TIR AU CANARD
Cet article devait s'appeler la haine. Mais en marchand, le patron m'a donné d'autres arguments, même si cet article va parler de cela, j'ai mis la page en bleu, car, si je ne vous ai pas dit, c'est sa couleur. Le créateur est bleu, c'est comme cela qu'il a commence à se montrer et c'est sa signature. Les petits canards en plastique posés sur une barra, c est la métaphore visuelle de ce qu a était la race humaine depuis de son emprisonnement. Tous les connards qui se sont succédé, ceux qui ont fondé les empires, ceux qui ont construit de nouveaux ordres mondiaux en faisant penser les petits que c'était pour eux. Maintenant, l'heure de la vérité est arrivée ; nous allons inverser les identités, et les puissants, nous allons les mettre sur la barre de façon à ne pas pouvoir bouger ni décider de quoique ce soit. Ils vont se présenter à nous dans toute leur vérité. Vous vous souvenez de mon article : " Les caisses enregistreuses ou la machine de mort" ? Là, on a identifié ce que la fiction cachait depuis le début, pour finalement arriver a la réalité. Si vous pensez que pour moi, il suffit de m'asseoir en face de l'ordi et commencer a tapoter sur mon clavier, cela est très loin de la réalité, même si mon travail est plutôt fastoche. Les moyens mis à ma disposition me permettent d'humilier la bête tout le long et travers de ce que je veux. Bon, on va dire que c'est la consigne, car, si vous le voulez croire, là-haut, ce que l'on peut appeler le père, le créateur, la source, la naissance de tout, est dans une colère monstre. Il est plus humain de ce que l'on peut croire ; dans sa grandeur infinie, la seule façon de se mesurer a nous et par là être près de nous, c'est nous ressemblant. N'oubliez pas que je ne parle pas de religion ni d'un dieu ; c'est le grand piège. Je disais que pour moi les choses ne sont pas si calmes. Beaucoup de personnes sont mortes, incarcérés ou mises au psychiatrique pour le centième de ce que j'ai écrit. Mais les choses vont autrement ; je suis intouchable pour tous ceux qui sont envoyés des USA, Europe, Amérique latin, l'Espace pour me liquider. De cela, il n'y a pas de preuves, car notre monde est fait de façon à cacher leur défaite.
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Je vous disais que pour moi des dangers existent et ils ne sont pas comme vous pouvez l'imaginer. Le fait qu'ils ne peuvent pas m'atteindre avec les moyens conventionnels, les oblige a dévoiler les choses qu'aucun être humain ne connaît. La culture populaire est au courant que nous sommes des hologrammes, mais d'une façon théorique. Dans mon cas, ils sont obligés de traverser le voile du visible pour effectuer certaines actions que ni dans le cinéma de science-fiction se trouvent. Imaginez que là ou vous êtes correspond à un hologramme déployé dans un espace x et que depuis l'endroit où il est projeté, les techniciens voient la scène comme ce que nous voyons au cinéma.
Ci-dessus, deux images qu'illustrent deux réalités auxquelles nous n'avons pas d'accès. La première, la façon dont ils nous voient et la deuxième, les deux réalités. Pour l'image de gauche, les deux hommes interviennent sur une réalité projetée. Mais depuis cette réalité, ils ne sont pas visibles. Notre monde, ou ce que nous pensons de lui, est entouré par cela de façon à être surveillés en permanence et altéré si c'est nécessaire. Les maladies et pandémie, les empoisonnements, les enlèvements, etc. Ils Peuvent être effectués de cette façon. Mais s'il y a quelqu'un qu'est témoin d'une telle chose, des voix s'élèveront pour le traiter de folle. De cette façon, des poisons sont mis dans ma nourriture, dans mon savon de bain, dans mes vêtements, dans mes chaussures, etc. Pour les services secrets qui sont en train de me lire au fur et à mesure que je vous écris, ce que je raconte n'est pas nécessairement connu. Ils ont reçu l'ordre de m'atteindre et pour beaucoup cela devient insupportable car l idée qu au début fut émise sur moi ne corresponde plus a la arealité. Jamais une cible du deep state n'avait durée autant en vie. Plus le temps passe, plus ils sont obligés de recourir à des moyens inédits. L'autre nuit vers 19, je suis sortie fumer dehors, en regardant le ciel nocturne, une belle lumière sautillé au loin. J'ai dit, a, m'a suer, viens voir, je pense que c'est un ovni. Je me suis dirigé vers lui et il s'est approché de moi à une distance que j'ai finie par identifier très proche. Il s'est mis à faire des mouvements et j'ai compris qu'il voulait que je le suive. À un moment, il était à une quinzaine de mètres et a atterrit derrière un bosquet. Il voulait que j'aille le chercher, mais j'ai compris que c'était un piège. Maintenant, je pense que c'était un genre de drone, mais d'une technologie un peu spéciale. Beaucoup plus loi et haut, il y avait un autre qui est en permanence au-dessus de notre maison. Le premier venait de ce dernier. J'ai tellement l'expérience de ce genre de choses qu'elles ne m'impressionnent plus. En revenant au sujet de notre réalité virtuelle pour eux, mais très solide pour nous, au début, ils s'approchaient de moi sans que je puisse les voir. Mais je les sentais par des mouvements de courant dans mon corps. À un moment donné, on m'a activé un outil pour avoir une incidence sur ce que je ne voyais pas, mais qui voulait ma atteindre. Cet outil les détruit et c'est comme cela qu'ils viennent que pour empoisonner mes aliments sans plus s'approcher de moi.
Sur ce graphique, je montre la façon dont la matrice (vous) fonctionne. Elle projette le programme de façon a créer un entourage qui évolue suivant "votre" mouvement. Dans la partie grise, les techniciens de l'espace zero agissent selon les besoins. L'espace un, c'est la projection virtuelle que nous appelons notre monde. Vous voyez donc pourquoi cet article s'appelle, "tir au canard ; nous sommes dans une foire ou nos maîtres nous tiennent à leur mire comme des cibles potentielles. Les ovnis et phénomènes bizarres viennent de cet espace et nous pouvons voir notre réalité comme une piñata dans la fête de ce système ou nous sommes des prisonniers. Le dispositif est si bien fait que cela relève pour moi d'une crainte énorme sur quelque chose qui se trouve en nous, mais que nous ignorons. J ai disais il y a quelque temps, que la matrice et le deep state se réveillent tous les jours avec l énorme crainte que un des prisonniers évolue de façon à mettre en danger le piège. C'est pour quoi nous sommes si surveillés ; depuis notre enfance dans les écoles primaires et ainsi de suite. Les programmes scolaires que nous devons suivre relèvent de cette crainte et pour cela tout le monde doit suivre un seul chemin, celui qu'ils ont pensé pour nous. Voilà une des raisons pour laquelle la différence est tant combattue dans notre monde. Ils n'ont pas les moyens d'affronter des esprits réveillés allant a la limite de ce qu'ils défissent comme du possible. Le dessin de plus haut ou quatre personnes sont enfermés dans une espèce de cercle en écran montre l'enclôt, mais aussi, possède des gens de l'autre coté que j'appelle les techniciens. Ces gens infiltrés sont en réalité une autre race ou leur nature n'a rien à voir avec la nôtre.
Ils sont décidés, brutaux, froid, calculateurs, et pressés pour l'envie de domination. Cela leur donne une intelligence relative, car elle s'ajuste aux objectifs qui sont absolument matérialistes ; tout ce qui concerne d'autres aspects et sans importance pour eux. Leurs ressources sont donc a l ahauteur de tout cela : la force brute qui remplace les arguments pour s'imposer a un adversaire plein d'intelligence, d etretée, d humanité, et désir de paix. L'esprit que tout cela résulte, est l'ennemie du premier car il donne une force de conviction sans égal. Le premier doit donc s'armer des moyens pouvant vaincre l'autorité morale du deuxième étant la peur son premier outil. Cela lui donne le pouvoir avant d'être respecté, mais ca lui suffit, car le respect pour lui est le signe de faibles et de ceux pour qui l'amour a un sens. Les représentant des techniciens de dehors ont développé des habilités pour réduire l'intelligence et l'esprit des adversaires en bouilli ; leur attitude première, c'est " on tire et après, on exige". E, c'est ainsi que l'humanité s'est faite. Je dis l'humanité par ce que c'est comme cela, nous nommons notre pagaille d écosystème d hommo-economicus. Vous vous souvenez de films américains ou le petit gars intelligents et calme se fait bousculer et humilier par des connards qui vont toujours a plusieurs. Ils représentent en réalité les assistants des techniciens de dehors qui doivent être là pour mater ceux qui peuvent leur voler le respect qui donne le charisme d'un vrai être humain. Les connards qui se vantent de posséder les plus belles filles, d'avoir la voiture la plus grosse et polluante, le pistolet le plus long et plus mirobolant, d'avoir un exceptionnalisme, d être la plus grande démocratie, de contribuer a la paix mondiale, ils sont ceux là. Des mecs sans arguments, car ils tuent tout ce qui bouge, car tout ce qui bouge n'est pas digne de leur autorité suprême autoproclamé.
Quand les chasseurs qui sont les membres du congrès américain ont envie de chasser et canarder tout ce qui bouge, ils choisissent d'abord un petit canard boiteux qui a la malchance d'avoir des ressources que des fois, il ne sait pas. Avoir de tels moyens de destruction ne pousse qu a les utiliser ; les représentants des techniciens de dehors ne se soucient pas si pour voler une rose, ils doivent détruire tout un jardin. Ils pensent que toutes les roses et roserais de la planète sont à lui. Le tir au canard se prépare ainsi, mais les thermes pour y arriver relèvent de la stratégie la plus cynique qui consiste à faire désirer a toute la planète une intervention chez le canard boiteux, tout petit, sensible, ancestral, avec une vraie culture, mais méchant.
Quand les chasseurs qui sont les membres du congrès américain ont envie de chasser et canarder tout ce qui bouge, ils choisissent d'abord un petit canard boiteux qui a la malchance d'avoir des ressources que des fois, il ne sait pas. Avoir de tels moyens de destruction ne pousse qu'à les utiliser ; les représentants des techniciens de dehors ne se soucient pas si pour voler une rose, ils doivent détruire tout un jardin. Ils pensent que toutes les roses et roserais de la planète sont à lui. Le tir au canard se prépare ainsi, mais les thermes pour y arriver relèvent de la stratégie la plus cynique qui consiste à faire désirer à toute la planète une intervention chez le canard boiteux, tout petit, sensible, ancestral, avec une vraie culture, mais méchant.
Saisir des transnationales pour reconstruire la Syrie ?
https://www.voltairenet.org/article202406.html
par Thierry Meyssan
Le président Trump s'est fait élire sur la promesse de renverser le capitalisme financier et de restaurer le capitalisme productif. Dans cette logique, il considère que les dommages de guerre dus à la Syrie ne doivent pas être payés par les États-Unis, mais par des sociétés transnationales. Cette révolution des relations internationales est-elle souhaitable et possible ?
RÉSEAU VOLTAIRE | DAMAS (SYRIE) | 14 AOÛT 2018
Ils étaient 114 États membres des « Amis de la Syrie » à financer sa destruction par les jihadistes. Mais, après leur échec, aucun ne veut payer quoi que ce soit pour sa reconstruction. Pourtant, ils n'ont pas eu de problème pour soutenir les États qui accueillent des réfugiés syriens ; étant entendu qu'il ne s'agissait pas là d'un geste humanitaire, mais d'un moyen de priver la Syrie de ses ressources humaines.
Surtout, tous espèrent s'enrichir en masquant leur crime et en obtenant des contrats de reconstruction.
Les 7 et 8 août, la Commission économique des Nations Unies pour l'Asie occidentale (ESCWA), réunie à Beyrouth, a estimé le coût minima de la reconstruction à 388 milliards de dollars [1]. Elle devrait rendre un rapport détaillé sur ce sujet en septembre. D'ores et déjà, consciente que ce qu'à vécu le pays n'a pas grand chose à voir avec une « guerre civile », mais avec une agression étrangère, elle a annoncé le titre de ce rapport : Syria, 7 years at war. C'est-à-dire La Syrie, 7 ans en guerre et non pas 7 ans de guerre.
À titre de comparaison, le Liban, dont la population est trois fois moindre, n'a pu obtenir que 11 milliards de dollars d'aide internationale lors de la conférence CEDRE, en avril dernier.
Les États-Unis, qui planifièrent la guerre dès 2004, ne veulent pas donner un sou. Selon l'administration Trump, cette guerre a été conçue par l'administration Bush Jr. et conduite par celle d'Obama. Or ces deux administrations ne servaient pas les intérêts du peuple états-unien, mais ceux d'une classe financière transnationale. Elles ont certes détruit la Syrie, mais aussi l'économie US. Ce ne serait donc pas à Washington de payer, mais à ces gens et aux sociétés transnationales directement impliquées dans la guerre.
Par exemple, le fonds de placement états-unien et rival du Carlyle Group, KKR d'Henry Kravis (valeur boursière 150 milliards de dollars). Il emploie le général David Petraeus et a fait transiter des fonds et des armes vers Al-Qaeda et Daesh [2]. Ou le constructeur automobile japonais Toyota (valeur boursière 170 milliards de dollars) qui a fourni l'ensemble des véhicules neufs de Daesh [3]. Ou encore le fabriquant de machines de construction Caterpillar qui a vendu aux jihadistes les tunneliers nécessaires à la construction de leurs réseaux souterrains (valeur boursière 76 milliards de dollars). Sans parler du cimentier franco-suisse Lafarge-Holcim qui a produit 6 millions de tonnes de ciment pour construire leurs bunkers (valeur boursière 40 milliards de dollars) [4], etc.
L'engagement de ces sociétés dans l'application du plan de l'amiral Arthur Cebrowski pour détruire les États et les sociétés du Moyen-Orient élargi s'explique probablement par la certitude qu'elles auraient accès aux ressources naturelles de la région sous la protection des armées occidentales.
Faire payer des multinationales n'exclut pas d'obtenir des réparations de certains États comme l'Arabie saoudite, le Koweït, le Qatar ou la Turquie qui ont financé ou dont des ressortissants ont publiquement financé les jihadistes.
Si la République arabe syrienne parvient à réunir les preuves de leur rôle durant la guerre, elle sera en droit d'en demander la saisie devant les tribunaux du pays de leur siège social. En reprenant l'argumentaire du président Trump, elle pourra compter sur l'appui de la nouvelle administration US.
Il est donc possible, même sans parvenir à faire payer des États, de réunir les 388 milliards de dollars évoqués par l'ESCWA.
À la fin de toutes les guerres ayant donné lieu à réparation des sociétés nationales ont été saisies. La nouveauté serait cette fois de tirer les conclusions de la globalisation économique et de saisir des transnationales.
Le temps est à se positionner autrement pour renverser les rôles des tireurs au canard et canards boiteux. Ils ont une histoire et les empaler sur un quelconque truc qui permette de les viser dans la foire qu'est leur monde et leur faire sentir ce q est d etre sans défense et se tapper tous les balles et missiles du monde. J'appelle de tous mes vœux que le ciel se décide en fin a donner a césar ce qu est à césar et que finalement toutes les "i" et tous le chats aient finalement leurs dû.