SIONISME ET NAZISME

Deux mots qui pourraient se voir comme antagonistes par ce que l'histoire officielle nous dit. Selon l'écrivain Gérard Menuhin - Dites la vérité et vous humilierez le diable, le mot nazi fut inventé par les Juifs (sionistes). Dans la vidéo ci-dessous, vous trouverez quelque chose d'ahurissant qui va confirmer comme les sionistes, ils avaient linitiative dans ce qui concerne l'image que nous avons du régime qui massacré six millions de Juifs Regardez la minute 7:35. Au tribunal de Nuremberg, les juges qui définirent le sort de l'Allemagne et l'idéologie de l'Holocauste, étaient 4 juges juifs. Cela complète d'une manière "impartiale "l'idée des bons et des méchants que le système alimente par des films, documentaires et lois liberticides. Être éveillé, c'est regarder dans la bonne direction. Le fait qu'hier des attentats déjoués dans toute l'Europe et au Canada, montre bien qu'ils agissent d'une organisation mondiale, coordonné, poursuivant les mêmes objectifs. Le NOM a de bon ce qu'un poison a de salutaire.

Ils sont extraordinairement manipulateurs et par leur rôle de peuple élu, ils pensent que les non-humains, nous, n'allons pas nous en rendre compte.

L'Attali pas très nouveau est arrivé

Publié par wikistrike.com sur 29 Octobre 2018, 11:32am

Le grand spécialiste des labyrinthes se la joue une nouvelle protecteur des français

Le voilà, il est là, éclairant le monde de sa pensée lumineuse. Après nous avoir proposé modestement « une brève histoire de l'avenir », s'être adonné à dresser le portrait de Gandhi, Blaise Pascal et Barbara (de simples miroirs pour lui sans doute), nous avoir prédit la ruine « dans 10 ans » (c'était en 2008), s'être lancé dans le développement personnel (« Devenir soi »), Jacques Attali veut désormais nous prémunir des dangers qui nous guette par de menus conseils.

Son dernier livre « Comment nous protéger des prochaines crises ? » lui permet de déclarer que « Faute d'un État de droit global, on assiste à la victoire des plus riches dans l'illégalité. J'ai parlé très tôt d'une "somalisation", en référence à une situation paradigmatique de marché sans État, de mondialisation sauvage ».

Ce qui est extraordinaire avec Attali, c'est que la complaisance des médias lui permet d'énoncer des énormités - parfois contradictoires d'une année à l'autre - sans contestations. Depuis l'origine du concept de mondialisation dont il a toujours été un des plus farouches partisans, il nous répète la même antienne. Pour résumer son prêche en quelques mots : « La mondialisation est une bonne chose, il faut simplement la moraliser ». C'est pourquoi il larmoie sur « la victoire des plus riches dans l'illégalité » alors que toute son action, lorsqu'il exerçait ses fonctions à l'Élysée était de favoriser au maximum l'emprise des constructions mondialisées au détriment des souverainetés populaires qu'il déteste. N'a-t-il pas encouragé, en tant que conseiller de François Mitterrand puis président de la BERD, les traités les plus libéraux de la construction européenne ou l'instauration de la libre circulation des capitaux ? Ce prêchi-prêcha pétri de bonne conscience n'est pas propre à Attali. Toutes les constructions tendant à la mondialisation sont bâties sur le même scénario : Acte1, Acceptez le pouvoir mondial et dans un deuxième temps, ce sera moral et social ; sauf qu'il n'y a jamais d'acte 2 car justement l'acte 1 empêche toute évolution morale ou sociale.

Il n'y a qu'un mondialisme connu, celui construit par le capitalisme à son niveau actuel de développement. Avant toute quête d'un monde différent, il importe de refuser clairement ce processus, ses présupposés, les forces qui le construisent et le dominent. Le développement de la mondialisation s'est fait, en effet, sur l'idée même de domination des plus riches. Les scandales de 2001 (Enron, Parmalat, ...) ont donné lieu aux mêmes larmoiements attaliens du type « plus jamais ça » et à des réformes qui, loin d'atténuer les conséquences, renforçaient les causes, par exemple de nouvelles normes comptables encore plus génératrices de crises et d'inégalités.

Attali ferait rire lorsqu'il parle d'État mondial démocratique. Notons au passage qu'il confond volontairement démocratie et État de droit, ce dernier étant pour l'essentiel la définition de normes qui s'opposent à la volonté populaire. Ainsi, pour prendre un exemple simple, un comité de droits de l'Homme des nations-unies vient-il de condamner la France parce qu'elle interdisait la Burka sur son territoire. État de droit, quand tu nous tiens !

Attali ne mérite sans doute pas qu'on le relègue au magasin des accessoires. Mais, puisqu'il prétend souhaiter la démocratie, pourrait-on cesser de lui offrir de complaisantes tribunes et des sièges dorés sans que personne n'ait le droit de contester sa parole souveraine.

André Bellon

Catégories : #Economie, #Politique intérieure

Nazisme : Comment Les Dirigeants Sionistes Ont Saboté Le Sauvetage Des Juifs

Auschwitz et autres camps d'extermination nazis : des centaines de milliers de Juifs d'Europe de l'Est ont été envoyés dans ces camps avec la complicité de dirigeants juifs sionistes qui voulaient leurs « martyrs » pour construire leur « état juif ». Eclairage sur cette complicité juive sioniste dans l'extermination de ces Juifs. Les Juifs sont en situation de déni refusent d'admettre qu'il y a eu chez les Juifs sionistes des collaborateurs du Nazisme. SACRIFICE, SANG VERSE POUR LA TERRE, ce sont les mots entendus pendant la 2ème Guerre Mondiale dans la bouche de dirigeants sionistes à propos de ces centaines de milliers de Juifs assassinés.

Nazisme : Comment Les Dirigeants Sionistes Ont Saboté Le Sauvetage Des Juifs

Tout n'est pas blanc ou noir comme voudraient le faire croître les Juifs sionistes qui ont lancé depuis des décennies une vaste campagne de révisionnisme concernant le génocide de Juifs par les Nazis pendant la 2ème Guerre Mondiale allant jusqu'à dicter leurs versions édulcorées des faits et notamment la totale dissimulation de leur collaboration active avec le régime nazi d'Hitler pour des raisons exclusivement politiques et nationalistes sacrifiant des centaines de milliers de Juifs pour réaliser leur rêve de domination messianique au Moyen Orient en colonisant la Palestine.

« Le grand secret du Sionisme révélé ces dernières décennies. Depuis longtemps le Sionisme a cessé de s'inquiéter de ce qui est bien pour les Juifs. Au contraire c'est l'opposé qui intéresse le Sionisme : faire en sorte que les Juifs souffrent pour qu'ils quittent leurs maisons et aillent en Israël. C'est pourquoi chaque étincelle d'antisémitisme* rempli de soulagement les cœurs des Sionistes. Le Sionisme a besoin des Juifs pour accroitre la population juive et la puissance de l'armée en Israël et non pas pour eux-mêmes...En tant qu'êtres humains ils n'intéressent ni l'état d'Israël ni le Mouvement Sioniste » Boaz Evron journaliste Yediot Ahronot 04/04/1991Boaz Evron a écrit cela à propos des difficultés rencontrées par les Juifs de l'ex Union Soviétique pour quitter le pays et le peu d'aide qu'ils recevaient alors des dirigeants Juifs sionistes. Mais ce constat peut tout aussi bien s'appliquer aux Juifs persécutés par les Nazis et les obstacles insurmontables dressés par le Mouvement juif sioniste pour les tirer des griffes d'Hitler. A l'inverse les dirigeants juifs sionistes ont souvent facilité la tâche d'extermination des Juifs d'Europe de l'Est entrepris par Hitler.La documentation abonde sur l'opposition des dirigeants juifs sionistes au sauvetage des Juifs européens.L'histoire la plus connue est celle de Rudolf Kastner, dirigeant le Comité de Sauvetage de l'Organisation Mondiale Sioniste à Budapest en Hongrie pendant la IIème Guerre Mondiale nommé par la suite membre du gouvernement d' »Israël» dirigé par Ben Gourion. Kastner est devenu célèbre car son nom a été associé à celui du criminel de guerre nazi Adolph Eichmann. Kastner a collaboré avec les Nazis.

Dans les années 1944 1945 Kastner est devenu un V.I.P des Nazis exempté du port de l'étoile jaune. Kastner a été chargé par Les Nazis de sélectionner 1600 personnalités juives parmi lesquels ses proches et amis pour immigrer en Palestine en échange de quoi il a aidé Adolphe Eichmann à envoyer ½ million de Juifs hongrois et de Transylvanie dans des camps d'extermination. Pour convaincre ces Juifs de ne pas résister les mettre en confiance pour les faire monter dans les trains de la mort Kastner n'a pas hésité à organiser l'envoi de fausses cartes postales « d'autres juifs » où il était écrit qu'il s'agissait seulement de les réinstaller ailleurs. Terrible trahison de ce Juif sioniste car ces Juifs auraient pu se soulever Eichmann ne disposant en tout et pour tout pour les garder que de 150 hommes de troupe nazis et en gros 1 millier de soldats hongrois. Ils auraient pu fuir vers des territoires en Europe de l'Est non occupés par les Nazis.

Ces faits ont été révélés au public israélien en 1954 lors d'un procès intenté contre Kastner par des survivants ou descendants de survivants de ces Juifs hongrois venus témoigner contre Kastner. Ce dernier après avoir vainement nié a avoué avoir fait ce que tous les dirigeants sionistes préconisaient à l'époque. Kastner a été mystérieusement assassiné peu après.

En d'autres termes les dirigeants juifs sionistes de l'époque préconisaient de marchander avec les Nazis l'envoi d'une «élite » juive en Palestine et de fermer les yeux voire pire de tromper des centaines de milliers de Juifs pour que les Nazis puissent tranquillement les envoyer dans des camps d'extermination.

La politique sioniste de sabotage des efforts de sauvetage de Juifs persécutés par le Nazisme était active dés 1942. Dans une lettre envoyée au Times publiée le 06/06/1961, Le rabbin dc Solomon Schonfeld à la tête du Comité de Sauvetage en Temps de Guerre établi par le Grand Rabbin de Grande Bretagne, décrivait comment la direction sioniste dans ce pays s'opposait aux efforts pour sauver les Juifs européens tout en accusant le gouvernement britannique d'être indifférent au sort de ces Juifs aux mains des Nazis ce que contestait Schonfeld. Ce dernier décrit comment en Décembre 1942 lui et d'autres membres du Comité ont présenté aux parlementaires britanniques une proposition de loi pour que le gouvernement « déclare qu'il est prêt à trouver un refuge temporaire sur ses propres territoires ou des territoires sous son contrôle à des personnes en danger pouvant quitter leurs pays, de faire appel aux gouvernements des pays frontaliers de l'ennemi ou des pays occupés par l'ennemi pour accorder l'asile temporaire et faciliter le transit de telles personnes, d'offrir à ces gouvernements dans la mesure ou c'est possible une aide pour faciliter leur coopération et d'inviter les autres gouvernements alliés à envisager une action similaire. »

Cette initiative a été sabotée par les dirigeants sionistes. Voilà comment elle le fut d'après Le rabbin dc Solomon Schonfeld :

« suite à des inquiétudes largement partagées et la pugnacité de quelques uns, cette proposition de loi a obtenu en 2 semaines les signatures de 277 parlementaires de tous les partis. Cette proposition purement humanitaire a rencontré dans les cercles gouvernementaux beaucoup de sympathie et je dois ajouter que le gouvernement de H.M a effectivement délivré plusieurs centaines de permis d'immigration mauritaniens et autres...pour des familles juives menacées dont nous pouvions fournir les noms. Alors même que cette proposition faisait l'unanimité des voix dissidentes se sont élevés des quartiers sionistes : Pourquoi pas la Palestine ? Les réponses évidentes que la préoccupation la plus urgente était humanitaire et non pas politique et que l'alliance nazie du Grand Mufti excluait la Palestine pour sauver immédiatement des vies juives et que la Grande Bretagne ne pouvait pas alors ajouter des problèmes aux problèmes existant du Moyen Orient n'ont servi à rien.

Lors d'une réunion parlementaire du 27 Janvier 1943 alors même que plus de 100 parlementaires et lords poursuivaient activement leurs actions un porte parole des Sionistes a annoncé que les Juifs s'opposeraient à cette proposition parce qu'elle ne mentionnait pas la Palestine. Certaines voix s'élevèrent en soutien à la position sioniste il y a eu un très important débat et la proposition a été tuée. Même ceux qui en avaient fait la promotion se sont exclamés désespérés : si les Juifs ne peuvent pas s'accorder entre eux comment pouvons nous aider ? C'était inutile d'argumenter avec la justification de l'époque fournie par les Sionistes : «chaque Nation a ses morts dans le combat pour sa patrie- ceux souffrant sous Hitler sont nos morts »

Ce n'est pas le seul acte de sabotage commis par les dirigeants juifs sionistes contre les tentatives de sauvetage des Juifs d'Europe de l'Est.

L'explication de cette froide indifférence voire pire de cette participation voulue à l'extermination nazie des Juifs d'Europe de l'Est par les dirigeants sionistes c'est Nathan Schwalb (Dror) alors représentant de l'organisation sioniste He-Halutz (Le Pionnier) à Genève est dans sa réponse faite à l'automne 1942 aux appels désespérés du groupe de sauvetage juif de Bratislava en Tchécoslovaquie pour qu' Ha Haluz fournisse une aide financière pour verser des pots de vin aux responsables nazis pour empêcher voire retarder l'envoi de Juifs de Tchécoslovaquie à Auschwitz et dans d'autres camps d'extermination.

Schwalb écrit :

«« comme nous avons l'opportunité d'envoyer ce courrier nous écrivons au groupe qu'il doit toujours se souvenir qu'elle est le sujet le plus important le principal objectif à nos yeux. Après tout les Alliés seront victorieux. Après la victoire ils vont de nouveau se partager le monde entre Nations comme ils l'ont fait à la fin de la Première Guerre. Alors ils nous ont ouvert la porte avec une première étape (la Déclaration Britannique Balfour de 1917) soutenant une patrie juive en Palestine et maintenant alors que la guerre se termine nous devons faire tout pour qu' Eretz Yisroel ( Terre d'Israël) devienne un état juif. D'importantes actions ont déjà eu lieu à ce sujet. Quant au cri venant de votre pays nous devons avoir conscience que toutes les Nations alliées répandent beaucoup de leur sang et si nous n'apportons pas des sacrifices avec quoi alors obtiendrons nous le droit de s'asseoir à la table lorsqu'ils feront la distribution de Nations et de territoires après la guerre ? Et par conséquent il serait insensé et impertinent de notre part de demander aux Nations dont le sang est répandu d'envoyer de l'argent dans le pays de leurs ennemis pour protéger ceux de notre sang. Car c'est seulement « rak b'dam tihyu lanu haaretz » par le sang que la terre sera notre. En ce qui vous concerne - membres du groupe- vous » atem taylu » ( ferez votre alya = immigration ) et pour cela nous vous fournissons des fonds avec ce courrier. »

On pourrait croire que cette cruelle missive de Schwalb en réponse à un appel au secours des Juifs de Tchécoslovaquie soit le fait d'un extrémiste juif sioniste isolé.

NON, c'était la ligne directrice - et cela reste - des dirigeants juifs sionistes.

Dans son livre i[ In Days of Holocaust and Destruction]I Yitzchak Greenbaum, Président du Comité de Sauvetage de l'Agence Juive* à Jérusalem, écrit :

« quand ils m'ont demandé de l'argent du United Jewish Appeal - Appel Juif Unifié*- pour sauver les Juifs d'Europe j'ai dit « NON » et je redis « NON »... On doit résister à cette vague qui pousse vers des activités sionistes de seconde importance. «

En Février 1943 Greenbaum a fait un discours à Tel Aviv sur le sujet de « La Diaspora et la Redemption ». Il a dit :

« quand ils nous ont présenté deux plans - le sauvetage en masse de Juifs d'Europe ou la rédemption de la terre ( établir des Juifs en Palestine) j'ai voté sans hésiter pour la rédemption de la terre....S'il y avait actuellement la possibilité d'acheter des colis de nourriture avec l'argent du Keren Hayesod* (United Jewish Appeal ) pour les envoyer via Lisbonne ferions nous cela . NON ! Et de nouveau NON »

*antisémitisme : Il est préférable d'utiliser le mot judeophobie plutôt qu'antisémitisme crée par l'un des inventeurs de l'idéologie nazie Wilhelm Marr en 1879 et qui renvoie à la notion de race très en vogue à cette époque. Les Juifs ne constituent pas une race il n'y a pas de race sémite car si tel était le cas alors les Arabes en seraient la principale constituante.

La grande majorité des Juifs sont à 80% originaires d'Europe à la suite de conversions par mariage de femmes de peuples autochtones au Judaïsme. Une étude génétique (ADN) récente publiée sur Nature communications l'explique scientifiquement.

*L'Appel Juif Unifié est une organisation sioniste trés active dans la collecte d'argent dans les synagogues notamment en France pour coloniser des terres volées aux Palestiniens.

* L'Agence Juive est une organisation sioniste para gouvernementale. En France l'Agence Juive fait partie du CRIF.

Dimanche 26 Janvier 2014

Mireille Delamarre

SOURCE : https://www.planetenonviolence.org/Nazisme-Comment-Les-Dirigeants-Sionistes-Ont-Sabote-Le-Sauvetage-Des-Juifs_a3286.html

Rabbin | Les sionistes ont ordonné aux nazis d'exterminer les juifs pour avoir l'excuse de créer Israël

Saviez-vous que tous les Juifs ne soutiennent pas l'état d'Israël actuel?

Nous ne devrions jamais mélanger le judaïsme et le sionisme, le judaïsme est une religion et le sionisme une idéologie fanatique créée par les puissants juifs Usureros, avant que le mouvement sioniste ne soit considéré par la vaste majorité des juifs du monde fanatiques fous, puisqu'ils soutiennent qu'ils devraient avoir leur propre état, ce que la plupart des Juifs ont toujours expliqué, c'est que c'est Dieu qui doit personnellement venir donner le territoire au peuple élu et ne jamais voler les terres d'autrui, comme ils l'avaient fait après la Seconde Guerre mondiale avec la Palestine.

Pour atteindre cet objectif, le sionisme a conclu des accords secrets avec Hitler, explique également le rabbin dans la vidéo suivante, où, en échange de grosses sommes d'argent destinées à financer la guerre des nazis, ils devaient exterminer un certain nombre de Juifs. 6 millions pour pouvoir avoir la "terre promise".

Une des preuves de ce que dit le rabbin, c'est l'histoire même avec les camps d'extermination, que les États-Unis connaissaient déjà de l'existence de ces camps et n'ont rien fait pour l'empêcher, car les sionistes à grande fortune (banquiers) tout comme les États-Unis contrôlent aujourd'hui.

Son plan était simple: plus les Juifs étaient exterminés, plus leur soutien à la création d'un État israélien était important. Après la fin de la guerre, le Royaume-Uni et l'ONU soutenaient, expropriaient et exterminaient le peuple palestinien jusqu'à aujourd'hui.

LA FAMILLE BUSH ET L´ALLEMAGNE NAZI

par Webster G. Tarpley

Novembre 2002

du site Web RedVoltaire

Cet article est un résumé du livre:

Bush - La biographie non autorisée

(Bush la biographie non autorisée),

par Webster G. Tarpley et Anton Chatkin.

Comment des milliers de criminels de guerre nazisIls ont travaillé pour le gouvernement des États-Unis ...

Dans le passé, le ministère de la Guerre des États-Unis avait incorporé des experts en guerre biologique et en armes de destruction massive nazis qui avaient l'occasion de répéter et de tester leur "spécialité" auprès de millions de civils alors qu'ils étaient sous les ordres d'Hitler.

Le Département de la guerre des États-Unis a, par le passé, incorporé des experts en guerre biologique et en armes de destruction massive nazies, qui ont eu l'occasion de répéter et de mettre à l'essai leur "spécialité" sur les millions de civils alors qu'ils étaient sous les ordres de Hitler ou respectés à ses thèses pendant la seconde guerre mondiale.

Pendant un demi-siècle, ces nazis ont accepté de travailler sur le plus grand secret,

• à Fort Bragg (États-Unis)

• à la NASA

• dans le complexe militaro-industriel

• dans le lobby de l'armement

• à la CIA

Ce sont eux qui ont développé les concepts de "guerre contre le terrorisme" et de "lutte contre les États irresponsables".

Depuis 1981, George Bush père dirigeait personnellement toutes les opérations secrètes de la CIA, sous le nom de code "Anti-terrorisme".

En 1942, Allen Dulles , avocat et ami intime de la famille Bush, avait pour mission d'empêcher la presse de citer ou de citer le nom de la famille Bush après qu'il eut été officiellement confirmé que "de grandes parties de l'empire de Prescott-Bush fonctionnaient pour le compte de l'Etat". Allemagne nazie au cours du deuxième conflit mondial, contribuant ainsi à l'effort de guerre nazi [1].

Un an plus tard, il est nommé à la direction de l'OSS (prédécesseur des services secrets de la CIA). Une rencontre a eu lieu en Suisse avec le député de Himmler, Karl Wolf [2].

Ensemble, ils ont élaboré un projet visant à amener les nazis aux États-Unis.

Le premier projet de la CIA était la loi sur les personnes déplacées , une campagne d'émigration qui a amené un demi-million d'Européens aux États-Unis entre 1948 et 1952. Parmi ces émigrés se trouvaient 10 000 criminels de guerre nazis. [3]

Officiers supérieurs de la Croix de fer hongroise, de la Légion bulgare, de l'Organisation des nationalistes ukrainiens de Stephan Bandera, de la légion lituanienne et de la brigade blanche russe. La majorité de ces factions ont créé des divisions de Waffen-SS qui massacrèrent sauvagement communistes, juifs et autres citoyens [4].

Le Hongrois Laszlo Pasztor a représenté le gouvernement fasciste hongrois de Ferenc Szalas à Berlin pendant la Seconde Guerre mondiale.

En 1972, George Bush père, alors président du Conseil national des républicains, a nommé Pasztor au poste de président du Conseil républicain des nationalités. [5]

Pasztor ouvre les portes aux criminels nazis d'Europe de l'Est.

Par exemple à Nicolás Nazarenko , responsable de la Waffen-SS en Roumanie et spécialiste des "interrogatoires" auprès des prisonniers politiques. [6]

Cela ouvre également la porte à Radi Slavoff , porte-parole d'Ivan Docheff, fondateur de la Légion bulgare, ou à Florian Galdau , aumônier de la Garde de fer roumaine, qui s'est vanté d'avoir aidé des milliers de criminels de guerre à entrer aux États-Unis. Roumains

Walter Melianovich représente de son côté l' Association américano-biélorusse , qui chante les oeuvres des bourreaux de l'unité Waffen-SS des Russes blancs [7].

Ce petit club de suiveurs était en 1988 l'âme de la campagne électorale de George Bush père pour les élections présidentielles.

Slavoff est président des "Bulgares pour Bush", de Galdau des "Roumains pour Bush" et de Melianovich des "Ukrainiens pour Bush" ... [8]

Projet Paperclip - guerre biologique et destruction massive

Dulles et ses amis du ministère de la Guerre ont développé et développé un deuxième programme "top secret": le projet "Overcast", renommé plus tard "Paperclip " .

L'objectif était de rechercher et de recruter pour l'industrie de guerre nord-américaine, des scientifiques nazis, des spécialistes de l'aéronautique, de la guerre biologique et chimique, de la recherche nucléaire et du traitement de l'uranium.

Un document daté du 2 juin 1953 indique qu'à cette époque, au moins 820 nazis sont entrés aux États-Unis via l'opération "Paperclip". Parmi eux, le général-major nazi Walter Emil Schreiber .

Cet homme a été victime d'une gangrène gazeuse, du virus du typhus, de certains médicaments, d'eau glacée et de chambres basse pression sur les prisonniers.

Le général major Schreiber a été affecté à l'école de médecine de l'armée de l'air au Texas. Le major-général Kurt Blome , un autre spécialiste de la guerre biologique qui a expérimenté le vaccin contre la peste, a été embauché par le département de chimie de l'armée des États-Unis. [9] L' ingénieur de Wernher von Braun qui travaillait pour Hitler a été envoyé à Fort Bliss au Texas. Von Braun et Walter Dornberger ont été embauchés par l'avocat de la famille Bush, Allen Dulles, pour travailler dans l'industrie de la guerre américaine, ainsi que pour des milliers d'autres criminels nazis.

Dornberger a travaillé chez Bell Aircraft (Bell Textron), Von Braun a été nommé directeur de Marshall Space Flight et de la NASA.

Von Braun développa pendant la seconde guerre mondiale à Peenemunde le projet de fusées allemandes V2, dirigé par le général Walter Dornberger. On estime que la fabrication de telles roquettes et de leurs installations a causé la mort de 20 000 prisonniers dans les camps de concentration de Dora et Nordhaussen.

L'armée américaine avait transporté aux États-Unis plusieurs tonnes de documents techniques V2 et 1 200 spécialistes allemands en la matière à la fin de la Seconde Guerre mondiale [10].

Les États-Unis utiliseront cette expérience acquise dans le domaine des armes biologiques contre la Grèce, la guerre de Corée et la guerre du Vietnam. Le club des amis du père George Bush a été et est très actif dans ces questions et objectifs. Pasztor, Nazarenko et Melianovich font partie du groupe de pression américain "Coalition pour la paix pour la force" du Conseil de sécurité nord-américain (ASC).

L'ASC est une initiative militaro-industrielle lancée principalement par le

• Association des industries aéronautiques

• Huile standard

• Honeywell

• US Stell

• United Fruit,

... Toutes ces grandes multinationales américaines.

L'ASC était ouvertement en faveur d'une "offensive nucléaire surprise contre l'Union soviétique" pendant la guerre froide.

Après le 11 septembre, ce groupe de pression a enfin atteint son objectif: la Chambre et le Sénat des États-Unis approuvent l'utilisation de l'arme atomique en premier lieu et avant toute autre personne, unilatéralement comme politique officielle du gouvernement. [11]

Operation Sunshine - Spécialiste de la lutte contre le terrorisme

Le chef-d'œuvre et la clé d'Allen Dulles était Operation Sunshine. Reinhard Gehlen était le chef du réseau d'espionnage allemand en Union soviétique (Fremde Heere Ost), le plus haut responsable de l'espionnage nazi de Hitler. J'ai travaillé sur le "front est".

Gehlen a obtenu ses informations en interrogeant avec acharnement les prisonniers de guerre. La torture, les mauvais traitements et les meurtres ordonnés par Gehlen ont coûté la vie à 4 millions de prisonniers de guerre soviétiques [12].

Gehlen a proposé aux Américains une alliance contre le communisme et leur a envoyé une liste d'agents nazis. Le 22 août 1945, l'avion personnel du général Smith les emmène aux États-Unis.

Pendant dix ans, la CIA a dépensé au moins 200 millions de dollars et 4 000 agents clandestins, de sorte que les réseaux Gehlen continuent de fonctionner à temps plein et en faveur des États-Unis. [13]

Le SS nazi Sturmbannfuhrer Alois Brunner Il était un expert dans la déportation de "terroristes": communistes, dirigeants syndicaux et juifs.

Il était l'architecte en personne des ghettos et des convois vers les camps de concentration. Il est considéré comme directement responsable de la mort de 128 500 personnes [14].

La CIA fait travailler tous ces experts de la "lutte contre le terrorisme" dans leurs locaux de Fort Bragg. C'est là que George Bush père dirigeait (se dirigeait) lui-même et personnellement toutes les opérations secrètes de la CIA , sous le nom de code "Contre-terrorisme" [15]. Depuis un demi-siècle Ces nazis ont travaillé sur le plus grand secret à Fort Bragg, à la NASA, au complexe militaro-industriel, au lobby des armes et à la CIA.

Après la désintégration de l'Union soviétique en 1989, ils ont crié pour la première fois la victoire.

Ils ont crié victoire une deuxième fois après le 11 septembre 2001 , parce que c'est à ce moment-là et en raison de la situation et de la crainte que leurs amis Bush , Cheney et Rumsfeld ont décidé de faire la "guerre préventive" de "l'offensive nucléaire". de la "répression du terrorisme interne", l'essence même de la politique officielle des États-Unis d'Amérique.

Références

1. Carla Binion, Histoire de la famille Bush et des nazis, journal en ligne, 21.12.00

2. Andreas von Bülow, À Namur des États. Piper Verlag, 2002, blz. 377

3. Christopher Simpson, Blowback: Le recrutement de nazis par les États-Unis et ses effets sur la guerre froide. Collier Books, 1989, p. 201-202, 215-216

4. Russ Bellant, les vieux nazis, la nouvelle droite et le gouvernement Reagan. Political Research Associates, 1989, p. 10-11. Ook op www.skepticfiles.org

5. John Loftus, Mark Aarons. La guerre secrète contre les juifs. St Martin's Press, 1997

6. Christopher Simpson, oc, pp. 273-274

7. Russ Bellant, oc, pp. 10-17

8. Carla Binion, Les nazis et le parti républicain, journal en ligne, 28.01.00

9. Action secrète, spéciale: les nazis, le Vatican et la CIA, 25/86, Pp. 23-26

10. Simpson, oc, pp. 27-31. Robert Sherill, www.texas.observer.org

11. Russ Bellant, oc, partie II, p. 4

12. Simpson, oc, p. 44

13. Simpson, oc, p. 53

14. Simpson, oc, p. 248

15. Simpson, George Bush prend en charge. Covert Action Quarterly, nr. 58

Nazisme - Sionisme: Les deux visages de la monnaie

"Les nazis m'ont fait peur d'être juif et les Israéliens m'ont fait honte d'être juif." [1]

Israël Shahak

La médaille avec la croix gammée et l'étoile sioniste sur chaque visage. En 1934, pour commémorer le voyage du baron Léopold Itz Edler von Mildenstein en Palestine, Goebbels commanda de frapper cette médaille. Sur le côté de l'étoile, on pouvait lire en allemand: EIN NAZI FÄHRT NACH PALÄSTINA (Un nazi se rend en Palestine); et sur le côté de la croix gammée, UND ERZÄHLT DAVON IM ANGRIFF (Et il est raconté dans le film Angriff). À la même époque, l'accord de Haavara entre le gouvernement du Troisième Reich et le sionisme syndical de Ben Gourion était en vigueur.

Joseph Goebbels, ministre de la propagande nazie, et David Ben Gurion, chef du mouvement syndical sioniste et de l'organisation terroriste Haganah

[1] Cité par Gilad Atzmon,Le vagabond qui. Une étude de la politique d'identité juive. Alresford, Hants (Royaume-Uni): Zero Books - John Hunt Publishing, 2011, p. vii.

[2] Israël Shahak (1933-2001) est né à Varsovie, en Pologne, fils de parents juifs orthodoxes et sionistes. Après avoir survécu à l'internement dans les camps nazis de Poniatowo et de Bergen-Pelsen, il émigre en Palestine en 1948. Jusqu'à sa retraite, il est professeur de chimie organique àl'Université hébraïquede Jérusalem. À travers des conférences et des articles dans les plus prestigieux journaux occidentaux, Shahak acquit une présence notable en tant qu'intellectuel confronté à la politique d'expansion israélienne. Président depuis 1970la Liguedes droits de l'homme et des droits civiques, Shahak a complété la défense concrète des droits de tous les habitants, sans distinction aucune, dans l'État d'Israël, par des recherches historiques et une réflexion sur le judaïsme et le sionisme [Extrait du livre d'Israël Shahak, L'État d'Israël a mis en place des dictatures en Amérique latine . Buenos Aires: Éditorial Canaán, 2007]. Voir Israel Shahak, Open Secrets: Les politiques étrangère et nucléaire d'Israël . Londres: Pluto Press, 1997; Israël Shahak et Norton Mezvinsky, le fondamentalisme juif en Israël . Londres: Pluto Press, 1999.

  L'héritage hitlérien dans l'État sioniste

Shlomo Sand présente la version anglaise

de son livre "L'invention du peuple juif"

Soixante ans plus tard, Shlomo Sand [1] confirme l'héritage hitlérien légué par les sionistes en Palestine: "Les mêmes personnes qui affirment que les sionistes n'ont jamais fait référence à une race concluent leur raisonnement en évoquant un gène juif commun. Sa pensée peut être résumée comme suit: "Nous ne sommes pas une race pure, mais nous le sommes, mais nous sommes une course." Dans les années cinquante en Israël, les caractéristiques des empreintes digitales juives ont été examinées et, depuis les années soixante-dix, les biologistes de leurs laboratoires (parfois aussi aux États-Unis) ont recherché un marqueur génétique commun pour tous les Juifs. [...]Cette tentative de justifier le sionisme par le biais de la génétique rappelle les procédures des anthropologues de la fin du XIXe siècle qui avaient hissé la science pour découvrir les caractéristiques spécifiques des Européens. Jusqu'à présent, aucune étude basée sur des échantillons d'ADN anonymes n'a été en mesure d'identifier un marqueur génétique spécifiquement juif, et il est peu probable qu'une étude le fasse. C'est une amère ironie de voir les descendants des survivants de l'Holocauste se précipiter pour trouver une identité juive biologique sans aucun doute, Hitler aurait été ravi. Et il est totalement répugnant de mener ce type de recherche dans un État qui mène depuis des années une politique déclarée de "judaïsation du pays", pays dans lequel, même maintenant,[...] Au début du XXIe siècle, Israël se définit comme l'État des Juifs et la propriété du "peuple juif"; en d'autres termes, des Juifs qui vivent dans n'importe quelle partie du monde et non en tant que possession de l'ensemble des citoyens israéliens résidant sur leur sol. C'est la raison pour laquelle il convient de définir Israël comme une ethnocratie plutôt que comme une démocratie. [...]Il est encore possible de fermer les yeux sur la vérité. Ils continueront souvent de soutenir que le "peuple juif" existe depuis des milliers d'années et que "Eretz Israël" leur a toujours appartenu. Toutefois, les mythes historiques qu'il était possible de créer, à l'aide d'une poignée d'imagination, de la société israélienne sont maintenant des forces puissantes qui contribuent à la possibilité de leur destruction. " [2]

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