvelé. La Chine a renoncé au financement tous azimuts de groupes armés révolutionnaires et s'est focalisée sur le renseignement utile au développement de la coopération économique. La France se retire de son pré carré africain au profit de l'Union européenne. Les services russes, qui doivent être engloutis dans le néant eltsinien, se sont attachés à restructurer le pays et sa zone historique d'influence (luttes contre les ingérences extérieures et non en s'ingérant dans le reste du monde.
À partir de 1995, les Anglo-saxons ont enquêté massivement dans leurs secrets de services, dont ils ont triplé le budget en une quinzaine d'années. En outre, ils ont intégré les services israéliens dans leur dispositif, parfois comme un membre à part entière de leur communauté, parfois comme un simple sous-traitant. En 2009, les services anglo-saxons (Israël non compris) emploient au total plus de 250 000 hommes et plus de 100 milliards de dollars US (soit 15 fois plus que ceux de la Russie leur principal concurrent). De facto, l'espionnage et l'action clandestine sont devenus les outils essentiels de la globalisation forcée."
Quel projet pour Israël en Argentine?
https://www.voltairenet.org
par Thierry Meyssan (jurnaliste francais en exile)
"Les autorités argentines s'interrogent sur l'achat d'un massif de terre par un milliardaire britannique en Patagonie et les «vacances» que les dizaines de milliers de soldats israéliens passent dans ses propriétés.
Au XIXème siècle, le gouvernement britannique avait hésité à installer Israël dans l'Ouganda actuel, en Argentine ou en Palestine. En effet, l'Argentine était alors contrôlée par le Royaume-Uni et, à l'initiative du baron français Maurice de Hirsch, était devenue une terre d'accueil pour les juifs fuyant les pogroms d'Europe centrale.
Au XXème siècle, après le coup d'État militaire contre le général Juan Domingo Perón, président démocratiquement élu du pays, un courant antisémite se développa au sein des armées. Il diffusa une brochure accusant le nouvel État d'Israël de préparer une invasion de la Patagonie, le « Plan Andinia ».
Il apparaît aujourd'hui que si l'extrême-droite argentine avait exagéré les faits dans les années 70, il existait bien alors un projet d'implantation (et non pas d'invasion) de la Patagonie.
Tout a changé avec la guerre des Malouines, en 1982. À l'époque la junte militaire argentine tente de récupérer les îles Malouines, Géorgie du Sud et Sandwich du Sud, occupées de son point de vue depuis un siècle et demi par les Britanniques. L'Onu reconnaît la légitimité de la revendication argentine, mais le Conseil de sécurité condamne le recours à la force pour recouvrer ces territoires. L'enjeu est considérable car les eaux territoriales de ces archipels donnent accès à toutes les richesses du continent antarctique.
À l'issue de cette guerre, qui fit plus d'un millier de morts (les chiffres officiels britanniques sont largement minorés), Londres impose un Traité de paix particulièrement dur à Buenos Aires. Ses Forces armées sont limitées à leur plus simple expression. Surtout, le contrôle de l'espace aérien du Sud de leur territoire et de l'Antarctique leur est retiré au profit de la Royal Air Force et elles doivent informer le Royaume-Uni de toutes leurs opérations.
En 1992 et 1994 deux mystérieux attentats, particulièrement meurtriers et dévastateurs, détruisent successivement l'ambassade d'Israël et le siège de l'association israélite AMIA. Le premier survient alors que les chefs de poste du Renseignement israélien en Amérique latine viennent de quitter le bâtiment. Le second se déroule dans le contexte des recherches conjointes égypto-argentines pour les missiles balistiques Condor. Dans la même période, l'usine principale des Condors explose, tandis que les fils des présidents Carlos Menem et Hafez el-Assad décèdent accidentellement. Les diverses enquêtes donneront lieu à une succession de manipulations.
Après avoir désigné la Syrie, le procureur Alberto Nisman se tourne contre l'Iran qu'il accuse d'avoir commandité les deux attentats et contre le Hezbollah qui les aurait exécutés. L'ancienne présidente péroniste Cristina Kirchner est accusée d'avoir négocié la fin des poursuites contre l'Iran en échange de prix avantageux du pétrole. Le procureur Nisman est trouvé mort à son domicile et la présidente Kirchner est inculpée pour haute trahison. Cependant, la semaine dernière un coup de théâtre détruit tout ce que l'on croyait savoir : le FBI états-unien rend des analyses ADN qui attestent de l'absence parmi les victimes du terroriste présumé et de la présence d'un corps jamais identifié. 25 ans plus tard, on ne sait plus rien sur ces attentats.
Au XXIème siècle, profitant des avantages que leur confère le Traité de la guerre des Malouines, le Royaume-Uni et Israël mènent un nouveau projet en Patagonie.
Le milliardaire britannique Joe Lewis acquiert d'immenses territoires dans le Sud argentin et même au Chili voisin. Ses propriétés couvrent plusieurs fois la taille de l'État d'Israël. Elles sont situées en Terre de feu, à l'extrême Sud du continent. Elles entourent notamment le Lago Escondido empêchant désormais son accès, malgré une décision de justice.
Un aéroport privé, ayant une piste d'atterrissage de 2 kilomètres, est aménagé par le milliardaire pour recevoir des avions de transport civils et militaire.
Depuis la guerre des Malouines, l'armée israélienne organise des « camps de vacances » (sic) pour ses soldats en Patagonie. Chaque année, ce sont désormais 8 à 10 000 d'entre eux qui viennent passer deux semaines sur les terres de Joe Lewis.
Si dans les années 70, l'armée argentine avait fait observer la construction de 25 000 logements vides donnant naissance au mythe du plan Andinia, des centaines de milliers auraient été construits aujourd'hui.
Il est impossible de vérifier l'état des travaux, ces terres étant privées et Google Earth neutralisant les photographies satellitaires de la zone, comme il le fait avec les installations militaires de l'Alliance atlantique.
Le Chili voisin a cédé une base sous-marine à Israël. Des tunnels y ont été creusés pour survivre à l'hiver polaire.
Les Indiens Mapuche qui peuplent la Patagonie tant argentine que chilienne ont eu la surprise d'apprendre la réactivation à Londres de la Resistencia Ancestral Mapuche(Résistance ancestrale mapuche - RAM), une mystérieuse organisation revendiquant l'indépendance. D'abord accusée d'être une ancienne association récupérée par les services secrets argentins, la RAM est aujourd'hui considérée par la gauche comme un légitime mouvement sécessionniste, mais par les leaders Mapuche comme une initiative financée par George Soros.
Le 15 novembre 2017, la Marine a perdu tout contact avec le sous-marin ARA San Juan, qui a finalement été déclaré abîmé en mer. C'est un des deux sous-marins diésel-électriques TR 1700 qui constituaient le fleuron de la petite armée argentine. La Commission préparatoire de l'Organisation du traité d'interdiction complète des essais nucléaires (CTBTO) a annoncé avoir enregistré un phénomène acoustique inhabituel dans l'Atlantique, à proximité de la zone où le San Juan avait envoyé son dernier signal. Le gouvernement a finalement admis que le sous-marin effectuait une « mission secrète » non précisée, dont Londres avait été informé. Alors que l'armée US avait lancé des recherches, la Marine russe a dépêché un drone capable d'explorer les fonds marins à 6 000 mètres de profondeur qui n'a rien trouvé. Le San Juan a probablement explosé. La presse argentine est convaincue qu'il a soit heurté une mine, soit a été détruit par une torpille ennemie.
Il est à ce jour impossible de déterminer si Israël s'est engagé dans un programme d'exploitation de l'Antarctique ou s'il construit une base de repli en cas de défaite en Palestine."
Thierry Meyssan"
par Gus Russo12 juin 2007 depuis le site American Chronicle - https://www.bibliotecapleyades.net
Gus Russo est l'auteur de quatre livres et d'un journaliste / producteur / écrivain pour une douzaine de grands documentaires télévisés américains, ainsi que des films produits en Allemagne, au Royaume-Uni, en France, au Mexique et au Japon. Il parle anglais is à prédicteur strange des événements historiques passés. Un jour après sa naissance, la guerre froide a un éclaté.[Note: Fin mai 2007, Dan Smith, qui est discuté dans cet article, m'a demandé de tenter d'écrire un aperçu de l'intérêt apparent de la communauté du renseignement pour les ovnis. Même si Dan a payé une modeste provision pour mon temps, il a accepté de ne pas avoir de contrôle éditorial sur mon travail ou ses conclusions. Il était entièrement préparé à être, peut-être, malheureux avec tout ce que j'ai livré.]
Avec le terrorisme, le changement climatique, le changement climatique et les projets porcins toujours présente, on peut penser que le gouvernement américain n'a pas de temps libre - sans parler des ressources - pour fournir le thème suprêmement insaisissable des soucoupes volantes. Pour certains observateurs, il existe des preuves convaincantes que cela fait et en contradiction avec ses propres déclarations officielles.
Ces incursions fédérales dans le fantasque semblent inspirées par les mots à la mode, mais pas l'emblématique "Roswell", "Alien Autopsies", ou même "les documents MJ-12" de l'ancien. Ces énigmes ont passé plus de temps que les «pièces du royaume». Le projet Beta, SERPO, Projet Camelot, Opération Blanche-Neige et Star Gate.
Et au milieu de toutes ces controverses controverses, en particulier dans les forums de discussion sur les ovnis, il y a au moins trois analystes du renseignement et un enquêteur spécial de l'armée de l'air à la retraite:
"Tom" (pseudo.), Un spécialiste MASINT (Mesures et Signaux Intelligence) avec un doctorat en chimie et Paul, un spécialiste de l'aéronautique connu par "la révolution des technologies de propulsion et de modification de la gravité," dans la salle du Quartier général du renseignement national (DNI) à Washington.
"Jim" (pseudo.), Médecin et ancien agent de la CIA à la Direction des sciences et de la technologie, garde autorisation of security and retourné somekeyword to work for study studies psychological classifies.
Richard "Rick" Doty, un ami et collègue de longue date de Jim, était un enquêteur affecté au Bureau des enquêtes spéciales de l'Armée de l'Air (AFOSI).
Ce qui a été confondant les buffs d'OVNIS pendentif des années est la présence régulière de ces «fantômes» bien informés (et d'autres moins actifs) à la fois dans le monde physique des ovnis et dans le monde des soucoupes du cyberespace.
Le mystère semble avoir ses origines en 1956, avant Tom-Paul-Jim-Rick, et dans le plus improbable des paramètres: le bureau de Ward Kimball, l'un des principaux animateurs de Walt Disney. Lors d'un symposium OVNI en 1979 à San Francisco, Kimball raconta commenter l'US Air Force avait l'intention de faire un documentaire sur les OVNIS, mais ostensible d'aider à préparer la psyché américaine collective aux révélations planifiées sur la réalité des extraterrestres.
Si cela ne suffit pas, les personnes âgées ont offert des séquences d'OVNIS, que Disney serait autorisé à utiliser dans son film. Il a dû sembler à Kimball que le souhaitait sur une étoile de son personnage Jiminy Cricket avait été vraiment répondu. Cependant, quelques semaines plus tard, l'offre a été retirée aussi rapidement qu'elle avait été faite.
Kimball a dit un colonel de l'Air Force a dit brusquement,
"Il y avait en effet beaucoup de séquences d'OVNIS, mais que ni Ward, ni personne d'autre, n'allait et avoir accès."
Au début des années 1970, l'Armée de l'Air revisite le gambit, Robert Coleman et George Weinbrenner, Robert Robert, et Robert Emenegger.
Les deux colonels, qui étaient peut-être attachés à AFOSI, emmenèrent Emenegger à Norton AFB près de San Bernardino et l'émerveillèrent avec les images de ce qui sont trois soucoupes volantes atterrissant à Holloman AFB au Nouveau Mexique en 1971. Incroyablement, l 'Armée de l'Air est un nouveau film, OVNIS, Passé, Présent et Futur. Mais encore une fois, à la onzième heure, l'Air Force a changé d'avis, à cause du scandale du Watergate. Peut-être que le pays ne gère pas plus de mauvaises nouvelles.
Dans les années quatre-vingt, l'agent de l'AFOSI Rick Doty, un collègue de longue date et ami de l'analyste Jim, est apparu au Nouveau-Mexique afin de provoquer le scientifique Paul Bennewitz. avec les promesses de divulguer les secrets ovnis du gouvernement. Et dans ce cas, la Force aérienne a effectivement livré les marchandises, dans un sens. Bennewitz, un entrepreneur spécialisé dans la vente d'équipements de test à haute altitude à l'armée de l'air, avait contacté AFOSI après avoir filmé des moteurs volants bizarres près de Kirtland AFB, à l'extérieur d'Albuquerque.
En conséquence, il a été chargé sur des essais d'avions classés, mais aussi d'encourager les médecins de désinformation sur les ovnis, mais but furtif de détourner son attention. à partir des événements classés, et plus tard, de surveiller le flux d'informations à travers le réseau UFOlogy.
Bill Moore (The Philadelphia Experiment et The Roswell Incident), un best-seller d'OVNI, pour aider Doty dans son espionnage; En échange, sur un offre à Moore de vraies informations sur les OVNIS, y compris la rencontre d'un extraterrestre vivant - des promesses qui, comme les séquences d'OVNI d'Emenegger, ne se sont jamais concrétisées.
La charade s'est jouée pendentif la majeure partie des années quatre-vingt, conduisant le pauvre Bennewitz, qui a inventé les révélations Project Beta, à une fusion mentale. Moore a en fait admis son rôle de double agent à une communauté OVNI étonné lors d'une convention de Las Vegas en Juillet 1989, les contes extraterrestres bizarres qu'il a nourris Bennewitz ont empoisonné la base de données OVNI, peut-être de façon permanente. Les mutations infinies des fictions Doty se répandre comme un virus internet. Juste google "SERPO" pour un avant-goût. En 1983, le gouvernement a pris l'initiative de la documentariste primée aux Emmy Awards Linda Howe, puis au travail sur un film d'OVNI pour HBO.
Après avoir rencontré Howe à Albuquerque, Rick Doty l'emmenée aux bureaux de l'AFOSI à Kirtland, et non seulement lui a promis la même vidéo qui a été suspendue devant Emenegger, mais il est allé un peu plus loin.
"Mes supérieurs m'ont demandé de montrer le montrer", dit Doty en remettant à Howe un dossier intitulé "Document d'information pour le président des Etats-Unis".
Autorisé seulement à scanner la cache explosive, Howe a vu des histoires d'engins extraterrestres écrasés, de corps extraterrestres, et encore plus étonnants, des survivants d'un accident d'OVNI.
Bien que la promis la même "séquence d'atterrissage" promettait à Emenegger une décennie plus tôt pour son film. Mais, tout comme Emenegger, des mois de négociations n'ont pas abouti. Il a été admis plus tard à l'auteur Greg Bishop que le stratagème était mais une autre sonde de contre-espionnage de gouvernement dans la communauté d'OVNI.
Les affaires Kimball, Emenegger, Bennewitz et Howe sont les premiers dans le monde des ovnis éphémères par les employés fédéraux. Dans les années 1990, les autorités fédérales ont décidé d'intégrer leur agenda dans l'Internet naissant, où les ufologues échangeaient désormais des «preuves» à travers le monde à une vitesse fulgurante. Leur plus récent contact civil est devenu un analyste informatique à la voix douce qui était en voie d'utiliser la nouvelle technologie pour parvenir à la vérité.
Dan Smith, du Maryland, fils d'un ancien conseiller économique de la Maison Blanche, a passé deux décennies. via des blogs internet, poursuivre son intérêt pour de futurs scénarios apocalyptiques. Invariablement, une quête dans le miasme des rumeurs de révélation d'OVNIS.
En 1991, Smith a appris la possibilité d'une vraie vie X-Files lorsque les chercheurs du crop circle britannique l'ont mis au courant de l'analyste Tom, et ses incursions dans leur provenance. Avant d'appeler Tom, Smith l'a examiné avec la NASA, qui a facilement convenu que Tom était l'homme du gouvernement sur la «phénoménologie».
Ainsi, en septembre 1991, Tom a plaqué Dan en
"Je vais à Los Alamos la semaine prochaine pour parler aux extraterrestres."
Le voyage au célèbre laboratoire nucléaire n'a jamais eu lieu, comme le sait mieux Dan.
La relation de Dan et Tom a progressé depuis les appels téléphoniques et les échanges par courrier électronique jusqu'à la participation aux sorties familiales et aux jeux de balle, et même à des réunions au siège de son agence. Tout au long de la relation, Tom a un profil indiqué qu'il suivait officiellement le sujet des OVNI dans le cadre de son portefeuille de renseignements, admettant qu'il avait participé, comme Jim, à un groupe de travail inter-agences sur la phénoménologie .
Quand on lui demande des détails, cependant, on ne sait pas pourquoi les réponses obtiennent, souvent cryptiques, à la question de savoir pourquoi la surveillance de la foule des OVNIs a consommé une estimation comme 20% de sa journée de travail financée par les fonds publics.
À l'insu de Smith, en 1992, Habib "Henry" Azadehdel, Tom a été admis à un autre contact Internet, il avait déjà fait partie d'un groupe de travail.
Dans une conversation enregistrée par Azadehdel, Tom, ou quelqu'un qui imitait Tom, confiait qu'il était le premier membre d'un «groupe de travail» inter-agences.
"Tu sais," proposa Tom, "je suis membre de ce groupe de travail, ah, quand ça a commencé ... j'enais membre, mais moi, j'ai démissionné je suppose après la première réunion", un déclaré Tom. La réunion a été organisée par Jim, et il y avait «une douzaine de personnes là-bas».
Dans son livre de 1990, Out There, le journaliste du New York Times, Howard Blum, a décrit un groupe de travail inter-agences secrètes, qu'il a rencontré au Pentagone en 1987, dans le mais d'enquêter sur les OVNIS.
Les noms des participants de Blum se chevauchaient trop bien avec ceux connus pour être dans le rassemblement de Tom et Jim: dans l'esprit de beaucoup d'ufologues, Tom et Jim étaient membres du groupe de travail sur les ovnis de Blum. Ainsi, la controverse actuelle postule souvent que leur rapport se rapporte à un groupe de travail OVNI en cours.
Bien que Smith ne se trouve pas perplexe devant l'attention, un de ses amis, un ingénieur qui a souvent servi des contrats classés, devint tellement inquiet qu'il rapporta Tom à l'inspecteur général de son agence.
"Plus tard, j'ai découvert que cela devenait une enquête interne de six mois", dit l'ami, "mais, en fin de compte, Tom a été capable de les convaincre que sa communication avec Smith relevait de sa compétence officielle."
Pourtant, les amis de Smith s'inquiètent que la santé de Smith souffre de tous les jeux, inquiets qu'il pourrait devenir prochain Paul Bennewitz. Depuis 1994, Tom continue de communiquer régulièrement avec Dan.
Ensuite, sur le radar de l'US intel, il y avait un Bob Bigelow, héritier milliardaire de la fortune de Bigelow Tea et propriétaire de la chaîne hôtelière Suites économiques de l'Amérique et de Bigelow Aerospace. En 1996, Bigelow a créé l'Institut national des sciences de la découverte (NIDS) pour explorer l'activité paranormale, en particulier les mutilations de bétail dans les badlands de l'Utah et les rapports d'OVNIS.
Entrez officiers Tom et Jim, maintenant surnommé collectivement "L'Aviary" par leurs contactés. Jim a confirmé un administrateur de site Web populaire que le groupe de réflexion de Bigelow un fait l'objet d'une discussion informelle lors de réunions commanditées par DIA a assisté sur les menaces des technologies émergentes. Plus important encore, l'analyste Tom a ouvertement avoué à Dan Smith qu'il était si intéressé par NIDS qu'il a assisté à sa réunion inaugurale, et a gardé un oeil sur ses recherches pendant sa dissolution en 2004.
L'aube du XXIe siècle a vu une escalade marquée dans les activités de Tom, Jim et Rick, en particulier dans le cyberespace.
Chris Iverson, administrateur de "Forum des esprits ouverts" sur Internet, dit,
"J'ai parlé directement avec Tom, Jim et Rick." Le point culminant de la conversation que j'ai eue avec Tom il y a plusieurs semaines. a également couvert plusieurs autres sujets. "
Iverson dit que Tom a corroboré ce qu'il a dit à Smith il y a des années au sujet des voyages mystérieux à Los Alamos.
"L'histoire raconte que ces gens ont fait plusieurs voyages à Washington DC à Los Alamos il y a plusieurs années pour rencontrer les" Visiteurs "ou pour rencontrer les personnes responsables de leur détention ou de leur communication", explique Iverson.
"Tom a déclaré que oui, ces voyages ont eu lieu, mais ils ont eu lieu il y a plus de 15 ans et ne se sont pas passés aujourd'hui."
La liste des contacts continue. Gary Bekkum, de Starstream Research, dit,
«J'ai eu plus de contacts, par courriel et par téléphone, avec certains membres de l'Aviary, concernant des histoires que j'ai écrites sur leurs activités, y compris des demandes de ne pas exposer les sources et les méthodes J'ai également eu un plus de plus de contacts avec d'autres, y compris un sous-traitant de DARPA (Projet avancé de recherche de défense). "
Ryan Dube, de Reality Uncovered note que son premier contact avec le trio est venu quand il a commencé à harceler un de ses modérateurs.
"Tom nous a contacté en 2006, par e-mail, avec une demande pour aider dans son enquête sur Richard Doty", se souvient Dube.
Il doit connaître les détails du harcèlement et les coordonnées du superviseur de Rick. Je me méfiais de Tom depuis le début, et je ne le croyais pas. Nous avons vérifié que ses mails provenaient des militaires de DIA et le numéro de téléphone de contact a été donné dans la région de DC. C'est alors que j'ai réalisé que je parlais vraiment au vrai Tom - l'analyste du renseignement. J'ai été en contact avec Tom et il ya environ trois mois, avec Jim. "
Tom, Jim et Rick Montrer même la syndication à travers l'étang.
Brendan Burton, l'administrateur britannique du forum "Open Minds", se souvient très bien quand il a été envoyé par courriel au début de 2006. La missive est encore une peu allumette, où l'agent fait des déclarations "hypothétiques" sur la taille de la couverture OVNI- en haut
Mais, ajoute Burton,
"Il me confirme que le gouvernement américain était bel et bien dans cette affaire, jusqu'à leur cou!"
Caryn Anscomb, du Royaume-Uni, qui contribue fréquemment aux sites «Reality Uncovered» et «Starstream», un des commentaires de l'analyste Jim en 2004, et un reçu des communications régulières de lui depuis. Idem Steve Broadbent, un autre administrateur Reality Uncovered d'Angleterre.
Tom et Jim n'ont pas de temps pour mettre leurs identités à l'ordre du jour.
Leurs CV impressionnants, leurs coordonnées et leurs courriels sont régulièrement échangés par les blogueurs alors que les amateurs tentent de trouver une réponse à la question finale: quel est leur ordre du jour? Le Britannique John Lundberg, qui a récemment voyagé à travers les États-Unis pour filmer tous ceux qui ont accepté de parler de son prochain film, Miragemen, posent également la question. Lundberg a, comme cet auteur, également eu des communications avec Tom et Jim.
Dan Smith et le reste de ses collègues du Web, qui sont toujours en contact régulier avec Tom, Jim et Rick, sont confus pour une autre raison: les autorités ont toujours déclaré ad nausée qu'ils ne gardent aucun intérêt pour le sujet depetits hommes verts. Les proclamations ont commencé en 1953 avec la publication du "Robertson Panel Report" de la CIA.
Présidé par le médecin de la CIA, Howard Percy Robertson, le panel a conclu que 90% des observations d'OVNIS doivent être facilement identifiées par des articles, des astronomiques ou des naturels, et que les 10% restants peuvent être expliqués de manière similaire par d'autres études. Il a également mis en évidence que l'Armée de l'Air a commencé à réduire la «crédibilité publique» et à utiliser les médias, y compris des géants médiatiques influents comme Walt Disney Corporation, pour démystifier les rapports d'OVNIS. En 1968, l'Armée de l'Air de Rick Doty a présenté un rapport de 1 438 pages intitulé Rapport du Comité Condon, une étude de deux ans présidée par le physicien Edward Condon.
L'enquête, menée par huit membres du corps professoral de l'Université du Colorado, a conclu avec une certaine dissension parmi les rangs de faculté que tous les rapports d'OVNIS ont des explications conventionnelles, et une étude plus approfondie du sujet n'en valait pas la peine.
L'Air Force a mis de côté la question pendentif près de trois décennies, puis en 1995, a publié un "Fact Sheet" d'OVNI qui a noté:
"De 1947 à 1969, l'Armée de l'Air a enquêté sur les objets volants non identifiés dans le cadre du Livre bleu de projet Le projet, dont le siège est à la base aérienne de Wright-Patterson, en Ohio, un pris fin le 17 décembre 1969. Sur un total de 12 618 observations rapportées au Projet Livre Bleu, 701 sont restées «non identifiées».
Deux ans plus tard, le porte-parole du Pentagone a été déclarée à la presse que les militaires avaient «arrêté depuis longtemps» le suivi des ovnis.
Cette même année, Gerald K. Haines, l'historien officiel de la CIA, a rejoint le chœur des dénégations à la position de l'Agence dans sa publication officielle, Études en intelligence. Bien que la CIA ait été préoccupée par les OVNIS jusqu'au début des années 1950, écrit Haines, elle a "payé une attention limitée et périphérique aux phénomènes". Haines a ajouté que l'explication réelle du mystère ovni était bien plus banale que le fantasme de la visite extraterrestre. : Les ovnis ne sont rien de plus que des avions américains classifiés et expérimentaux.
Comment expliquer la présence continue de Tom, Jim et Rick?
Les ufologues s'empressent de signaler une autre étude qui pourrait expliquer leur véritable objectif. En 1960, La Brookings Institution a rédigé un rapport de 100 pages pour la NASA, conseillant l'agence spatiale américaine sur le chaos sociétal si elle découvrait la vie extraterrestre et n'a pas publié l'histoire de manière très contrôlée.
(La NASA à la fin de 1972, elle a lancé le vaisseau spatial) Pioneer 10 en cours d'exécution de l'espace, une plaque en aluminium anodisé ou gravé d'une carte à l'emplacement de la Terre.
Ainsi, il est postulé, la communauté de renseignements pourrait préparer le monde pour "Divulgation".
Quelques réponses
Greg Bishop, qui a fait la chronique de la saga Bennewitz-Doty dans son livre Project Beta en 2005, et qui a lui même été contacté séparément par quatre professionnels du renseignement, résume les sentiments de beaucoup, en disant:
«On ne peut nier une préoccupation avec le sujet OVNI dans les couloirs du Pentagone et dans les couloirs de notre gouvernement.
Récemment, cependant, dans les déclarations privées à des blogueurs et à cet écrivain, une certaine question est venue aux questions de «qui sait quoi» et «quel est leur ordre du jour»? rien Les OVNIS et leurs agendas diffèrent.
Ryan Dube a rappelé ce que Tom a révélé à propos de son intérêt.
"Une fois," Dit Dube, "Quand j'ai poussé Tom au téléphone pour savoir pourquoi il reste dans l'ufologie" une déclaration - paraphrasée, était essentiellement: " .. et si je suis un soupçon que quelqu'un est tout ce que je suis intéressé, je vais certainement faire tout ce qui est en mon pouvoir pour le distraire - mais je peux dire une chose - mon intérêt n ' rien à voir avec les extraterrestres ou les ovnis. ""
Ceci est cohérent avec la déclaration de Tom à un autre administrateur de site:
"Il n'y a pas de fichiers classés sur les OVNIS parce que les OVNIS n'existent pas."
Ryan souligne le paradoxe évident:
"La participation active des fonctionnaires actuels et anciens du gouvernement, qui signifie que notre gouvernement voit la valeur dans le domaine de l'ufologie pour une raison quelconque."
La motivation de Tom, il semble maintenant certain, peut se résumer en deux mots: la sécurité nationale. Dans une interview récente, un haut responsable du renseignement qui est familier avec les fantômes dans le cyberespace a expliqué,
«Tom est intéressé par le sujet parce que, d'une partie, il craint que les officiers du DIA qui défilent comme des agents de la CIA - un crime - ne divulguent pas le matériel classifié aux groupes d'OVNIS. par le passé, le KGB a utilisé la parapsychologie et les groupes paranormaux pour obtenir des informations classifiées auprès des militaires.
Joel Brenner, le chef des contre-espionnages nationaux des États-Unis, a déclaré que le nombre d'agents dans le pays a atteint le niveau de la guerre froide, selon l'agence russe.
«Ils envoient un nombre croissant et troublant d'agents du renseignement aux Etats-Unis», a rapporté Brener.
L'ancien chef du contre-espionnage du FBI, David Szady, a écho à celui de Brenner, ajoutant que les agents arrivaient souvent aux États-Unis sous la protection des étudiants ou des hommes d'affaires.
Le Times Royaume-Uni: l'escalade des Russes dans les guerres d'espionnage contre les États-Unis:
"Les conseillers du renseignement de la Maison Blanche pensent que l'autre pays n'est pas aussi agressif que la Russie pour tenter d'obtenir des secrets américains, à l'exception possible de la Chine. 'ancien groupe d'intelligence étrangère du KGB, utilise actuellement un réseau d'agents infiltrés en Amérique pour collecter des informations confidentielles sur les technologies sensibles, y compris des projets militaires en cours de développement et de recherche high-tech.
L'article ajoute que l'appareil de renseignement de Poutine considère le cyberespace comme une nouvelle arme puissante. Proposé par les statistiques citées, citations sur la cyberattaque récente de Moscou contre l'État balte de l'Estonie à propos de sa décision de déplacer un monument militaire de l'ère soviétique.
Certains corroboration de l'intérêt du gouvernement pour les auteurs d'OVNI sur Internet dans les fichiers dits "Stargate Archive". Stargate était le nom d'un projet de vision à distance fondé par la DIA en 1972, puis transféré à la CIA. En 2004, la CIA a publié sous la forme d'une demande FOIA les fichiers Stargate Archive, qui informe que la CIA était en effet préoccupée par la surveillance des auteurs d'OVNI qui peuvent avoir accès au matériel classifié.
Stargate lui-même, Tom a été mis à jour en 1996. Au milieu des années soixante-dix, il a appris que Stargate, qui avait des membres Volière sur son conseil d'administration, et d'autres projets de la CIA, ont été massivement infiltrés, la cible de l'infâme "Opération Blanche-Neige" de la Scientologie.
En 1979, onze hauts dirigeants de l'Église, dont Mary Sue Hubbard (épouse du fondateur Ron Hubbard et commandant en second de l'organisation), ont plaidé coupables ou ont été condamnés par la Cour fédérale pour l'entrave à la justice, cambriolage et vol de documents et propriété du gouvernement.
Tom admet qu'il y a une autre raison mineure pour qu'il surfe sur le web OVNI. Dans un courriel récent, il a laissé sa garde baisser un peu, commentaire expliquant les blogueurs d'OVNI peut servir un mais patriotique, si par inadvertance.
"Dans les conditions normales, cette tendance aux états délirants de masse et aux hérésies radicaux est peut-être une faiblesse", écrit Tom.
«Cependant, dans les périodes stressantes, elle favorise une réflexion radicale et originale ... [elle] joue un rôle de plus en plus important pour mesurer que nous abordons les points de stress liés à la survie des espèces cataclysmiques. La plupart des gens continueront à croire que les découvertes de pétrole sont juste au coin de la rue ... [les blogueurs] rechercher des solutions dans les endroits les plus étranges. en trouvantont un à temps. "
Le travail dans la salle DNI de Tom, le cyberespace régulier Paul, le spécialiste de l'aéronautique et de la propulsion, explique que tout comme l'agent de fiction . En outre, il espère mettre fin à la discrimination de ses collègues scientifiques contre les croyants OVNIS.
Il y a un Jim, l'histoire professionnelle dans la matière remonte à son implication personnelle dans le projet Stargate dans les années 1970 et en tant que participant aux légendaires «Groupe de travail» des années quatre-vingt. Intel, Jim communique fréquemment avec les ufologues.
Chris Iverson estime que Tom et Jim ont clairement défini leurs objectifs, notant,
"Jim est la personne avec qui j'ai eu le plus de contacts au cours des derniers mois et il est entendu par la propagation de mèmes viraux sur internet, en particulier par rapport à ce sujet."
Iverson n'est pas loin de la marque. This is a website is not available in English. Jim a expliqué que la présence d'un certain nombre de poursuites qui se chevauchent.
Le sujet entier, dit Jim dans un discours merveilleusement mesuré, est composé de trois éléments: l'illusion, la pensée sociologique de groupe et le noyau de la vérité.
Jim suit ensuite qu'il est avant tout scientifique.
"Mon intérêt pour ce sujet est beaucoup, beaucoup plus professionnel que le personnel, c'est-à-dire que 90 à 95% de toutes les personnes qui sont complètement engagées avec ce sujet [OVNI] sont des malades psychiatriques, et par là veux dire qu'ils sont sous médication ou devraient l'être.
Jim explique que les «mèmes viraux», [see ci-dessous] dans lesquelles les personnes perturbées peuvent être validées par des chiffres sur le Web, sont, ou devraient être, une préoccupation en matière de santé publique. Cela dit, Jim a quand même un intérêt réel pour les ovnis, et semble avec raison.
"Je crois qu'il ya une histoire de base", a expliqué Jim, "mais je ne sais pas ce que c'est. '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' '' ''. Autorisés à connaître l'histoire étaient les plus hauts officiers de carrière du Pentagone. "
Jim refuse de divulguer ses sources, mais il est pressé, il réitère ce que lui dit: dit tourné vers le Pentagone et les laboratoires d'aérospatiale et d'armement du secteur privé, etc.
Le renseignement américain "n'a pas de laboratoires capables de traiter quelque chose d'aussi profond". Il note également au cours des années il a reçu des milliers de documents de gouvernement relatifs à des ovnis dans des enveloppes non marquées. Bien que certains présentent des faux manifestes, d'autres, selon Jim, contenant des informations en corrélation avec des études scientifiques connues, mais encore classées.
Dans une note de bas de page intrigante, Jim ajoute:
"J'ai parlé à trois anciens présidents et le sujet revient toujours, mais ils ont besoin aussi de connaître la vérité.
Tom et Jim partent au moins une raison pour leurs excursions sur internet: étudier le potentiel effrayant des «mèmes Internet viraux».
Inventé par le théoricien de l'évolution Richard Dawkins en 1976 (Le gène égoïste), un mème est une unité d'information culturelle qui a été mise en œuvre d'un organisme à un autre et soumis à toutes les mutations analogues non intentionnels. De l'avis de beaucoup, les ordinateurs et les blogs fonctionnent comme des "réplicateurs".
Richard Brodie, le créateur de Microsoft Word, note,
"La plupart de ces virus sont répandus parce qu'ils sont intrigants ou effrayants ou inspirants, et non" parce qu'ils sont vrais. "
Il ne faut pas beaucoup d'intuition pour imaginer un ennemi qui crée des mèmes pouvant être utilisés pour déstabiliser une société, ou un prédateur indépendant qui s'en serve pour se préparer aux victimes potentielles.
Caryn Anscomb écrit en ligne,
"La communauté OVNI a été profondément pénétrée par les manipulateurs de l'information, qui ne peut vraiment pas donner une idée s'il pourrait avoir des données précieuses concernant les étrangers et les contacts cachés derrière le bruit assourdissant. leur affaire, leur métier est la guerre de l'information. "
L'intention de Rick Doty se rapproche de plus mystérieuse.
Il a été révisé par deux anciens directeurs de la Central Intelligence (DCI) - ainsi que Jim - mais a été excorié par son ancien supérieur à l'AFOSI, le colonel Richard L. Weaver, qui a été notifié que Doty avait été «encaissé OSI "et qu'il a un manque de véracité" bien connu, il convient également de noter que les deux ICD ne connaissaient pas que Doted avant de diriger l'Agence, alors qu'ils étaient tous évolués en Europe ensemble.
Les ICD sont seulement garants de son travail précédent, pas de ses allégations d'OVNIS.
Doty a promulgué certaines des histoires les plus extravagantes "contact alien" existant. Il a non seulement nourri à Paul Bennewitz dans les années 1980, mais au grand public dans son livre de 2005 avec Robert Collins, exempté de la divulgation.
Au milieu des prétentions de science-fiction d'extraterrestres dans la garde américaine et des soucoupes "reverse engineering" - actuellement exploitées par un certain Gordon Novel avec son projet Camelot - Doty admet également ce qui suit:
"Il y a des moments où vous trompez le public que vous faites un grand service au public et je protège absolument le public avec des opérations de déception si c'était pour leur propre bien."
Néanmoins, New York DA Jim Garrison il y a quarante ans, il reste un groupe de blogueurs OVNI qui continue à prononcer sur Doty: "Il doit avoir quelque chose."
Greg Bishop, parmi les plus sobres les auteurs d'OVNIS, résume la présence continue des croyants UFO employés au niveau fédéral comme Jim, Paul et Rick ainsi:
"Leur ordre du jour est de faire leur travail d'abord, et de découvrir ce qui passe dans les coulisses avec l'énigme des ovnis ... Ils obtiennent des indices, mais jamais l'image entière, et cela devient la quête après qu'ils quittent le service actif. "
Qu'on est-il alors le soi-disant «groupe de travail sur les ovnis top secret» Tom, Jim et d'autres ont participé dans les années 1980? Heureusement, quatre participants à ces rencontres ont communiqué avec cet écrivain, et un en particulier partagé des documents originaux lors de réunions avec Caryn, qui a gracieusement partagées avec moi.
En conséquence, on peut dire ce qui suit de l'histoire du groupe de travail:
Les réunions ont eu lieu du 20 au 25 mai 1985 dans l'installation sécurisée de BDM Corporation (un entrepreneur militaire de haut niveau) à MacLean, en Virginie.
Il y avait vingt participants connus des Laboratoires Nucléaires de Los Alamos, de l'Intelligence Armée, de la CIA, de Lockheed, de McDonnell Douglas, et de divers scientifiques avec des habilitations de sécurité. D'autres invités tels que Jim ont assisté.
La réunion était intitulée "Conférence de Physique Théorique Avancée" et son principal objectif était d'étudier les tracés de radars pour déterminer leurs origines ("amical", "ennemi" ou "inconnu"). Ils se sont avérés être totalement anormaux.
Jim note que plusieurs des participants se sont avérés être des tampons d'ovnis qui sont le seul qui sont pour voir qui a connu la vérité sur les ET (personne ne l'a fait).
Il a appelé une perte de temps, après seulement le premier jour. Tom a souvient d'avoir assisté à une réunion de suivi au Pentagone qui était si ridicule qu'il fit une remarque dérisoire avant de sortir au milieu.
Pour résumer tout cela, il ya certainement un petit pourcentage de fonctionnaires du gouvernement avec des informations de renseignement - certains actifs, d'autres à la retraite - qui sont recherchés par la communauté de recherche sur les OVNIS, sinon les OVNIS eux-mêmes . Certains de ces hommes ont l'impression, à tort ou à raison, que très peu d'individus dans le gouvernement et le secteur privé gardent le grand secret même d'eux.
C'est une petite consolation pour les chercheurs sérieux d'OVNIS, mais au moins ils ne devraient plus se sentir seuls et marginalisés en tant que Kooks complètement en désaccord avec la bureaucratie.
Tout cela ne signifie pas que les preuves de visites extraterrestres sont inexistantes, c'est juste que Tom, Jim, Paul et Rick ne sont pas les gardiens.
L'opinion de Ryan Dube semble inarguable.
"Si le domaine de l'UFOlogie être nettoyé des ordures", écrit Dube, "nous avons trouvé ce qui reste des preuves et des histoires très valables et importantes qui empêchent notre attention - et révèlent finalement la vérité sur la question des OVNIS et des extraterrestres. "
Et si jamais Jim décider de révéler ses sources, les choses deviennent très intéressant." -
https://www.bibliotecapleyades.net
WIKISTRIKE
Rien ni personne n'est supérieur à la vérité
Cinq morts suspectes ... cinq lanceurs d'alerte
Publié par wikistrike.com sur 11 Janvier 2018, 07:40
Catégories: #Politique internationale, #Social - Société, #Economie
Plusieurs lanceurs d'alertes sont morts ces dernières années dans des circonstances plus que mystérieuses. La dernière en date est celle de James Dolan, co-fondateur de SecureDrop, qui se serait suicidé. Mais qui sont ceux qui l'ont précédé?
James Dolan, Spoutnik a voulu rappeler d'autres lanceurs d'alertes qui sont tous décédés dans des situations plutôt douteuses.
1. James Dolan a été cocréateur du système SecureDrop, avec Aaron Swartz, qui se serait suicidé en 2013 suite à des poursuites pour piratage criminel. Dolan, âgé de 36 ans, qui était également suicidé, avait rejoint la Fondation pour la liberté de la presse (FPF) après la mort de Swartz. Les circonstances de sa mort sont encore inconnues, mais la FPF a souffert du syndrome de stress post-traumatique (SSPT) depuis la guerre en Irak.
2. Serena Shim, une journaliste prometteuse travaillant pour la chaîne iranienne Press TV, a été tuée dans un accident de voiture « suspect » en Turquie, quelques jours après avoir recueilli des informations sur le soutien turc à Daech, affirmant que ce pays aidait les terroristes à commettre leurs crimes. En 2014, Shim a déclaré avoir reçu des menaces explicites des services de renseignement turcs et est décédée quelques jours après avoir avoué devant la caméra qu'elle craignait d'être arrêtée pour « espionnage ». Press TV a refusé de considérer sa mort comme un accident.
3. Michael Ruppert, ancien agent de police de Los Angeles, est devenu lanceur d'alerte public lorsqu'il a dénoncé la corruption au sein de la police et de la CIA. Il a été retrouvé mort en 2014, décédé apparemment d'une blessure par balle, qui a été considérée comme un suicide. Alors qu'il a laissé un message de suicide enregistré, dans lequel il dit qu'il allait mettre fin à ses jours pour que la CIA ne puisse pas l'assassiner, certains croient encore qu'il a été physiquement éliminé.
Michael Ruppert
4. En 2017, le journaliste d'information allemand Udo Ulfkotte a été retrouvé mort, 10 mois après avoir révélé la collusion entre la CIA et les services secrets allemands. Ulfkotte affirmait que les agences de renseignement soudoyaient des journalistes pour écrire des articles pro-Otan. Dans son livre, intitulé « Acheter des journalistes », Ulfkotte révèle les détails de la machine de propagande américaine et de l'Otan, affirmant que ceux qui refusaient de travailler pour eux pouvaient considérer leur carrière comme ruinée. Il a déclaré que la plupart des journalistes aux États-Unis et en Europe avaient ce métier comme une « soi-disant couverture non officielle », et qu'ils travaillaient pour une agence de renseignement. En ce qui concerne les fake news, Ulfkotte déclarait que la CIA lui avait ordonné de publier un article affirmant que le défunt dirigeant libyen Mouammar Kadhafi construisait des usines de gaz toxiques en 2011. Le journaliste de 56 ans serait mort d'une crise cardiaque, mais beaucoup pensent que son livre best-seller lui a coûté la vie.
5. David Kelly a travaillé pour le ministère britannique de la Défense en tant qu'expert en armement biologique en 2003, lorsque la guerre en Irak a commencé sous prétexte que Saddam Hussein possédait des armes de destruction massive. Lorsque Kelly a signalé qu'aucune arme de destruction massive n'avait été trouvée en Irak, il a été qualifié de traître par ses collègues, ainsi que par les principaux politiciens. Plus tard en 2003, il a été retrouvé mort, le rapport initial de l'enquête a évoqué une overdose d'analgésiques le conduisant à se couper le poignet. Alors que certains croient qu'il ne s'est pas suicidé, le gouvernement a rejeté toute demande d'enquête sur sa mort.
Un voyage dans le monde de l'oncle sam. Nous finalisons avec ces 5 personnes courageuses qui ont laissé leurs paux pour faire face aux puissants. Ne trouvez pas que cela puisse être une coïncidence que leurs sors soit dite sur cet article. Je rends ces hommes braves personnes en ammenant mon travail jusqu'au bout du combat. Je vous salue tous.
Miyoceleste 18 01 2018 - 15 h 23