LA DYNASTIE RÉVOLUTIONNAIRE
Pensez vous que le sentiment que, les gens a travers l'histoire, ont sur une justice sociale, naissent spontanément et se répand de bouche en bouche. Les masses d'autre fois, qui se sont battues suivant un ideale, trouvant la mort et la déshérence, n étaient qu un pretexte pour que d autres mechanisms se mettent en place. J ai lu il y a quelque temps, que les forces contraires lors qu elles ne peuvent pas arrêter une conscience sociale forte, elles utilisent une autre technique, elles devient la volonté vers des endroits en utilisant et implantant une idéologie révolutionnaire fabriqué par ses agents qui sont présentés au public comme des philosophes. Les penseurs, trouvés et sélectionnés dans les universités, manipulés comme actuellement en subventionnant les axes de recherche. La façon dont le système agit sur nous, se présente en nous montrant un chemin idyllique qui résoudrait les problèmes qu il même fabrique. Une fois que vous avez compris cela, vous pouvez reculer dans l'histoire et faire le constat. Pourquoi on a combattu les chrétiens en france pendant la révolution française et ne pas avoir envahi le Vatican. Pourquoi avoir anéanti les zars, le roi de France et laisser la royauté anglaise et celles d Europe. Les lignes divines n'étaient pas les mêmes. Si vous voulez voir le lien entre toutes ces instances qui ont survécu, aller voir du côté de la franc maçonnerie. Elle a comme but d'effacer les lignées venant d'un être supérieur; mais lequel. Le dieu hébreux est le guide des francs maçons; il a comme préoccupation principale d imposer son règne par l argent. C'est le sang qui circule par toutes les artères de notre monde. Le texte a continuation est bien généreux en eclaircissements; les maîtres a penser sont fabriqués pour concevoir de révolutions qui finissent par ne pas être les nôtres.
La confession de Rakovski Dr Landowsky
https://rustyjames.canalblog.com/archives/2018/06/09/36474172.html
"Marx, Rakovski souligne le silence de Marx sur l'influence politique et sociale de la finance internationale. Or la révolution russe suppose des moyens et des complicités sans commune mesure avec l'influence personnelle de Lénine. De même le rôle de premier plan joué par Trotski en 1905, puis sa place dans le gouvernement d'Octobre 1917, demande une explication. Dans cette perspective, Rakovski a beau jeu de rapprocher la révolution russe de la révolution française. R.- Je poursuis comme si je n'avais rien entendu . A ce stade, vous êtes un écolier en ce qui concerne le Capital, et je veux éveiller vos talents inductifs. Je vous rappellerai donc certains faits très curieux. Observez attentivement avec quelle pénétration Marx en arrive aux conclusions tirées de l'existence de l'industrie britannique alors naissante, à savoir la colossale industrie d'aujourd'hui; comment il l'analyse et la critique ; quelle image repoussante il donne de l'industriel manufacturier . Dans votre imagination et dans celle de la masse naît alors la terrible image du Capitalisme dans son concret humain: le type du fabricant bedonnant, un cigare à la bouche, comme Marx le décrit, jetant à la rue, avec colère mêlée de satisfaction, l'épouse et la fille de l'ouvrier. Est-ce que ce n'est pas vrai ? Mais en même temps, souvenez-vous aussi de la modération de Marx et de son orthodoxie bourgeoise lorsqu'il étudie la question monétaire. Dans ce problème de la monnaie, on ne voit pas apparaître chez lui la fameuse contradiction. Pour lui, les finances n'existent pas comme quelque chose d'important en soi ; le commerce et la circulation des monnaies sont les résultats de la production capitaliste honnie, qui les asservit et les détermine totalement. Or sur la question de la monnaie, Marx est un réactionnaire; et à notre immense surprise, il l'était bien; ayez à l'esprit "l'étoile à cinq pointes ",comme la soviétique, mais cette étoile qui brille sur toute l'Europe, l'étoile composée des cinq frères Rothschild, avec leur banque, qui possède une colossale accumulation de richesses, la plus grande jamais connue ... Ainsi, ce fait, si colossal qu'il égara l'imagination des gens à l'époque, Marx ne le remarque pas . Voilà qui est bien étrange ... non ? Il se peut que de cet étrange aveuglement de Marx naisse un phénomène qui est commun à toutes les futures révolutions sociales. Voici le fait : tous, nous pouvons confirmer que lorsque les masses prennent le contrôle d'une ville ou d'un pays, elles semblent toujours frappées d'une crainte superstitieuse des banques et des banquiers.
On a tué les rois, les généraux, les évêques , les policiers, les prêtres et les autres représentants des classes privilégiées haïes; on a dévalisé et incendié les palais, les églises, et même les temples de la science ; mais bien que les révolutions fussent sociales, la vie des banquiers fut respectée, et les magnifiques édifices des banques restèrent intacts . A ma connaissance, jusqu'au moment même de mon arrestation, cette situation a perduré jusqu'à ce jour . G.- Où cela? R.- En Espagne ... Ne le savez-vous pas ? Puisque vous me le demandez, dites-moi aussi : ne trouvez-vous pas cela bien étrange ? Réfléchissez, la police peut-être?.... Je ne sais pas, mais votre attention a-t-elle été attirée par l'étrange similitude qui existe entre l'Internationale financière et l'Internationale prolétaire . Je dirais que l'une est l'envers de l'autre, et que le revers est la prolétaire, comme étant plus récente que la financière. G.- Où voyez-vous une similitude dans des choses aussi opposées ? R.- Objectivement elles sont identiques. Comme je l'ai prouvé, le Komintern dans sa double face, renforcé par le mouvement réformiste et l'ensemble du syndicalisme, provoque l'anarchie dans la production, l'inflation, la pauvreté et le désespoir dans les masses. Les Finances, essentiellement l'Internationale financière, épaulée consciemment ou inconsciemment par les investisseurs privés, créent les mêmes contradictions, mais en plus grand nombre encore ... Maintenant vous pouvez deviner les raisons pour lesquelles Marx a caché les contradictions financières, qui ne pouvaient avoir échappé à son regard pénétrant, si les finances n'avaient eu là un allié dont l'influence - objectivement révolutionnaire - était déjà alors d'une extraordinaire importance .
G.- Une coïncidence inconsciente, mais pas une alliance, qui présuppose l'intelligence, la volonté et l'accord... R.- Quittons cette perspective, si vous le voulez bien . Et passons plutôt maintenant à une analyse subjective des finances, et même plus : examinons quelle sorte de gens sont là personnellement à l'oeuvre. L'essence internationale de la monnaie est bien connue. De ce fait, il ressort que l'organisation internationale qui possède l'argent et qui l'accumule, est une organisation cosmopolite . La finance à son apogée - en tant que trouvant en elle-même son propre but, c'est à dire l' Internationale financière - dénie et ne reconnaît rien de ce qui est national, ni non plus l'Etat ; par conséquent elle est anarchique, et elle serait anarchiste de manière absolue si elle - la négatrice de tout Etat national - n'était pas par nécessité un Etat dans toute son essence fondamentale. L'Etat comme tel n'est que Pouvoir . Et l'argent est exclusivement Pouvoir. Ce super-Etat communiste, que nous nous sommes efforcés de créer depuis tout un siècle et dont l'esquisse est l'Internationale de Marx, faites-en l'analyse, et vous verrez quelle est son essence . Le plan de l'Internationale et le prototype que représente l'URSS, c'est aussi le pouvoir pur. La similitude fondamentale entre les deux créations est absolue . C'est quelque chose de fatal et d'inévitable puisque les personnalités des auteurs des deux étaient identiques. Le Financier est tout juste aussi international que le Communiste. Tous les deux, à l'aide de différents alibis et différents moyens, luttent contre l'Etat national bourgeois et en sont la négation. Le Marxisme le fait afin de le changer en un Etat Communiste , d'où s'en suit que le marxiste doit être un internationaliste. Le financier renie l'Etat national bourgeois, et sa négation trouve sa fin en elle-même : il ne se manifeste pas en tant qu'internationaliste, mais comme un anarchiste cosmopolite.... C'est son apparence actuelle, mais voyons ce qu'il est réellement et ce qu'il vise à être . Comme vous le voyez, il y a en résidu une claire similitude individuelle entre les Communistes internationalistes et les Cosmopolites de la finance, et le résultat naturel est une identique similitude entre l'Internationale communiste et l'Internationale financière G.- C'est subjectivement une similitude de hasard et en contradiction dans l' objectif, mais l'une est facilement érodée et de peu de signification, et la plus radicale est aussi celle qui a l'existence la plus réelle. R.- Permettez-moi de ne pas répondre immédiatement, afin de ne pas interrompre la séquence logique du raisonnement... Je cherche seulement à décrypter l'axiome de base : l'argent est pouvoir. L'Argent est aujourd'hui le centre de gravité général . J'espère que vous êtes bien d'accord avec moi ? G.- Continuez, Rakovsky, je vous prie. R.- Comprendre comment l'Internationale financière est progressivement devenue à notre époque la maîtresse de l'argent, ce talisman magique, devenu pour les gens ce que Dieu et la Nation étaient antérieurement, c'est quelque chose qui excède en intérêt scientifique même l'art de la stratégie révolutionnaire, car c'est également un art et également une révolution. Je vais vous l'expliquer. Les historiographes et les masses, aveuglés par les cris et la pompe de la Révolution Française, le peuple intoxiqué par le fait qu'il avait réussi à prendre le pouvoir du Roi et des classes privilégiées, n'ont pas prêté attention au fait qu'un petit groupe de gens mystérieux, obstinés et insignifiants, avaient pris possession du pouvoir royal réel, pouvoir magique, presque divin, qu'ils obtinrent presque sans s'en douter. Les masses ne prirent pas garde que ce pouvoir avait été capturé par d'autres, qui très vite les soumirent à un esclavage plus impitoyable que celui où les tenait le Roi, car ce dernier, du fait de ses préjugés religieux et moraux, n'était pas apte à tirer avantage d'un tel pouvoir. Il advint donc que le Pouvoir Royal suprême échut à des gens dont les caractères moraux, intellectuels et cosmopolites leur permirent cette fois d'en faire usage . Il est clair que ces gens-là n'avaient jamais été chrétiens, mais étaient des cosmopolites. G.- Mais qu'est ce que cela a à faire avec le pouvoir mythique qu'ils avaient acquis ? R.- Ils avaient obtenu pour eux le réel privilège de battre monnaie... Ne souriez pas, autrement je devrais en conclure que vous ne savez pas ce que sont les monnaies... Je vous demande de vous mettre à ma place. Ma situation est celle de l'assistant d'un docteur qui aurait à expliquer la bactériologie à un médecin ressuscité, formé à l'époque d'avant Pasteur. Mais je peux m'expliquer votre manque de connaissances et vous en excuser . Le langage fait usage de termes qui provoquent des idées erronées sur les choses et les actes, ceci à cause de la puissance d'inertie de la pensée, et qui ne correspondent pas à des conceptions réelles et exactes. Ainsi de la monnaie. Il est clair que dans votre imagination apparaissent immédiatement à ce mot des images de monnaie réelle en métal et en papier. Mais la monnaie ce n'est pas cela; l'argent ce n'est plus cela dorénavant . Les pièces en circulation c'est un pur anachronisme .
S'il en existe encore et si elles circulent, c'est seulement par atavisme, uniquement parce que cela convient pour le maintien d' une illusion, à l'heure actuelle, d'une pure fiction. G.- Voilà un paradoxe brillant, osé et même poétique ... R.- Si vous le voulez, c'est peut-être brillant, mais ce n'est pas un paradoxe. Je sais bien , et c'est la cause de votre sourire, que les Etats frappent encore de la monnaie, des pièces de métal, et impriment des billets avec des bustes royaux ou des emblèmes nationaux. Bien, et alors ?.. Une grande partie de la monnaie en circulation, l'argent des grandes affaires ou comme représentant de la richesse nationale , l'argent, oui, l'argent, était dorénavant émis par le petit groupe de personnes que j'ai évoqué. Des titres, des valeurs, des chèques, des traites , des billets à ordre, des lettres de change, des escomptes, des cotations et des chiffres sans fin inondèrent les Etats comme une cataracte. Que représentaient dès lors, par rapport à tout cela, les monnaies métalliques et de papier ? ... Quelque chose de négligeable , une sorte de minimum face à l'inondation croissante de la monnaie financière qui envahissait tout. En plus de l'immense variété de formes des monnaies financières, ils créèrent la monnaie-crédit, avec l'intention d'en rendre le volume quasiment infini. Et de lui donner la vitesse du son ... ce n'est plus qu' une abstraction, un être de pensée , un chiffre, un nombre ; le crédit , la foi.... Commencez-vous déjà à saisir ?..... La fraude, la fausse monnaie jouissant d'un statut légal... pour utiliser une autre terminologie afin de mieux me faire comprendre. Les banques, les bourses des valeurs, et l'ensemble du système financier mondial, c'est une gigantesque machine destinée à produire artificiellement des scandales, selon l'expression d'Aristote. Forcer l'argent à produire de l'argent, si c'est un crime en matière économique, est aussi quelque chose qui, en ce qui a trait aux financiers, relève du code criminel, car c'est de l'usure. J'ignore quels sont les arguments par lesquels on essaie de justifier tout cela; sans doute par la proposition qu'ils reçoivent un intérêt légal ... Mais même en l'admettant, et l'admettre dépasse ce qui est nécessaire ici, nous voyons que l'usure existe encore, car même si l'intérêt reçu est légal, alors celui-ci invente et falsifie un capital inexistant. Les banques ont toujours, sous forme de dépôts ou d'en-cours productifs, une quantité d'argent qui est dix fois - voire même cent fois - supérieure à l'argent qui existe physiquement sous forme de pièces et de billets de banque.
Et je ne parle pas des cas où lala monnaie-crédit, c'est à dire la fausse monnaie1, la monnaie fabriquée, est supérieure au capital en dépôt. Compte tenu que l'intérêt légal est fixé, non pas sur le capital réel, mais sur un capital virtuel, l'intérêt en question est en réalité illégal, en proportion du nombre de fois que le capital fictif dépasse le capital réel. Il faut garder à l'esprit que le système que je vous décris là en détail n'est encore que l'un des plus innocents parmi ceux qui sont utilisés pour la fabrication de fausse monnaie. Imaginez, si vous le pouvez, un petit groupe de gens ayant un pouvoir illimité par la possession de la richesse réelle , et vous verrez qu'ils sont les dictateurs absolus des bourses de valeurs, avec comme résultat qu'ils sont alors aussi les dictateurs de la production et de la distribution, et aussi du travail et de la consommation. Si votre imagination en est capable, multipliez alors ceci par le facteur global, et vous verrez son influence anarchique, morale et sociale, c'est à dire son influence révolutionnaire .... Comprenez-vous ? G.- Non, toujours pas ! R. - Manifestement, il est très difficile de comprendre les miracles. G.- Comment le miracle ? R. - Oui, le miracle. N'est-ce pas un miracle qu'un banc de bois ait été transformé en un temple ? Et pourtant, un tel miracle a été vu par les gens mille fois, et ils n'ont pas cillé une seule fois en un siècle. Car c'était bien un miracle extraordinaire de voir que les bancs où s'asseyaient de gras usuriers pour faire leurs opérations de change sur les monnaies, se transformaient dorénavant en temples, qui s'élèvent magnifiques dans tous les coins des grandes cités contemporaines, avec leurs colonnades païennes, et où affluent les foules avec une foi qui ne leur vient pas des divinités célestes, pour y faire assidûment le dépôt de tout ce qu'elles possèdent de leurs biens au dieu de l'Argent qui, -l'imaginent-elles sans doute-, doit vivre dans les coffres blindés des banquiers, et qui est pré- ordonné de par sa divine mission à accroître la richesse jusqu'à un infini métaphysique. G.- C'est la nouvelle religion de la bourgeoisie décadente . 1 Les manuels d'économie ont depuis officialisé et avalisé ce que dit Rakovski. La formule « les dépôts font les crédits » (c'est-à-dire que le prêt bancaire est basé sur l'argent des déposants), en usage avant 1950, est devenue depuis « les crédits font les dépôts » (c'est-à-dire que l'acte de prêt se traduit par une entrée sur le compte de l'emprunteur). Mais on n'attire pas l'attention des étudiants (à la différence de Maurice Allais, ce qui a longtemps retardé son Prix Nobel) sur l'appropriation par les banques de l'intérêt sur la monnaie créée ex-nihilo.
R.- Religion oui, c'est la religion de la puissance. G.- Vous semblez être le poète de l'économie !.. R.- Oui, si vous le voulez, car pour donner une image de la finance comme d'une oeuvre d'art qui, de la manière la plus évidente, est une oeuvre de génie et la plus révolutionnaire de tous les temps, il faut en effet la poésie . G.- C'est une vue erronée: car les Finances, comme l'a défini Marx et plus particulièrement Engels, sont déterminées par le système de production capitaliste. R.- C'est exact, mais c'est l'inverse: c'est le système capitaliste de production qui est déterminé par la finance. Le fait qu'Engels dise le contraire et essaie même de le prouver, est en soi la preuve la plus patente que ce sont les finances qui dirigent la production bourgeoise. D'où aussi le fait, et il en était ainsi avant Marx et Engels , que les finances furent le plus puissant agent de la révolution et que le Komintern n'était qu'un jouet entre leurs mains. Mais ni Marx, ni Engels ne vont le dévoiler ou l'expliquer. Bien au contraire, faisant appel à tous leurs talents de savants, ils allaient camoufler cette vérité une deuxième fois, dans l'intérêt de la Révolution. Et cela, ils le firent tous les deux. G.- Voilà qui n'est pas nouveau . Tout cela me rappelle ce que Trotsky avait écrit il y a une dizaine d'années. R.- Dites ... G.- Quant il dit que le Komintern est une organisation conservatrice par rapport à la bourse de New-York, il désigne les grands banquiers comme étant les inventeurs de la révolution. R.- Oui en effet, il le dit dans un opuscule où il prédit l'effondrement de l'Angleterre... Il le déclare, en posant la question « Qui pousse l'Angleterre sur la voie de la révolution ? »... Et voici sa réponse:" Non pas Moscou, mais New-York. " G.- Mais rappelez-vous aussi son affirmation que, si les financiers de New-York avaient forgé la révolution, ils l'avaient fait inconsciemment . R.- L'explication que je vous ai donnée pour vous faire comprendre pourquoi Marx et Engels avaient camouflé la vérité, est également applicable à Léon Trotsky. G.- Je n'apprécie dans Trotsky que le fait qu' il ait interprété en quelque sorte sous une forme littéraire un fait qui, en tant que tel, n'était que trop bien connu et qu'on a déjà noté .
Trotsky
lui-méme souligne de manière tout à fait correcte que ces banquiers "
accomplissent irrésistiblement et inconsciemment leur mission révolutionnaire
". R.- Et ils l'accomplissent, cette mission, en dépit du fait que Trotsky
l'a déclaré ? Voilà qui est bien étrange ! Pourquoi alors ne corrigent-ils pas
leurs actions? G.- Les financiers sont des révolutionnaires inconscients, car
ils ne le sont que de manière objective, ceci résultant de leur incapacité
intellectuelle à en voir les conséquences finales. R.- Vous croyez cela sincèrement ? Vous pensez
que parmi ces véritables génies, il y en a qui sont inconscients ? Vous
considérez comme des idiots ces gens à qui le monde entier aujourd'hui est
soumis ? Voilà
qui serait vraiment une contradiction bien stupide. G.- Mais que prétendez-vous
? R.- J'affirme tout simplement qu'ils sont révolutionnaires objectivement et
subjectivement, de manière tout à fait consciente. G.- Quoi, les banquiers ?
Vous êtes fou! R.- Moi, non ... Et vous ? Réfléchissez un peu... Ces gens là
sont comme vous et moi. La situation qui les rend maîtres des monnaies en
quantités illimitées, puisqu'ils les créent par eux-mêmes, ne nous permet pas
de fixer leur limite à leurs ambitions.... S'il y a quelque chose qui
satisfasse pleinement l'homme, c'est bien de satisfaire son ambition, et par
dessus tout de satisfaire sa volonté de puissance. Pourquoi donc ces gens là,
les banquiers, n'auraient-ils pas la soif du pouvoir, du pouvoir total ?
Exactement comme vous ou moi pouvons l'avoir ? G.- Mais si selon vous, et je le pense aussi,
ils possèdent déjà le pouvoir politique global, quel autre pouvoir veulent-ils
donc posséder? R.- Je vous l'ai déjà dit: le pouvoir absolu. Le même pouvoir
que Staline a dans l'URSS, mais dans le monde entier. G.-Le même pouvoir que
Staline, mais alors dans un objectif opposé. R.- Le Pouvoir, lorsqu'il est
réellement absolu, ne peut qu'être unique . L'idée de l'absolu exclut la
multiplicité. C'est la raison pour laquelle le pouvoir pousuivi par le
Komintern et le "Kapintern", qui sont des choses du même ordre, étant
absolu, doit en politique également être unique et identique : le pouvoir
absolu est à luimême sa propre fin, autrement il ne serait pas absolu. Et jusqujusqu'à présent, on n'a pas encore inventé d'autre machine de pouvoir
total que l'Etat Communiste. Le pouvoir bourgeois capitaliste, même à l'échelon
le plus élevé, le pouvoir d'un César, reste un pouvoir limité ; car s'il était
en théorie la personnification de la divinité dans les Pharaons et dans les Césars de l'Antiquité, du fait des conditions économiques d'alors et du sous-développement de l'appareil d'Etat, il y avait cependant toujours place pour la liberté individuelle.
Comprenez-vous alors que ceux qui dominent en partie les nations et les gouvernements du monde actuel puissent avoir des prétentions à une domination absolue ? Comprenez bien que c'est la seule chose qu'il leur reste à obtenir... G.- Voilà qui est intéressant, au moins comme exemple de folie. R.- Certainement, mais folie à un bien moindre degré que celle de Lénine qui rêvait d'asseoir son pouvoir sur le monde entier depuis sa mansarde en Suisse, ou celle de Staline rêvant à la même chose durant son exil dans une cabane en Sibérie. Il me semble que des rêves d'une telle ambition sont beaucoup plus naturels de la part d'hommes d'argent vivant dans les gratte-ciels de New -York. G.- Alors concluez, qui sont-ils ? R.- Etes vous assez naïf pour penser que si je savais qui " ILS" sont, je serais ici prisonnier ? G.- Pourquoi ? R.- Pour la raison bien simple que celui qui est de leur cercle ne serait pas dans une situation l'obligeant à leur rendre des comptes... C'est une règle élémentaire de toute conspiration intelligente, que vous devez bien comprendre . G.- Mais vous avez dit qu'ils sont les banquiers ? R.- Non, je ne l'ai pas dit. J'ai toujours parlé de l'Internationale de la Finance, et quand il s'est agi de parler des individus, j'ai utilisé le terme " ILS", sans plus. Si vous voulez que je vous informe franchement, alors je vous citerai des faits, mais aucun nom, parce que je les ignore... Je ne pense pas me tromper en vous disant qu'aucun d'EUX n'est une personne occupant un poste politique ou une position dans la banque mondiale. Comme je l'ai compris après l'assassinat de Rathenau à Rapallo, ceux à qui "ILS" donnent les positions éminentes de la politique et des finances ne sont que des intermédiaires. Evidemment, il s'agit de personnes de toute confiance et loyales, qui donnent mille garanties. On peut donc affirmer que banquiers et politiciens ne sont que des hommes de paille ... cela malgré le fait qu'ils occupent de très hauts postes et qu'ils apparaissent comme étant les auteurs des plans qui sont menés. G.- Certes, tout cela est compréhensible et logique, mais lorsque vous déclarez ne pas les connaître, n'est-ce pas une esquive ? Comme il m'en semble, et selon les informations que je possède, vous avez occupé un poste suffisamment haut dans la conspiration pour en avoir su bien davantage encore. Et vous n'en connaissez pas un seul personnellement ? R.- C'est exact, mais vous ne me croyez pas. J'en étais venu au moment de vous expliquer que je parlais d'une personne et de personnes, avec une personnalité ... comment dirais-je ... mystique peut-être, comme Gandhi ou quelque chose comme cela, mais sans signes extérieurs. Des mystiques du pur pouvoir, qui se sont libérés de toutes les préoccupations vulgaires et frivoles. Je ne sais pas si vous me comprenez ? Eh bien, quant à leurs lieux de résidence et à leurs noms, je les ignore... Imaginez Staline actuellement, dirigeant réellement l'URSS, mais qui ne serait pas entouré de murailles, qui n'aurait pas de personnel autour de lui, et qui aurait pour sa vie les mêmes garanties que n'importe quel autre citoyen. Par quels moyens pourrait-il se protéger contre les attentats à sa vie ? Il reste avant tout un conspirateur, et quelle que soit l'importance de son pouvoir, il est anonyme. G.- Tout ce que vous me dites est logique, mais je ne vous crois pas. R.- Mais si, croyez moi ! Je ne sais rien. Si je savais , comme je serais heureux! Je ne serais pas ici à défendre ma vie. Je comprends bien vos doutes et le fait que par suite de votre éducation policière, vous ressentiez le besoin de connaître des noms . Pour vous honorer et aussi parce que c'est essentiel pour l'objectif que nous nous sommes mutuellement fixés, je ferai tout mon possible pour vous informer. Vous savez que, selon l'histoire non écrite et connue seulement de nous, le fondateur de la première Internationale Communiste est donné - secrètement bien sûr - comme étant Weishaupt . Vous vous souvenez de son nom ? Il fut le chef de la Maçonnerie connue sous le nom des Illuminati ; il avait emprunté ce nom à la deuxième conspiration anti-chrétienne de notre ère, le gnosticisme. Cet important révolutionnaire, sémite et ancien jésuite, prévoyant le triomphe de la Révolution française, décida , ou peut-être reçut l'ordre ( certains mentionnent comme son chef le grand philosophe Mendelssohn) de fonder une organisation secrète qui devait provoquer et pousser la Révolution Française à aller bien au delà de ses objectifs politiques, dans le but de la transformer en une révolution sociale pour établir le Communisme. Dans ces temps héroïques, il était extrêmement dangereux de mentionner le Communisme comme objectif ; de là dérivent les diverses précautions et le secret qui entourèrent les Illuminati. Il fallut plus de cent ans avant que quelqu'un pût avouer être communiste sans danger d'être mis en prison ou exécuté. On sait plus ou moins tout cela. Ce qui est moins connu, ce sont les relations de Weishaupt et de ses successeurs avec les premiers des Rothschilds. Le secret de l'enrichissement des plus célèbres des banquiers pourrait bien s'expliquer par le fait qu'ils étaient les trésoriers de ce premier Komintern. On a les preuves que, lorsque les cinq frères se répartirent sur les cinq principales provinces de l'Empire financier de l'Europe, ils furent aidés en secret par les énormes montants de ces réserves; il est fort possible qu'ils aient été les premiers communistes sortis des catacombes bavaroises, se répandant alors déjà sur toute l'Europe. Mais d'autres disent, et selon moi avec de meilleures raisons, que les Rothschilds n'étaient pas les trésoriers, mais les chefs de ce premier Communisme secret . Cette opinion repose sur le fait bien connu que Marx et les plus hauts dirigeants de la lère Internationale, - alors déjà l'Internationale avouée et publique - et parmi eux Herzen et Heine, étaient sous la direction du Baron Lionel de Rotschild, dont le portrait comme révolutionnaire a été dépeint par Disraeli2. Disraeli3 le premier Ministre britannique, qui était sa créature, nous en a laissé le portrait. Il l'a décrit sous les traits du personnage de Sidonia, un homme qui, d'après le roman, était à la fois multi-millionnaire, possédait et dirigeait les espions, les carbonari, les franc-maçons, les juifs secrets, les gitans, les révolutionnaires, etc, etc... Tout cela semble fantastique , mais il a été prouvé que Sidonia est bien le portrait idéalisé du fils de Nathan de Rothschild, ce que l'on peut également déduire de la campagne qu'il mena contre le Tsar Nicolas en faveur de Herzen. Cette campagne, il la gagna. Si tout ce que l'on peut deviner à la lumière de ces faits est vrai, alors je pense que nous pourrons en induire qui a inventé cette terrible machine de l'accumulation et de l'anarchie qu'est l'Internationale de la Finance. Et qu'en même temps, comme je le pense, ce pourrait bien être la même personne qui aurait créé l'Internationale révolutionnaire . Ce fut une action de génie. Créer à l'aide 2 Dans son roman à Clef Coningsby en 1844 (Ndt). 3 Benjamin Disraeli, comte de Beaconsfield (1804-1881) fut baptisé à l'âge de 19 ans. D'abord radical, puis élu aux Communes comme tory (en 1837), il devint premier ministre en 1867 et fit alors adopter la réforme électorale qui, en abaissant le cens, doubla le corps électoral anglais. Revenu aux affaires de 1874 à 1880, il s'efforça d'étendre et consolider l'Empire Britannique et fit donner à la Reine Victoria le titre d'impératrice des Indes.
De l'accumulation capitaliste au plus haut degré, ce qui pousse le prolétariat aux grèves, à semer le désespoir, et en même temps à créer des organisations destinées à unir les prolétaires en vue de les mener à la révolution. Voilà bien écrire le chapitre le plus majestueux de l'Histoire ! Mieux encore, rappelez-vous cette phrase de la mère des cinq frères Rothschild: " Si mes fils le veulent, alors il n'y aura plus de guerres". Cela veut dire qu'ils étaient les arbitres, les maîtres de la paix et de la guerre, sans être empereurs. Pouvez-vous vous représenter un fait d'une telle importance universelle ? La guerre n'est-elle pas déjà une opération révolutionnaire? La guerre - la Commune . Depuis cette époque, chaque guerre a été un pas de géant en direction du Communisme. Comme si une force mystérieuse accomplissait le voeu passionné de Lénine, qu'il avait exprimé à Gorki . Souvenez-vous: "1905-1914". Admettez au moins que deux des trois leviers du pouvoir qui mènent au Communisme ne sont pas aux mains du prolétariat, et ne peuvent pas l'être. Les guerres n'étaient ni provoquées ni dirigées par la IIIème Internationale, ni par l'URSS qui n'existait pas encore. Elles ne pouvaient pas non plus avoir été provoquées et moins encore dirigées par les petits groupes de bolchevistes qui allaient et venaient dans les milieux de l'émigration, même si eux voulaient la guerre. C'est tout à fait évident. L'Internationale et l'URSS ont encore moins les moyens de réaliser ces immenses accumulations de capital, et aussi de créer une anarchie nationale et internationale dans la production capitaliste, capable de pousser impérieusement le peuple à incendier d'énormes quantités de produits alimentaires plutôt que de les donner à ceux qui ont faim, et capable aussi de ce que Rathenau a décrit dans l'un de ses mots: " faire en sorte que la moitié du monde fabrique de la m.... et que l'autre moitié l'utilise"... Et surtout, le prolétariat peut-il dire que qu'il est cause de cette inflation qui se développe en progression géométrique, de cette dévaluation, de la constante acquisition de surplus de valeurs, et de l'accumulation du capital financier même non usuraire, alors que, de ce simple fait, il se produit une prolétarisation des classes moyennes, puisqu'elles ne peuvent empêcher la baisse constante de leur pouvoir d'achat, elles qui sont les véritables opposants à la révolution. Le prolétariat ne contrôle ni le levier de l'économie, ni le levier de la guerre. Mais il est par lui-même le troisième levier, celui de la révolution, le seul levier visible et démontrable, celui qui donne le coup de grâce au pouvoir de l'Etat capitaliste et s'en empare . Oui, celui-là le peuple le saisit, mais seulement s' ILS le lui donnent.
G.- Je répète une fois encore que tout cela, tout ce que vous avez exposé sous une forme si littéraire, a un nom que nous avons déjà énoncé mille fois dans cette conversation sans fin : ce sont les contradictions naturelles du Capitalisme, et si comme vous le prétendez, il y a en plus la volonté et l'activité de quelqu' autre facteur que le prolétariat, alors je veux que vous me citiez concrètement un exemple de personnes. R.- Un seul vous suffit ? Eh bien, alors, écoutez une petite histoire. "ILS" isolèrent diplomatiquement le Tsar, en vue de la guerre Russo-japonaise, et les Etats-Unis financèrent alors le Japon. Pour mettre les points sur les i, ce fut l'oeuvre de Jacob Schiff, le directeur de la banque de Kuhn, Loeb and Co, qui succéda à la Maison Rothschild, dont Schiff provenait au départ. Son pouvoir était tel qu'il obtint que les Etats qui avaient des possessions coloniales en Asie soutinssent la création de l'Empire Japonais, alors que celui-ci tendait à la xénophobie ; et l'Europe sent déjà les effets de la xénophobie anti-blanche. Ce fut alors des camps de prisonniers de guerre qu'arrivèrent à Petrograd les meilleurs combattants, désormais entraînés comme agents révolutionnaires; ils y furent envoyés à partir d'Amérique, avec l'accord du Japon, accord obtenu par les personnes qui avaient financé ce pays. Grâce à la défaite organisée de l'Armée du Tsar, la guerre Russo-japonaise amena la révolution de 1905, laquelle, bien que prématurée, faillit réussir; et même si elle ne fut pas victorieuse, il reste qu'elle créa les conditions politiques requises pour la victoire de 1917. Mais je dirai plus . Avez-vous lu la biographie de Trotsky ? Rappelez-vous sa première période révolutionnaire . C'est encore un tout jeune homme; après son évasion de Sibérie, il vécut quelque temps parmi les émigrés, à Londres, à Paris et en Suisse. Lénine, Plekhanov, Martov et d'autres leaders le considèrent alors simplement comme une nouvelle recrue pleine de promesses. Mais déjà lors de la première scission, il ose se comporter avec indépendance en essayant de devenir l'arbitre de la réunification. En 1905, il a vingt-cinq ans ; et il retourne en Russie, seul, sans parti à lui, et sans organisation propre. Lisez donc les relations de la révolution de 1905 qui n'ont pas été "expurgées" par Lénine, par exemple celle de Lunatcharsky, qui n'était pas trotskiste. Trotsky est le personnage principal à Petrograd durant la révolution. Voilà ce que fut la réalité . Lui seul émerge de la révolution avec une popularité et une influence grandissante. Ni Lénine, ni Martov, ni Plekhanov n'acquièrent de popularité. Ils ne font que garder l'audience qu'ils avaient, et en perdent même un peu. Comment et pourquoi s'élève alors Trotsky l'inconnu, gagnant d'un coup un pouvoir plus grand que celui des révolutionnaires les plus anciens et les plus influents ? C'est très simple : il se marie. Avec lui arrive en Russie sa femme, Sedova. Savez-vous qui c'est ? Elle est alliée aux Jivotovski, qui sont eux-mêmes liés aux banquiers Warburg, associés et parents de Jacob Schiff, c'est à dire du groupe financier qui, comme je viens de le dire, avait aussi financé la révolution de 1905. Voilà la raison pour laquelle Trotsky s'élève d'un coup au sommet de la hiérarchie révolutionnaire. Et c'est là aussi que vous trouvez la clef de sa vraie personnalité . Sautons maintenant à 1914. Derrière ceux qui firent l'attentat contre l'Archiduc, il y a Trotsky, et vous savez que cet attentat provoqua la guerre européenne. Croyez-vous réellement que l'assassinat en question et la guerre ne furent que de simples coïncidences... comme le déclara Lord Melchett à l'un des Congrès sionistes ? Etudiez à la lumière de "l'absence de hasard" le développement des actions militaires de la Russie . Le "défaitisme " est le terme qui s'impose. L'aide des Alliés au Tsar a été administrée et réglée si habilement qu'elle donna aux ambassadeurs alliés le droit d'en tirer argument pour obtenir de Nicolas II, et grâce à sa stupidité, des offensives suicidaires, lancées l'une après l'autre. La masse de chair à canon du peuple russe était immense, mais pas inépuisable. Une série de défaites organisées amena la révolution. Quand la menace apparut de tous côtés, on découvrit le remède dans l'établissement d'une république démocratique, une "république ambassadrice" comme l'appela Lénine, ce qui signifiait l'élimination de toute menace pour les révolutionnaires. Mais ce ne fut pas encore tout. Kérensky devait provoquer la future attaque au prix d'une énorme saignée. Il la provoque, afin que la révolution démocratique déborde bien au delà de ses bornes. Et ce n'est toujours pas tout : il fallait que Kérensky livre l'Etat totalement au Communisme, et il le fait . Trotsky a la chance, et d'une manière "non remarquée", d'occuper tout l'appareil d'Etat. Quel étrange aveuglement !.. Eh bien, telle fut la réalité de la Révolution d'octobre si vantée. Les Bolcheviques s'emparèrent de ce qu'ILS leur ont donné4.
G.- Vous allez jusqu'à dire que Kérensky était un collaborateur de Lénine ? R.- De Lénine, non ; de Trotsky, oui. Ou plutôt, il est plus exact de dire un collaborateurs d'EUX . G.- Mais c'est absurde! R.- Décidément vous ne pouvez pas comprendre... Vous pourtant... Cela me surprend néanmoins. Si vous étiez un simple espion et que, cachant votre identité, vous obteniez le poste de commandant de la citadelle ennemie, est-ce que vous ne feriez pas ouvrir les portes aux attaquants au service desquels vous êtes en réalité ? Et vous n'auriez pas été fait prisonnier après avoir été défait ? Mais n'auriez-vous pas été en grand danger de mort pendant l'attaque de la citadelle, si l'un des attaquants, ignorant que votre uniforme n'était qu'un masque, vous avait pris pour un ennemi? Croyez-moi, en dépit des statues et du Mausolée, le Communisme doit davantage à Kérensky, qu'à Lénine. G.- Voulez-vous dire que Kérensky a été délibérément et consciemment un défaitiste ? R.- Certainement; pour moi c'est parfaitement clair . Comprenez bien que j'ai pris part personnellement à tout cela. Mais je vous dirai plus encore . Savez-vous qui finança la révolution d'Octobre ? C'est EUX qui la financèrent, en particulier à travers les mêmes banquiers qui avaient financé le Japon en 1905, à savoir JacJacob Schiff et les frères Warburg ; c'est à dire, au travers de la
grande constellation bancaire, par l'une des cinq banques qui sont membres de
la Réserve Fédérale, la banque de Kuhn, Loeb & Co. Mais y prirent part
également d'autres banquiers américains et européens : Guggenheim, Hanauer,
Breitung , Aschberg , la "Nya Banken" de Stockholm. J'était justement
là à Stockholm, "par hasard", et j'ai participé au transfert des
fonds . Jusqu'à l'arrivée de Trotsky, j'étais la seule personne qui servait
d'intermédiaire du côté des révolutionnaires. Mais finalement Trotsky vint; il
me faut souligner le fait que les Alliés l'avaient fait expulser de France
comme étant un défaitiste . Et les mêmes Alliés l'ont relâché pour qu'il
puisse devenir un défaitiste en Russie, leur alliée... " un autre hasard
" ! Qui arrangea cela ? Les mêmes qui avaient réussi à faire transiter
Lénine à travers l'Allemagne. Oui , ILS avaient pu faire sortir le défaitiste
Trotsky d'un camp d'internement au Canada pour le faire passer en Angleterre et
l'envoyer en Russie, en lui donnant la chance de passer à travers tous les
contrôles des Alliés ; et d'autres, qui étaient également des LEURS -
spécialement un certain Rathenau - organisent le voyage de Lénine à travers
l'Allemagne ennemie. Si vous entreprenez d'étudier l'histoire de la révolution
et de la guerre civile sans préjugés, et si vous faites usage des capacités
d'investigation que vous savez appliquer à des choses bien moins importantes,
alors, en étudiant les éléments d'information dans leur totalité et si vous
examinez aussi les petits détails jusqu'aux événements anecdotiques, vous vous
trouverez en présence de toute une série d'étonnants " hasards ". G.- D'accord . Acceptons l'hypothèse que tout ne fut pas simple affaire
de chance . Quelle déductions en tirez-vous pratiquement comme résultat ? R.-
Permettez-moi de finir cette petite histoire ; ensuite nous en arriverons tous
deux aux conclusions. Dès son arrivée à Petrograd, Trotsky fut
publiquement reçu par Lénine. Or comme vous le savez, entre les deux
révolutions il y avait eu de graves divergences entre eux. Là tout est oublié,
et Trostky émerge comme le maître de son affaire en ce qui concerne le triomphe
de la révolution, que cela plaise ou non à Staline. Pourquoi cela? Ce secret
est connu de la femme de Lénine, Krupskaïa. Elle sait qui est en réalité
Trotsky ; c'est elle qui persuada Lénine de recevoir Trotsky . S'il ne l'avait
pas reçu, Lénine serait resté bloqué en Suisse; cela seul lui était une raison
sérieuse. Mais en plus, il savait que Trotsky fournissait l'argent et aidait à
obtenir une aide internationale colossale : la preuve en était le train plombé
qui l'avait amené. En outre, l'unification de toute l'aile gauche du camp
révolutionnaire, des Sociaux-révolutionnaires et des Anarchistes autour du
Parti insignifiant des Bolcheviques était l'oeuvre de Trotsky, et non de la
détermination inflexible de Lénine. Ce n'était pas pour rien que le parti réel
du sans-parti Trotsky était l'ancien Bund du prolétariat juif : non pas le Bund
officiel bien connu mais le Bund secret qui avait infiltré toutes les factions
socialistes, et dont les leaders étaient sous sa direction. G.- Et Kérensky aussi alors ? R.- Kérensky également ... et aussi
certains des autres leaders qui n'étaient pas socialistes, les leaders des
groupes politiques bourgeois G.- Comment cela se fait-il ? R.- Oubliez-vous
le rôle de la Franc-maçonnerie dans la première phase de la révolution
démocratique bourgeoise ? G - Etaient-ils aussi sous le
contrôle du Bund ? R.- Bien entendu, comme intermédiaire immédiat , mais en
fait aussi sous LEUR direction à" EUX".
G.- En dépit alors de la montée du Marxisme qui menaçait leurs vies et leurs privilèges ? R.- Oui en dépit de tout cela ; car à l'évidence ils ne voyaient pas le danger. Ayez à l'esprit que tout maçon voyait et espérait dans son imagination bien plus que ce que la réalité offrait, parce qu'il imaginait ce qui lui serait profitable. Comme preuve de la puissance politique de cette organisation, ils voyaient que les maçons étaient dans les gouvernements et au sommet des Etats des nations bourgeoises, cependant que leur nombre croissait constamment . Réfléchissez qu'à la même époque, les dirigeants des nations Alliées étaient franc-maçons, sauf de rares exceptions. Pour eux, c'était un argument d'une très grande force. Ils croyaient tout à fait que la révolution s'arrêterait au stade de la république bourgeoise du type français. G.- D'après la description que l'on a donnée de la Russie de 1917 , il fallait être très naïf pour croire tout cela. R.- Ils l'étaient en effet et le sont toujours . Les maçons n'avaient rien appris de la première leçon que fut pour eux la Grande Révolution (de 1789 ) dans laquelle ils jouèrent un rôle révolutionnaire colossal. Elle dévora pourtant la majorité des maçons, à commencer par le Grand Maître Philippe d'Orléans, pour se poursuivre en détruisant les Girondins, puis les Hébertistes, les Jacobins, etc ... et s'il en survécut quelques uns, ce fut grâce au mois de Brumaire. G.- Voulez-vous dire que les Franc-Maçons doivent périr des mains de la Révolution qu'ils amènent et à laquelle ils coopèrent ? R.- Très exactement ! Vous venez de prononcer une vérité, qui est voilée par un grand secret... Je suis maçon, vous le saviez, n'est-ce pas ? Eh bien je vais vous révéler ce grand secret qu'ils promettent de révéler aux maçons des plus hauts grades, mais qui ne le leur est jamais dévoilé, ni au 25ème degré, ni au 33ème, ni au 93ème, ni à aucun autre degré plus élevé d'aucun rituel . Il est clair que si je le connais, ce n'est pas en tant que franc-maçon, mais comme quelqu'un qui est des LEURS ... G.- Et de quoi s'agit-il ? R.- Chaque organisation maçonnique s'efforce d'arriver à créer les conditions nécessaires au triomphe de la révolution communiste; c'est le but évident de la Franc-Maçonnerie; il est clair que tout cela s' effectue sous divers alibis ; mais ils se cachent toujours derrière leur triple slogan*. * Liberté , Egalité, Fraternité ...Vous comprenez? Mais comme la révolution communiste a pour objectif la liquidation en tant que classe de la totalité de la Bourgeoisie, la destruction physique de tous les chefs politiques bourgeois, il s'ensuit que le vrai secret de la Franc-Maçonnerie est le suicide... de la Franc-Maçonnerie en tant qu'organisation, et le suicide physique de tous les maçons importants ! Vous pouvez bien comprendre qu'une telle fin, que chaque maçon contribue à préparer, exige le secret absolu, avec le décorum et toute une série d'autres secrets qui visent à masquer celui-là, le vrai secret. Si un jour il vous arrive d'assister à une future révolution, ne manquez pas l'occasion d'observer les manifestations de surprise et l'expression de stupidité qui paraît sur la figure de certains franc-maçons lorsqu'ils réalisent soudain qu'ils doivent mourir des mains des révolutionnaires. Comme il hurle alors , et veut que l'on reconnaisse les services qu'il a rendus à la révolution ! C'est une vision devant laquelle on peut mourir... mais de rire ." *
https://le-cep.org/archive/CEP_28
LA MAISON DE ROTHSCHILD
https://www.bibliotecapleyades.net/sociopolitica/history_nwo/history_nwo01.htm
Aucun autre nom n'est devenu plus synonyme avec les Illuminati que les Rothschild. On croit que la famille Rothschild a utilisé les Illuminati comme un moyen d'atteindre leur objectif de domination financière mondiale. Mayer Amschel Rothschild (1743-1812) est né à Francfort-sur-le-Main en Allemagne, fils de Moses Amschel Bauer, banquier et orfèvre. Leur nom était dérivé du «bouclier rouge» («rotschildt») qui pendait à la porte de leur boutique, et avait été l'emblème des Juifs révolutionnaires en Europe de l'Est. Quelques années après la mort de son père, il travaillait comme employé dans une banque de Hanovre, propriété des Oppenheimers. Il est devenu un partenaire junior, et est rapidement parti pour reprendre l'affaire commencée par son père en 1750. Il a acheté et vendu des pièces rares, et plus tard a réussi à racheter plusieurs autres marchands de pièces.
En 1769, il est devenu un agent de cour pour le prince William IX de Hesse-Kassel, qui était le petit-fils de George II d'Angleterre, un cousin de George III, un neveu du roi du Danemark, et un beau-frère à la Roi de Suède. Bientôt Rothschild est devenu l'intermédiaire pour les grands banquiers de Francfort comme les frères Bethmann, et Rueppell & Harnier. Après l'expansion de son entreprise à des antiquités, des caves et l'importation de matériaux manufacturés en provenance d'Angleterre, la famille Rothschild a commencé à accumuler une fortune considérable.
Le prince William a hérité de la fortune de son père à sa mort en 1785, qui était la plus grande fortune privée en Europe. Une partie de cet argent provenait de la Grande-Bretagne qui payait l'utilisation de 16 800 soldats hessois pour arrêter la révolution en Amérique, parce que l'argent n'était jamais donné aux troupes. En 1804, les Rothschild ont secrètement accordé des prêts au gouvernement du Danemark, au nom du prince William.
En juin 1806, lorsque les troupes de Napoléon pénétrèrent en Allemagne, le prince William s'enfuit au Danemark, laissant son argent à Mayer Rothschild. L'histoire nous apprend que Rothschild enterra secrètement les registres de William, qui révélèrent toute l'étendue de sa fortune, une liste des débiteurs et l'intérêt qu'on leur demandait, et 600.000 livres (3.000.000) pour empêcher Napoléon de le confisquer. Buderus von Carlhausen (Carl Buderus), le responsable du Trésor qui s'occupait des finances de William, reçut une «procuration», et à son tour, Rothschild fut son banquier en chef, responsable de la perception des intérêts sur les emprunts royaux. Napoléon a annoncé que toutes les dettes étant payées au prince William, devaient aller au Trésor français, et a offert une commission de 25% sur toutes les dettes qu'il rassemblerait. Rothschild a refusé.
Les circonstances en développement ont rapidement permis aux Rothschild de formuler un plan qui leur garantirait le contrôle financier de l'Europe et bientôt du monde. Il a commencé par tirer parti des résultats de la bataille de Waterloo, qui s'est déroulée à La-Belle-Alliance, à sept milles au sud de Waterloo, dans la banlieue de Bruxelles, en Belgique. Au début de la bataille, Napoléon semble gagner, et le premier rapport militaire secret à Londres communique ce fait. Cependant, sur des renforts des Prussiens, sous Gebhard Blucher, le vent tourne en faveur de Wellington. Le dimanche 18 juin 1815, Rothworth, un courrier de Nathan Rothschild, chef de la branche londonienne de la famille, était sur le champ de bataille et, voyant que Napoléon était battu, il se rendit à cheval à Bruxelles, puis à Ostende, et pour 2 000 francs,
Lorsque Nathan Rothschild a reçu la nouvelle le 20 juin, il a informé le gouvernement, qui ne le croyait pas. Donc, avec tout le monde croyant que Wellington a été vaincu, Rothschild a immédiatement commencé à vendre l'ensemble de ses actions sur le marché boursier anglais. Tout le monde a suivi son exemple, et a également commencé à vendre, ce qui a fait chuter les actions à pratiquement rien. À la dernière minute, ses agents ont secrètement commencé à acheter les stocks à des prix défiant toute concurrence. Le 21 juin, à 23 heures, l'envoyé de Wellington, le major Henry Percy, se présenta au War Office avec son rapport que Napoléon avait été écrasé dans une âpre bataille de huit heures, perdant un tiers de ses hommes. Cela donna à la famille Rothschild le contrôle complet de l'économie britannique et obligea l'Angleterre à créer une nouvelle Banque d'Angleterre, contrôlée par Nathan Rothschild.
Cependant, ce n'était pas le seul angle qu'il utilisait pour tirer profit de la bataille de Waterloo. Mayer Amschel Rothschild envoya une partie de l'argent de William à son fils Nathan à Londres et selon l' Encyclopédie Juive : «Nathan l'investit dans 800 000 livres d'or de la Compagnie des Indes, sachant que cela serait nécessaire pour la campagne de Wellington. Il n'a pas fait moins de quatre bénéfices: (1) sur la vente du papier de Wellington (qu'il a acheté à 50 ¢ le dollar); (2) sur la vente d'or à Wellington; (3) à son rachat; et (4) en l'envoyant au Portugal. C'était le début de la grande fortune. "
Après la défaite de Napoléon, le prince Guillaume revient reprendre son règne. Buderus a été fait un baron, et les Rothschild étaient les banquiers les plus riches en Europe.
En 1817, la France, afin de se remettre sur pied, obtint des prêts auprès d'une banque française à Ouvrard et des Baring Brothers de Londres. Les Rothschild ont vu leur chance de prendre fermement le contrôle de l'économie française et, en octobre 1818, les agents Rothschild ont commencé à acheter d'énormes quantités d'obligations d'État françaises, ce qui a fait augmenter leur valeur. Le 5 novembre, ils ont fait l'objet d'un dumping sur le marché libre, créant une panique financière à mesure que leur valeur diminuait. Ainsi, les Rothschild ont pris le contrôle de la France.
Mayer Rothschild avait établi des banques en Angleterre, en France et en Allemagne. Ses fils, qui ont été faits Barons de l'Empire autrichien, ont été mis en place pour continuer et étendre son empire bancaire. Amschel Mayer Rothschild (1773-1855, qui en 1838 a dit: "Permettez-moi d'émettre et de contrôler l'argent d'une nation, et je ne m'inquiète pas de qui fait ses lois.") Était responsable de la banque à Francfort, en Allemagne. connu sous le nom MA Rothschild and Sons (qui a fermé en 1901, après la mort de Mayer Karl et son frère, Wilhelm Karl, les fils de Karl Mayer Rothschild). Salomon Mayer Rothschild (1774-1855) était à la tête de la banque à Vienne, en Autriche, connue sous le nom de SM Rothschild and Sons (qui fut fermée pendant la Seconde Guerre mondiale après l'occupation nazie).
Nathan Mayer Rothschild (1777-1836, qui a dit un jour: "Je ne m'inquiète pas de savoir quelle marionnette est placée sur le trône d'Angleterre pour gouverner l'Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais: l'homme qui contrôle la monnaie britannique contrôle l'Empire britannique. ») était le chef de la banque à Londres, en Angleterre, qui était connu sous le nom NM Rothschild and Sons (et a occupé les mêmes locaux depuis 1809, à 2 New Court, St. Swithin's Lane à Londres, près de la Banque d'Angleterre et la Bourse). Karl Mayer Rothschild (1788-1868) était le chef de la banque à Naples, en Italie (fermé en 1861). James Mayer Rothschild (1792-1868) dirigeait la banque de Paris, connue sous le nom de Messieurs de Rothschild Frères (dont le nom a été changé en La Banque Rothschild en 1967).
Ce fut le début de la maison de Rothschild, qui contrôlait une fortune estimée à plus de 300 millions de dollars. Bientôt les Rothschild s'étendirent aux chemins de fer, investirent dans le charbon et la sidérurgie, finançèrent l'achat du canal de Suez par l'Angleterre, payèrent l'exploration pétrolière en Russie et dans le désert du Sahara, financèrent les tsars de Russie, soutenaient les opérations diamantaires de Cecil Rhodes. un empire en Afrique, a financé les monarques Habsbourg, et a sauvé le Vatican de la banqueroute.
Dans ce pays, par le biais de leurs agents américains et européens, ils ont aidé à financer Standard Oil de Rockefeller, Carnegie Steel et Harriman's Railroad. Werner Sombart, dans son livre Les juifs et le capitalisme moderne , a dit qu'à partir de 1820, c'était «l'âge des Rothschild» et conclu qu'il n'y avait «qu'un seul pouvoir en Europe, et c'est Rothschild». En 1913, la famille la fortune était estimée à plus de deux milliards de dollars.
Après la mort de Mayer Rothschild, le 19 septembre 1812, il énonce des lignes directrices précises qui seront maintenues par ses descendants:
1) Tous les postes importants devaient être occupés uniquement par des membres de la famille, et seuls les membres masculins devaient être impliqués dans la partie commerciale. Le fils aîné du fils aîné devait être le chef de la famille, sauf accord contraire du reste de la famille, comme ce fut le cas en 1812, lorsque Nathan fut nommé patriarche.
2) La famille devait se marier avec ses cousins, afin que sa fortune puisse être conservée dans la famille et maintenir l'apparence d'un empire financier uni. Par exemple, son fils James (Jacob) Mayer a épousé la fille d'un autre fils, Salomon Mayer. Cette règle est devenue moins importante dans les générations suivantes, car elles ont recentré leurs objectifs familiaux et se sont mariées dans d'autres fortunes.
3) Rothschild a ordonné qu'il n'y ait jamais "aucun inventaire public fait par les tribunaux, ou autrement, de ma succession ... Aussi, j'interdis toute action en justice et toute publication de la valeur de l'héritage."
Les renseignements américains et britanniques ont des preuves documentées que la Maison Rothschild, et d'autres banquiers internationaux, ont financé les deux côtés de chaque guerre, depuis la Révolution américaine. Financier Haym Salomon, qui a soutenu les patriotes au cours de la Révolution américaine, puis fait des prêts à James Madison, Thomas Jefferson et James Monroe, était un agent de Rothschild. Comme expliqué précédemment, pendant les guerres napoléoniennes, une branche de la famille a financé Napoléon, tandis qu'une autre a financé la Grande-Bretagne, l'Allemagne et d'autres nations. Leur manœuvre la plus audacieuse est venue avant la guerre civile.
Les Rothschild opèrent à partir d'une zone au cœur de Londres, en Angleterre, le quartier financier, connu sous le nom de «The City», ou le «Square Mile». Toutes les grandes banques britanniques ont leurs bureaux principaux ici, ainsi que des succursales pour 385 banques étrangères, dont 70 des États-Unis. C'est ici que vous trouverez la Banque d'Angleterre, la Bourse, la Lloyd's de Londres, la Baltic Exchange (contrats d'expédition), Fleet Street (maison d'édition et journaux), la London Commodity Exchange (commerce du café, du caoutchouc, le sucre et la laine), et le London Metal Exchange. C'est pratiquement le centre financier du monde.
Positionné sur la rive nord de la Tamise, couvrant une superficie de 677 acres ou un mille carré (connu comme le «mile carré le plus riche sur la terre»), il a bénéficié de droits et privilèges spéciaux qui leur ont permis d'atteindre un certain niveau d'indépendance depuis 1191. En 1215, ses citoyens ont reçu une Charte du roi John, leur accordant le droit d'élire chaque année un maire (connu sous le nom du maire), une tradition qui se poursuit aujourd'hui.
EC Knuth, dans son livre Empire of the City , et Des Griffin, dans son livre Descent into Slavery , ont tous les deux affirmé que «la ville» est en fait un État souverain (tout comme le Vatican), et que depuis la création du En 1694, la «Banque d'Angleterre», une banque privée, est devenue le dernier mot des affaires nationales du pays, le Premier ministre, le Cabinet et le Parlement devenant le front du vrai pouvoir. Selon Knuth, quand la reine entre dans «La ville», elle est inféodée au lord-maire (sous lui, est un comité de 12-14 hommes, connu sous le nom «La Couronne»), parce que cette société privée n'est pas soumise à la Reine, ou au Parlement.
Il semble y avoir peu de doute que les Rothschild continuent d'influencer l'économie mondiale, et on sait qu'ils sont carrément derrière le mouvement pour unir toutes les nations d'Europe occidentale en une entité politique unique, ce qui n'est qu'un pas de plus vers un gouvernement mondial .
FRANC-MACONNERIE
Les francs-maçons, ou Maçons, sont membres d'un ordre fraternel secret connu sous le nom de Maçons Libres et Acceptés Anciens, dont les buts sont, supposément, de promouvoir la fraternité. L'un des principaux livres de la doctrine maçonnique est la morale et le dogme du rite écossais ancien et accepté de la maçonnerie , écrit en 1871 par Albert Pike et considéré comme le «guide maçonnique de la vie quotidienne». Il y écrit: «Maçonnerie est une recherche après la Lumière ... "
Selon les premiers manuscrits maçonniques, ses origines remontent à Adam, qui aurait été le premier maçon. Le tablier de Maçonnerie représenterait prétendument les feuilles de figues portées par Adam et Eve dans le jardin d'Eden. La connaissance reçue par Adam après avoir mangé de l'arbre interdit, a été poursuivie par son fils Seth, et ensuite Nimrod (qui était responsable de la Tour de Babel), l'arrière-petit-fils de Noé. Dr. Albert Mackey (33ème Degré), en écrivant son Encyclopedia of Freemasonry , s'est référé au 'manuscrit de York, No. 1' qui a contenu l'information d'un parchemin remontant à l'année 1560, qui a identifié Babylone comme l'auteur de la maçonnerie. Il a également cité le manuscrit de Cooke («La légende du métier», qui a été écrit en 1420, et serait le deuxième manuscrit maçonnique le plus ancien), qui révèle que Nimrod a enseigné l'art de la maçonnerie aux ouvriers de la Tour de Babel . Quand Dieu a confondu leur langue, ces secrets ont été déclarés perdus.
Quand le roi Salomon construisit le Temple, on apprend que la franc-maçonnerie a été rétablie. Mackey a dit que les "loges maçonniques étaient initialement dédiées au roi Salomon, parce qu'il était notre premier Grand Maître." Cependant, Martin L. Wagner a révélé dans une interprétation de la franc - maçonnerie que le "nom de Salomon n'est pas le roi israélite. C'est le nom dans la forme, mais différent dans sa signification. Il est un substitut ... un composite, Sol-om-on, les noms du soleil en latin, indien et égyptien, et est conçu pour montrer l'unité de plusieurs idées-dieux dans les religions anciennes, ainsi que ceux de la franc-maçonnerie. "
Une histoire racontée dans la tradition maçonnique, a à voir avec Hiram Abiff, un maître maçon syrien, connu comme l'architecte de Tyr, qui aurait été engagé par Salomon pour construire le Temple. Il a été tué par trois Fellow-Crafts, quand il ne voulait pas révéler le mot secret maçonnique (afin qu'ils puissent obtenir le salaire du Maître à l'étranger), qui était gravé sur un triangle d'or qu'il portait autour de son cou. Salomon a trouvé le triangle et l'a fait placer dans une voûte secrète sous le Temple. Abiff devint plus tard une figure semblable à Christ aux Maçons. Mackey a déclaré que "Hiram représente un dieu syrien populaire contre lequel les champions de Jéhovah (les Juifs) se sont efforcés sans cesse".
Un autre maçon, Daniel Sickles, le corrèle avec un dieu égyptien, et Traditions de Franc-Maçonnerie de Pierson dit qu'il a réellement représenté tous les dieux solaires païens, tout comme le Lexicon de la franc-maçonnerie de Mackey . Qu'est-ce que cela fait, est de raconter le message que c'était le dieu du soleil qui était le constructeur du Temple, ce qui rend ce temple symbolique, et de ne pas être confondu avec le Temple juif. Pike a dit dans sa Morale et son dogme , que le "Temple de Salomon présentait une image symbolique de l'Univers; et ressemblait, dans ses aménagements et ses meubles, à tous les temples des anciennes nations qui pratiquaient les mystères.
Dans la Grèce antique, il y avait des groupes organisés, ou des guildes (comme nos syndicats), tels que les «Dionysiaques», et à Rome, le «Collegium Muriorum», qui a construit les temples et les stades. Ces groupes, qui ont été les précurseurs des maçons, étaient les dessinateurs, les constructeurs, les charpentiers et les artisans qui ont érigé les cathédrales, les châteaux, les abbayes et les églises énormes pendant le moyen âge. Parce qu'ils ont «logé» ou vécu ensemble pendant la construction, c'est là que le terme «loge maçonnique» a été créé.
La première grande loge d'Angleterre s'est réunie à York en 926, où ils ont adopté des signes et des mots de passe pour s'identifier. Leur lieu de travail, ou Lodges, était où leurs initiations, rites, rituels et cérémonies ont eu lieu. Dans leurs cercles intérieurs, la sorcellerie était pratiquée.
Au 13ème siècle, ils ont formé une association, basée à Cologne, avec des loges à Strasbourg, Vienne et Zurich. Ils s'appelaient Free Maçons et avaient des cérémonies d'initiation. Vers la fin du 16ème siècle, les gens qui n'étaient pas des bâtisseurs, ont été admis dans la fraternité, et ont été appelés Maçons "acceptés". Ils étaient généralement des membres distingués de la communauté ou, en somme, une source de financement. De plus en plus symboliques, les maçons et les bâtisseurs ont finalement abandonné, tout comme les Maçons acceptés, qui étaient déçus de ce que l'organisation était réellement.
La croissance du mouvement maçonnique
Inigo Jones (1573-1652) a réorganisé les Loges, en introduisant le rationalisme Descartes, et ils étaient maintenant connus comme les Maçons Libres et Acceptés. Elias Ashmole, un banquier, Rosicrucian, et fondateur du musée d'Oxford, qui est devenu un maçon en 1648, a établi les trois diplômes de base:
1) Entré Apprenti
2) Fellow-Artisanat
3) Maître maçon
Le 24 juin 1717, les quatre lodges de Londres furent réunis en une Grande Loge (parfois appelée la Grande Loge Mère) par trois membres qui se rencontrèrent à l'Apple Tree Tavern, débutant ainsi l'ère de la franc-maçonnerie moderne. Plutôt que d'être une guilde de maçons et de bâtisseurs de pierre, ils ont modifié leur philosophie et sont devenus une pseudo-religion qui «a essayé de coopérer avec l'Église pour pouvoir travailler de l'intérieur, rationaliser la doctrine de Jésus et la vider progressivement. son contenu mystique. La franc-maçonnerie espérait devenir un héritier amical et légal du christianisme. Ils considéraient la logique et les règles de la pensée scientifique comme le seul élément absolu et permanent de l'esprit humain. »En 1725, le mouvement s'était étendu à la France.
Les membres de la Grande Loge d'Angleterre ont apporté leur fraternité en Amérique. En 1730, Daniel Core a été nommé grand maître provincial de New York, du New Jersey et de Pennsylvanie, après la création du premier pavillon à Philadelphie. Un pavillon a été établi à Boston en 1733. Au moment de la Révolution américaine, il y avait 100 loges maçonniques. Les Maçons étaient solidement implantés dans les colonies orientales, mais comme 95% de la population s'identifiait comme chrétiens, ils ont dû modifier leurs philosophies pour inclure les enseignements chrétiens. La Grande Loge des États-Unis a été établie en 1777, qui a officiellement coupé tous les liens avec leurs homologues britanniques.
Un écrivain résume ainsi la Maçonnerie: «La franc-maçonnerie a incorporé des bribes d'autres systèmes dans ses initiations et ses degrés supérieurs, tels que les écoles de mystères, le Mithraïsme, le sacerdoce égyptien, le système des Pythagoriciens, Esséniens, Cabalistes, Druides, Ordres du Chevalier, Rosicruciens, sociétés secrètes arabes, et les Templiers. "
La maçonnerie se répand lentement dans le monde entier: France (1718-25), Irlande (1725-26), Espagne (1726-27), Hollande (1731), Allemagne (1730-1733), Afrique (1735), Écosse (1736), Portugal (1736), Suisse (1737), Italie (1733-1737), Russie (1731-1740), Canada (1745), Suède (1735-1748), Prusse (1738-1740) , Autriche (1742), Pologne ( 1784) et le Mexique (1825).
À l'origine, contre l'ordre maçonnique, Benjamin Franklin devint maçon en 1731, à l'âge de 25 ans. Il devint le grand maître provincial de Pennsylvanie en 1734 et fut le «porte-parole désigné» des sociétés secrètes. En tant qu'ambassadeur en France, il a été honoré dans une importante loge maçonnique. On pense que pendant qu'il était en voyage diplomatique à Paris pour chercher du financement pour la révolution, il a été initié en tant que membre des Illuminati. George Washington a rejoint la Loge Fredericksburg # 4 en Virginie, en 1752, et quand il a été élu président en 1789, il était le Grand Maître de la Loge (le plus haut fonctionnaire).
Il a pris son serment d'office sur une Bible maçonnique, tout comme son vice-président, John Adams, qui était aussi un maçon. Cette Bible maçonnique de l'autel de St. Johns Lodge n ° 1 à New York, qui fut imprimée à Londres en 1767, fut plus tard utilisée pour d'autres serments administrés à Harding, Eisenhower, Carter, Reagan et Bush. Cette Bible maçonnique a une section introductive qui explique que la maçonnerie n'est pas une fraternité chrétienne, mais soutient en fait toutes les religions. Huit des signataires de la Déclaration d'Indépendance étaient également membres de la Loge de Fredericksburg. En fait, 51 des 56 signataires étaient censés être des Maçons; cependant, seulement 8 étaient connus pour être membres, tandis que 24 autres étaient soupçonnés d'être membres.
On croit également que 8 à 10 signataires des articles de la Confédération étaient des francs-maçons. Il y avait 9 Maçons qui ont signé la Constitution, tandis que 6 autres sont devenus membres. D'autres sources ont utilisé le chiffre de 13, tandis que d'autres ont dit qu'il y avait jusqu'à 28 membres qui ont signé la Constitution.
En raison du désaccord entre divers livres et sources en ligne, représentant des sources maçonniques et non-maçonniques, il est facile de voir comment l'information erronée se perpétue en tant que fait et vérité. Si les Maçons ne peuvent même pas définir les détails de leur propre histoire, alors la seule chose que nous pouvons espérer faire, c'est de produire une image aussi précise que possible, basée sur les faits.
Patrick Henry (tous les chercheurs maçonniques ne sont pas d'accord sur ce point), John Hancock, Paul Revere, John Paul Jones, Alexander Hamilton, Benedict Arnold, John Marshall, Samuel Adams, Anthony Wayne et Francis Marion. Swamp Fox ') et Ethan Allen. Dans l'armée, 24 des généraux généraux de Washington et 30 de ses 33 généraux de brigade étaient des francs-maçons (un autre fait sur lequel les chercheurs maçonniques ne s'entendent pas).
Ce sont en fait les Maçons qui ont incité et mené à bien la Révolution américaine. Le secret des loges maçonniques a permis aux patriotes coloniaux de se rencontrer et de discuter de stratégie. On croyait communément que la Révolution avait pour raison d'être «l'imposition sans représentation», alors qu'en réalité c'était parce que le Parlement, dans les années 1760, avait adopté une loi interdisant à une colonie de produire son propre argent. Les colonies devaient émettre des obligations et les vendre à la Banque, qui leur prêtait ensuite de l'argent. Cela a forcé les colonies à payer des intérêts sur leur argent.
La révolution a été allumée par le Boston Tea Party, qui était prévu lors d'un dîner à la maison de Bradlee. Les participants venaient de la St. Andrew Lodge à Boston, qui se déguisaient en Indiens Mohawks et allaient à bord du Dartmouth, qui était ancré dans le port, et jetaient son chargement de thé par-dessus bord. Le gouvernement britannique a réagi en fermant le port et en envoyant des troupes britanniques. L'impératrice Catherine la Grande de Russie, qui n'était pas contrôlée par les banquiers internationaux, a refusé d'envoyer 20 000 soldats russes contre les colons, à la demande du roi George III d'Angleterre. L'attaque a unifié les colonies contre l'Angleterre.
Le Conseil suprême de la franc-maçonnerie rite écossais a été établi à Charleston, en Caroline du Sud en 1801, parce que cette zone était géographiquement située sur le 33e parallèle. Ils sont une extension de la franc-maçonnerie française et considérés comme libéraux. En 1755, le rite écossais ancien et accepté de la franc-maçonnerie a été étendu à 32 degrés, puis ils ont ajouté un 33e degré. En 1813, le Conseil suprême du Nord a été créé, composé de 15 États, et son siège social était à Boston.
Ils étaient une extension de la franc-maçonnerie anglaise, et sont considérés comme conservateurs. Le Conseil suprême, qui représentait la juridiction du Sud, a déménagé à Washington, DC, et couvre les 35 États restants, le District de Columbia et les protectorats américains. Il est considéré comme le Conseil Suprême Mère du Monde.
Parmi les présidents qui ont été maçons: Washington, Jefferson (33e degré), Madison, Monroe, Jackson, Polk, Buchanan, Andrew Johnson (32e degré et grand maître), Garfield, McKinley, Théodore Roosevelt, Taft, Harding (32e degré) , Franklin Roosevelt (32e degré), Truman (33e degré et grand maître), Eisenhower, Kennedy, Lyndon Johnson (1er degré), Nixon, Ford (33e degré), Carter, Reagan (33e degré), et George HW Bush, Sr .
De nombreux gouverneurs d'État, sénateurs américains et membres du Congrès sont des maçons. La Bible maçonnique dit que "depuis plus de 150 ans, le destin de ce pays a été déterminé en grande partie par des hommes qui étaient membres de la fraternité maçonnique".
Il y a environ 16 000 loges bleues ou symboliques, avec une grande loge dans chaque état, qui représentent plus de quatre millions de membres. Il y a 150 Grandes Loges dans le monde et plus de 6 000 000 de membres dans le monde entier.
Les membres doivent avoir 21 ans. Cependant, les fils des membres peuvent être initiés à 18 ans. Avant d'être considérés, les initiés doivent prouver qu'ils sont «mentalement et physiquement compétents, de bonne moralité et croient en l'existence d'un Être Suprême». Parmi leurs organisations affiliées: L'Ordre de Demolay, l'ordre de l'arc-en-ciel pour les filles, et l'ordre des filles de Job, qui permettent aux enfants dès l'âge de 11 ans de devenir endoctrinés dans l'enseignement maçonnique. L'Ordre de l'Étoile de l'Est, l'Ancien Ordre Arabe des Nobles du Sanctuaire Mystique et les Filles du Nil sont des organisations étroitement alignées avec les Maçons.
Leur littérature affirme que "la franc-maçonnerie n'est pas une religion même si elle est une religion de caractère ... ne prétend pas prendre la place de la religion ni servir de substitut aux croyances religieuses de ses membres ... (et) accepte les hommes »Ils prétendent qu'ils existent« pour rendre les hommes meilleurs grâce à leur ferme croyance en la Paternité de Dieu, la Fraternité de l'Homme (et) consiste en des hommes liés par des liens d'Amour Frère et de l'affection."
LA RÉVOLUTION FRANÇAISE
Les Illuminati s'étaient secrètement répandus en France en 1787 (cinq ans après leur projet), par l'intermédiaire de l'orateur et dirigeant révolutionnaire français, le comte Gabriel Victor Riqueti de Mirabeau (1749-1791, surnom de Léonidas) endoctriné par le colonel Jacob Mauvillon. Mirabeau introduisit les principes des Illuminati à la loge maçonnique des Amis de la Réunion à Paris (rebaptisée plus tard Philalethes) et initia l'abbé Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord ( 1754-1838, un ecclésiastique à la Chambre de Bourbon).
Les membres les plus dignes de confiance ont été intégrés au «Comité secret des amis unis» (il est intéressant de noter qu'un groupe du même nom a vu le jour en 1771 en tant que groupe occulte). Les initiations ont eu lieu à la Grande Loge des Illuminati, à environ 30 miles de Paris, dans le manoir d'Ermenonville appartenant au Marquis de Gerardin. Le célèbre imposteur Saint Germain (1710-1780, ou 1785) a présidé les cérémonies d'initiation.
Germain était censé être un Juif portugais, qui était un membre de la Loge Philalethes. Il était un maçon, un rosicrucien, et appartenait à plusieurs autres confréries occultes. Il parlait italien, allemand, anglais, espagnol, français, grec, sanscrit, arabe et chinois. On dit qu'il était le fils du prince Rakoczy de Transylvanie; élevé par les derniers Médicis, Gian Gastone; et a été éduqué à l'Université de Sienne. Il a dit aux gens qu'il avait vécu pendant des siècles et qu'il connaissait le roi Salomon. Il a été arrêté à Londres en 1743 pour être un espion jacobite, et il a pris le crédit pour établir la franc-maçonnerie en Allemagne. Imposteur, il se présente comme le comte Bellamarre, le marquis de Montferrat et le chevalier Schoening.
Pendant l'initiation, de nouveaux membres ont juré de «révéler à ton nouveau chef tout ce que tu auras entendu, appris et découvert, et aussi de chercher et d'espionner des choses qui auraient échappé à ton attention ... (et) d'éviter tout la tentation de trahir ce que tu as entendu. L'éclair ne frappe pas aussi vite que le poignard qui vous atteindra où que vous soyez.
Le comte Alessandro de Cagliostro (également connu sous le nom de Giuseppe Balsamo), un juif de Sicile, considéré comme l'un des plus grands pratiquants occultes de tous les temps, fut initié aux Illuminati à Mitau (près de Francfort) en 1780, dans une salle souterraine . Plus tard, il a dit qu'une boîte en fer remplie de papiers avait été ouverte et qu'un livre avait été sorti. De là, un membre a lu le serment de secret, qui a commencé: "Nous, Grands Maîtres des Templiers ..." Il était écrit dans le sang.
Le livre était un aperçu de leurs plans, qui comprenait une attaque sur Rome. Il a découvert qu'ils avaient de l'argent à leur disposition dans les banques d'Amsterdam, de Rotterdam, de Londres, de Gênes et de Venise. Il a découvert que les Illuminati avaient 20.000 loges à travers l'Europe et l'Amérique, et que leurs membres ont servi dans chaque cour européenne. Cagliostro a été chargé d'aller à Strasbourg, en France, pour faire les premiers contacts nécessaires à l'instigation de la Révolution française. Identifié comme un grand maître du Prieuré de Sion, on croit qu'il était la liaison entre eux et les Illuminati. Il a été arrêté en 1790, à Rome, pour des activités révolutionnaires.
Les francs-maçons français s'étaient engagés à un plan pour renverser le gouvernement, sous prétexte de liberté et d'égalité; mettre fin aux régimes autocratiques, afin d'avoir un gouvernement par et pour le peuple. Jeremy Bentham et William Petty (comte de Shelburne) ont planifié et dirigé la Révolution française, puis ont dirigé le complot vers l'Amérique.
En 1788, à la demande de Mirabeau et de Talleyrand, Johann Joachim Christoph Bode (1730-1793, «Amelius»), avocat à Weimar et maçon, fut convoqué en France. Il avait été initié aux Illuminati au congrès de Wilhelmsbad, et plus tard pris l'ordre en l'absence de Weishaupt. Bode et Baron de Busche («Bayard»), un officier militaire néerlandais au service du landgrave de Hesse-Darmstadt, afin de dissimuler le but de leur présence en France, ont déclaré qu'ils étaient là pour enquêter sur l'influence des jésuites sur les sociétés secrètes. Cependant, la vraie raison de leur présence était de faire avancer les objectifs des Illuminati en France. Ils ont opéré hors de la Loge des Amis Reunis, changeant son nom en 'Philalethes', qui signifie, 'les chercheurs après la vérité.'
Le marquis de Luchet, ami de Mirabeau, écrivait dans son Essai sur la secte des Illuminati, en janvier 1789: «Des gens trompés. Vous devez comprendre qu'il existe une conspiration en faveur du despotisme, et contre la liberté, de l'incapacité contre le talent, du vice contre la vertu, ou de l'ignorance contre la lumière! ... Chaque espèce d'erreur qui afflige la terre, chaque idée à demi cuite, chaque invention sert à correspondre aux doctrines des Illuminati ... Le but est la domination universelle. "
Les intellectuels connus sous le nom d '«encyclopédistes» ont joué un rôle dans la diffusion de la doctrine des Illuminati. Bientôt d'autres loges s'alignent avec les Philalèthes, comme les neuf sœurs; la Loge de Candor, qui comprenait des membres comme Laclos, Sillery, D'Aiguillon; les frères Lameth, le docteur Guillotine et Lafayette; et la Propagande, qui a été établie par Condorcet, l'abbé Sieyes et Rochenfoucault.
Les dirigeants révolutionnaires en France, tels que Maximilien François Marie Isidore de Robespierre (1758-1794), qui a été fait à la tête de la Révolution par Weishaupt; Le marquis Antoine Nicholas Condorcet (1743-1794), philosophe et homme politique; Le duc de la Rochenfoucault; George Jacques Danton (1759-1794); Marquis Marie Joseph de Lafayette (1757-1834), Général et homme d'État; Jérôme Pétion de Villeneuve (1756-1794), homme politique; Philippe, duc d'Orléans, grand maître de la franc-maçonnerie française; de Leutre; Fauchet; Cammille Benoit Desmoulins (1760-1794), D'Albembert; Denis Diderot (1713-1784), encyclopédiste; et Jean-François de la Harpe (1739-1803), critique et dramaturge, rejoignirent tous les Illuminati, qui avaient finalement infiltré les 266 loges maçonniques en 1789, même si les Maçons n'en avaient pas conscience.
Les Illuminati ont créé des situations afin de créer une dissension parmi les gens. Par exemple, le duc d'Orléans chargea ses agents d'acheter autant de céréales qu'ils le pouvaient, puis le peuple fut amené à croire que le roi causait intentionnellement la pénurie et que le peuple français mourait de faim. Les conspirateurs du gouvernement ont contribué à créer une inflation galopante. Ainsi, les gens ont été manipulés en se tournant contre un roi dont le règne avait renforcé la classe moyenne. La monarchie devait être détruite et la classe moyenne opprimée. Dieu devait être remplacé par la religion de la raison des Illuminati que "l'esprit de l'homme résoudrait les problèmes de l'homme".
Durant les deux premières années de la Révolution française, qui débutèrent en avril 1789, les Illuminati s'étaient tellement infiltrés dans les loges maçonniques qu'ils avaient cessé de fonctionner et se rallièrent à la place sous le nom de «French Revolutionary Club». ils avaient besoin d'un plus grand lieu de rencontre, ils utilisaient la salle du couvent des Jacobins. Ce groupe révolutionnaire de 1300 personnes apparut le 14 juillet 1789 sous le nom de Jacobin Club. Les Illuminati contrôlaient le Club et étaient directement responsables de la fermentation des activités qui se sont développées dans la Révolution française. Lord Acton a écrit: "La chose épouvantable dans la Révolution française n'est pas le tumulte mais la conception. A travers tout le feu et la fumée, nous avons perçu l'évidence de l'organisation calculatrice. Les directeurs restent studieusement cachés et masqués;
Lors de la mise en œuvre d'un plan visant à réduire la population d'un tiers à la moitié, plus de 300 000 personnes sont mortes, notamment l'exécution du roi Louis et de sa famille. Cela a été fait pour assurer la stabilité de la nouvelle République française. En août 1792, après le renversement du gouvernement, la bannière tricolore fut remplacée par le drapeau rouge de la révolution sociale, tandis que le cri de «Vive notre roi d'Orléans» céda la place au mot d'ordre maçonnique: «Liberté, égalité». , Fraternité! "Ceux qui ont répondu avec les bons signes maçonniques, ont eu leurs vies épargnées. En novembre 1793, alors que les massacres s'étaient répandus dans toute la France, les églises avaient été réorganisées dans le sens de l'affirmation de Weishaupt selon laquelle «la raison devrait être le seul code de l'homme».
Talleyrand, devenu évêque d'Autin en 1788, à cause de sa réorganisation radicale de l'Église, fut excommunié par le pape. Il est devenu député à l'Assemblée nationale. Les Jacobins contrôlent l'Assemblée nationale et, à toutes fins utiles, Mirabeau devient le chef de la France. Dans le véritable esprit démocratique, il a dit: «Nous devons flatter le peuple par une justice gratuite, lui promettre une grande diminution des impôts et une division plus égale, plus d'extension dans les fortunes, et moins d'humiliation. Ces fantaisies vont fanatiser le peuple, qui va aplatir toute résistance. »La Révolution fut considérée comme terminée le 28 juillet 1794, lorsque Robespierre fut guillotiné.
Thomas Jefferson, qui a servi comme ministre en France pendant trois ans (1785-89), a décrit les événements comme "une si belle révolution" et a dit qu'il espérait que cela balayerait le monde. Le secrétaire au Trésor, Alexander Hamilton, déclara que Jefferson contribua au début de la Révolution française et écrivit dans une lettre à un ami datée du 26 mai 1792 que Jefferson «buvait librement de la philosophie française, de la religion, de la science et de la politique. Il est venu de France au moment de la fermentation, qu'il a contribué à inciter. »Jefferson écrivit à Brissot de Warville à Philadelphie, dans une lettre datée du 8 mai 1793, qu'il était« éternellement attaché aux principes de la Révolution française ». En 1987, lors d'un voyage aux États-Unis par le dirigeant soviétique Mikhaïl Gorbatchev et son épouse, où ils ont visité le mémorial de Jefferson,
Il est intéressant de noter que pendant la révolution communiste, Nicolas Lénine a dit: "Nous, les bolcheviks, sommes les jacobins du XXe siècle ..."
Un Illuministe, et membre de l'Assemblée nationale française révolutionnaire, Vicomte de Barras, a vu un Napoléon de 24 ans repousser un siège à Toulon en 1793 par les forces militaires anglaises et espagnoles. Barras, nommé par l'Assemblée en tant que commandant en chef de l'armée française, en 1795 est devenu un membre de la direction de cinq hommes, qui a commencé à gouverner la France, et devint bientôt la figure politique la plus puissante dans le pays. Il a choisi Napoléon pour diriger les forces militaires. Cependant, en 1799, Napoléon (un des Templiers) a brisé ses liens avec Barras, parce qu'il craignait que Barras essaye de reconstituer la monarchie.
Napoléon a éliminé le Directoire, et en 1804, avec l'appui de Talleyrand (qui a servi comme son ministre des Affaires étrangères), est devenu empereur. Sans le vouloir, en tant que marionnette des Illuminati, son règne a provoqué la désorganisation totale de l'Europe, dont les Illuminati avaient besoin pour prendre le contrôle et l'unifier. Il a mis fin au Saint Empire Romain, et a fait son frère Joseph, le roi de Naples en 1806. Joseph a été remplacé par le beau-frère Murat de Napoléon, quand Joseph est devenu le roi d'Espagne en 1808. Son frère Louis a été fait roi de Hollande, et un autre frère Jérôme, le roi de Westphalie.
En 1810, Napoléon confisque le contenu des archives du Vatican, ce qui équivaut à 3.000 cas de documents, et l'emmène à Paris. Bien que la plupart aient été retournés plus tard à Rome, certains ont été conservés. À cette époque, Napoléon avait changé le visage de l'Europe, mais, il a réglé ses voies belligérantes et finalement la Révolution française avait échoué, parce que l'Europe n'avait pas été entièrement conquise. Les Illuminati ont immédiatement pris des mesures pour le détrôner, ce qui a pris cinq ans. Afin d'obtenir de l'argent pour les forces anglaises de Wellington, Nathan Rothschild canalisa de l'argent à son frère James (qui s'occupait des transactions financières pour le gouvernement français), à Paris, qui l'envoya aux troupes de Wellington en Espagne. En outre, les Illuminati travaillaient secrètement pour conclure des accords qui changeaient les alliances nationales contre la France.
Après sa défaite à Waterloo, Napoléon fut de nouveau exilé, cette fois, dans l'île de Sainte-Hélène, dans l'Atlantique sud, où il mourut en 1821. Il avait écrit dans son testament: «Je meurs avant mon temps, tué par l'Oligarchie anglaise et ses assassins à gages. "
Les revolutions colorées sont la preuve des plans empaquetés prêts à l'emploi;
Projet pour le Nouveau Siècle Américain", ou "PNAC"
https://rustyjames.canalblog.com/archives/2014/07/03/30185787.html
Fondé au printemps 1997, le "Project for the New American Century", "Projet pour le Nouveau Siècle Américain", ou "PNAC", est né à l'initiative d'un projet plus large, dénommé le "New Citizenship Project", "Projet pour une nouvelle citoyenneté". C'est une organisation dirigée par William Kristol et Gary Schmitt. Le PNAC est fondé en partie par la Sarah Scaife Foundation, la John M. Olin Foundation et financée par la Bradley Foundation.
Il se définit comme une organisation bénévole dont l'objectif est la promotion d'un "American Global Leadership", "Chef de file mondial Américain". C'est un think tank néoconservateur. Le PNAC se présente ainsi comme groupe de réflexion et d'influence, œuvrant à trouver et engager des moyens de prolonger au 21ème siècle le leadership mondial des Etats-Unis acquis depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, que ce soit dans les domaines politique, économique, culturel ou militaire. Son siège social basé à Washington DC, se trouve dans le même immeuble qu'une autre organisation défendant elle aussi les intérêts Américains, l'American Enterprise Institute.
Objet officiel:
L'objectif affiché du PNAC est de promouvoir le leadership mondial des États-Unis. Le PNAC pose en principe fondamental la considération selon laquelle le "leadership américain est à la fois bon pour l'Amérique et bon pour le monde" et apporte son soutien pour une "politique reaganienne de puissance militaire et de clarté morale".
Fonctionnement secret:
Les idées avancées par le PNAC dans le rapport "Rebuilding America's Defenses", "Reconstruire les Défenses de l'Amérique", ont été l'objet de critiques parfois extrêmement violentes: "This is the new Mein Kampf. Only Hitler did not have nuclear weapons. It's the scariest document I've ever read in my life", "Ceci est le nouveau Mein Kampf. La seule différence est que Hitler n'avait pas d'armes nucléaires. C'est le document le plus effrayant que j'ai jamais lu dans ma vie" (déclaration du Docteur Helen Caldicott en 2000).
Cette comparaison sera souvent utilisée par les détracteurs du PNAC, notamment des organisations non gouvernementales pacifistes, des partis politiques et des associations citoyennes. Selon eux, les deux textes présenteraient de grandes similitudes, telles que ses objectifs (la domination du monde par un seul pays), ses rédacteurs (un mouvement politique radical accédant au pouvoir) ainsi que ses conséquences (ignorées et/ou sous-évaluées bien que le groupe au pouvoir envisage une dictature militaire mondiale), et les armes de destruction massive actuelles rendraient les dangers potentiels encore plus grands.
Relation avec les autres groupes:
Les relations avec d'autres "groupes de réflexion", se font par l'intermédiaire de l'appartenance croisée, entre ses membres. Bon nombre de ceux-ci, étant aussi affilié à des groupes comme le CFR (Council for Foreign Relations), la "Commission Trilatérale" ou encore le groupe Bilderberg.
Influence:
Cette organisation a exercée une forte influence sur les hauts fonctionnaires du gouvernement des Etats-Unis durant les mandats du président George W. Bush et a eu une incidence très importante sur le développement militaire et la politique des affaires étrangères, particulièrement en ce qui concerne la sécurité nationale, la lutte contre le terrorisme et la guerre en Irak.
Il y a même des indices troublants laissant à penser que les attentats du 11 septembre 2001, coïncideraient avec les objectifs du "projet", afin de pouvoir justifier ses opérations militaires depuis 2001 et faire voter des lois liberticides au nom de la lutte anti-terroriste.
On trouvait en effet dans ce rapport "Rebuilding America's Defenses", la phrase suivante: "Further, the process of transformation, even if it brings revolutionary change, is likely to be a long one, absent some catastrophic and catalyzing event - like a new Pearl Harbor", "En outre, le processus de transformation, même s'il apporte un changement révolutionnaire, sera probablement long en l'absence d'un événement catastrophique et catalyseur - comme un nouveau Pearl Harbor" (page 52, première colonne, au début du paragraphe) (1).
Que cherchent les participants:
Le 26 janvier 1998, dans une lettre ouverte au président Bill Clinton, ses membres appelaient explicitement à mener une campagne en Irak pour renverser Saddam Hussein.
Norman Podhoretz, père fondateur du néo-conservatisme et signataire fondateur du PNAC, en expliquait alors les enjeux en ces termes:
"L'essence de notre pensée affirmait que l'Amérique incarnait une puissance de Bien dans le monde et qu'elle n'était pas responsable de l'antiaméricanisme, cette haine irrationnelle que notre pays inspirait à l'étranger. Nous défendions les Etats-Unis contre les critiques émises à gauche et nous soutenions un rôle actif de notre puissance sur les affaires du monde, afin de répandre la liberté et la démocratie partout où cela était possible".
Le rapport "Rebuilding America's Defenses", "Reconstruire les défenses de l'Amérique", rédigé par les membres du PNAC en 2000, est un document de 90 pages qui porte sur la stratégie militaire des Etats-Unis. De part son importance et son influence, on peut dire que ce rapport, qui présente bel est bien une "doctrine", équivaut à un programme politique. Il présente une vaste analyse de la situation, partant du postulat selon lequel le leadership Américain profiterait à la fois aux Etats-Unis et au reste du monde.
Diverses propositions, pour ne pas dire des objectifs, étaient présentées :
- Conserver la supériorité nucléaire stratégique;
- Augmenter les effectifs militaires;
- Repositionner les bases américaines (en déployant des forces permanentes en Europe du Sud-Est et en Asie);
- Modernisation des Forces armées de façon sélective (en privilégiant les équipements et les véhicules les plus modernes et innovant "technologiquement");
- Développer et déployer des défenses anti-missiles mondiales;
- Assurer la supériorité des forces conventionnelles à long terme;
- Prendre le contrôle des "Nouveaux espaces et Cyberespaces communs" (et ouvrir la voie à une nouvelle armée appelée "Forces Spatiales des Etats-Unis" ayant pour mission de contrôler l'espace);
- Augmenter le budget de la défense à hauteur de 3,8% du PIB, avec 15 à 20 milliards de dollars tous les ans.
Ce que l'on peut remarquer, c'est que ces propositions se verront bel et bien misent en oeuvre à partir de 2001.
(1) Pour voir ce rapport, traduit en Français, cliquez sur le lien link
Sources:
www.newamericancentury.org;
Sacre chemin maconnique; semé de revolutions la ou il fallait reduire les populations. Les revolutions sont a la franc maconnerie, comme le ble est a la fauchause. On elimine et on ramasse le profit. Les printemps arabes avaient cela en commun; on dynamise la population et on ciueulle plus tard.
Frères Musulmans et francs-maçons...
dans Articles divers / exportmci / Islam / Société - par Pierre-Alain Depauw - 30 mai 2018
Dans la revue « World In Review« , John Coleman, ancien agent des services secrets britanniques qui a dévoilé plusieurs manipulations organisées par les forces occultes et les officines mondialistes (il a notamment livré des éléments sur le Club de Rome, la Giorgio Cini Foundation, Forbes Global 2000, le Interreligious Peace Colloquium, le Tavistock Institute) , écrivait que l'organisation des frères musulmans était un ordre créé en secret par la franc-maçonnerie britannique avec l'aide de Thomas Edward Lawrence (Laurence d'Arabie), Bertrand Russell, St. John Philby, E.G. Browne et Arnold Toynbee.
Les frères musulmans - les « Ikhwan al-mouslimine » - avaient à leur tête Al-Hassan al-Banna (grand-père de Tariq Ramadan et Hani Ramadan) né le 14 octobre 1906 - mort le 12 février 1949.
D'après certaines archives, Hassan al-Banna recevait de l'argent (500 livres) de la toute puissante « Compagnie du Canal ». Al-Banna s'était d'abord justifié en déclarant que cet argent appartenait de droit au peuple égyptien comme tous les biens de la Compagnie. Plus tard, il se mit à nier avoir touché cette aide financière. Hassan al-Banna a par contre toujours admis avoir été très influencé par ces prédécesseurs Jamal ad-Dîn al-Afghânî et Muhammad Abdu mufti d'al-Azhar connus tous les deux pour avoir été de grands initiés des loges maçonniques françaises et anglaises et qui ont profondément marqués la pensée égyptienne de l'époque.
D'autre part, comme vient encore de le confirmer l'historien égyptien Helmi Nimnim dans une nouvelle biographie de Sayyid Qutb (1906-1966), théoricien du djihad au sein des Frères musulmans, celui-ci était également un franc-maçon affirmé.
Le livre reproduit un article signé par Sayyid Qutb et intitulé « Pourquoi suis-je devenu franc-maçon ? », paru dans le journal maçonnique al-Taj al-Masri (la « Couronne d'Égypte »), le 23 avril 1943.
«... Car j'ai senti que dans la franc-maçonnerie, il y avait un remède pour les blessures de l'humanité, j'ai frappé aux portes de la franc-maçonnerie afin de me nourrir l'âme de la philosophie et la sagesse... Et afin d'être un moudjahid (combattant) aux côtés des moudjahidines et que j'oeuvre aux côtés de ceux qui travaillent ...»
Sayid Qutb écrivait dans ce journal maçonnique depuis 1942.
De nombreux auteurs ont par ailleurs mis en évidence les ressemblances entre les cérémonies d'initiation des deux confréries (les Frères musulmans et la Franc-maçonnerie).
À cette époque, les loges égyptiennes étaient directement contrôlées par les services secrets britanniques. Le roi Farouk en était membre.
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Voyez vous comme tout le long de l histoire nous avons été les cobayes des gens qui ont terraformé notre monde. La vérité finit par apparaître et cela fait de nous des gens avertis. Quoi faire de cette vérité; la garder en nous et voir le méchants pour ceux qu'ils sont, des traîtres, des vendus, des genocida aires. Tous liés par l argent qu est le sang des tyrans. Avec ce qui se passe en Palestine, le grand Israël comme certains l appellent, dévoile son vrai plan pour le reste de l humanité. Monsieur Attali et Monsieur BHL, vous êtes dévêtus et seul l humanité des goyims décider si nous sommes des bêtes humaines ou des vrais porteurs de la vie. Vous avez fait du peuple juif une entité pas appréciées. Alors, ils seront peut être ceux qui vont nettoyé leurs image et vous serez a rendre des comptes. Vous deux représentez toute la caste qui pousse le monde a sa destruction et votre dessein. Seul le sionisme a poussé et fabriqué l'antisémitisme; personne veut de vous ni de votre reve fou. Soyez réalistes; des milliard des gens poussent de côté de la vie et votre philosophie a deux sous finira par être jetée a la poubelle.
Miyoceleste, 2018-06-11